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Definition et metalangage les arguments de frege contre la definition implicite

Histoire Épistémologie Langage Dé ?nition et métalangage les arguments de Frege contre la dé ?nition implicite John M Vickers Citer ce document Cite this document Vickers John M Dé ?nition et métalangage les arguments de Frege contre la dé ?nition implicite In Histoire Épistémologie Langage tome fascicule Sciences du Langage et Métalangage pp - doi hel http www persee fr doc hel - num Document généré le C- - DÉFINITION ET MÉTALANGAGE les arguments de Frege contre la dé ?nition implicite John M VICKERS Ce mémoire essaye de comprendre les résistances de Frege àla doctrine de la dé ?nition implicite et par conséquent son choix d''une c ception métalinguistique de la od? é ?Fnrietgioenc rCiteisqureésliesstavnuceess dse mHiolbnetrtenett dsuerstoonuté cdoalens U bMearisdilea pGorsuitnidolnagdeen FdreergGe esoumr leatrie ? dé ?nditeiosna peetnlsaéec riDtiequpeluqsu ''islesfovrumesulseurcolantdrée ?Hniiltbieornt ydcéopmenpdrein tndotesamprminencitpesessfovnudeams ennégtaatuivxes montrent que de bien des façons Frege rejoint la tradition classique Dans les deux premières sections ci-dessous les théories classique et moderne de la dé ?nition sont esquissées La troisième section comporte un examen de quelques thèses de Frege DÉFINITION ET SIMPLICITÉ DANS LA PENSÉE CLASSIQUE Pour apprécier la théorie classique du langage et de la dé ?nition nous commencerons par citer un argument assez connu de Locke n ?lfdsia aéolfn mlnio onaisutissup dJreréepufeavdincrneeoinlnranmtnolrê'aes'atisirsrissrdmeoiêénotdeo t esispsl 'Meno'ênueCtargriapseraqe gjuuoe eo? vrimeiqsonocu'n'teanerstlprtsrvêoaeitirsnleisarsbti sle ? On convient je pense que Dé ?nir n''est autre chose que faire conno? tre le senOs rdc''uonmMmoetlpeasrenles mdeosymenotdsenp''leustsieaurtrseacuhtroessemquotesleqsuidnéeessomieênmtepsadsosnyntoniylmses sont établis les signes par celui qui les emploie la signi ?cation d''un mot est connue ou le mot est dé ?ni dès que l''idée dont il est rendu signe à laquelle il est attaché dans l''esprit de celui qui parle est pour ainsi dire représentée comme exposée aux yeux d''une autre personne par le moyen d''autres termes que par-là la signi ?cation en est déterminée C''est-là le seul usage l''unique ?n des Dé ?nitions par conséquent l''unique règle par o? l''on peut juger si une Dé ?nition est bonne ou mauvaise ? Cela posé je dis que les noms des Idées simples ne peuvent point être dé ? nis que ce sont les seuls qui ne puissent l''être En voici la raison C''est sqauuerolieesndtifefnéraeuncsutneremmeasndiè''ruenereDpérféisnenittieorn usnigenid ?éaentqudiifnf'é'araeuntceusniedéceosm pilos snietion Et par condsuéqsueennstd ''uunnemDoét ?pnairtiloenm oqyuien n''deset pplruosiperuerms eanutraeustrmeocthsoqsuei qnueesilg'enxpil ?ciaetinont point la même chose ne peut avoir lieu dans les noms des Idées simples Première remarque sur cet argument il ne semble pas être valide Supposons en e ?et commPoeurLqoucokienaeurpaoiturcreirotnaisn- neomuesnptasacdcéefpitnéi dle lbelefuairceo mqmueel' 'ildaéecoduelebulreuqusoi isteusniteueideénetrsimeple vert et violet dans le spectre des couleurs ? Locke nous dirait bien sûr que notre dé ?nition est sophistique parce que l''expérience de la couleur bleue est unique et simple et que nous ne saurions pas créer cette expérience à partir des expériences des autres couleurs Acceptons cette réponse Si elle montre que le mot bleu n''est pas dé ?nissable elle le fait par le moyen de raisons psychologiques C- - et elle ne touche pas notre objection au premier argument Là il n''y avait rien de psychologique