Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

Idee psychose Marcel Gauchet répétition psychose réalité marquée d'amblée comme sybolique voir lacan aussi voir que cest fantasme qui est fonds du signi ?ant primordial du psychotique ce que lacan appelle fantasme Hegel gewissheit c iamge Lacan nous répon

Marcel Gauchet répétition psychose réalité marquée d'amblée comme sybolique voir lacan aussi voir que cest fantasme qui est fonds du signi ?ant primordial du psychotique ce que lacan appelle fantasme Hegel gewissheit c iamge Lacan nous répond que la psychose consiste en un trou un manque au niveau du signi ?ant ? ? Il s ? agit en fait pour le sujet de ne pas pouvoir Ibid p assumer la réalisation du signi ?ant père ? au niveau du symbolique ? Face à ce trou le sujet fait appel à l ? image du père Ibid p dans laquelle se réduit tout entière pour lui la fonction paternelle une image qui se sexualise dans une relation à l ? autre radicalement aliénante parce que uniquement spéculaire o? la rivalité agressive règne en ma? tre en dehors de toute dialectique triangulaire pourhegel certitude du ?ls L'idée comme psychose Comment dès lors comprendre le passage de l'objectivité à l'idée Nous le comprendrons comme un passage de la structure de la névrose à la structure de la psychose Il y a de la névrose à la psychose un changement de registre ? deux façons de fonctionner tout à fait di ?érentes selon Freud et Lacan Qu'en dit Freud dans le texte que nous étudions ci-dessus Reprenons l'exemple qu'il donne de scène traumatique une jeune ?lle amoureuse de son beau- frère est ébranlée devant le lit de mort de sa s ?ur par l'idée suivante maintenant il est libre et il peut t'épouser Cette scène est aussitôt oubliée et du même coup est introduit le processus de régression qui conduit aux douleurs hystériques ? Ici le réel traumatique est une pensée Cette pensée dans la mesure o? elle est refoulée et que ce refoulement échoue menant au dédommagement névrotique reste imprimée dans la mémoire du névrotique Il est ce que Lacan dans séminaire intitulé Du rejet d'un signi ?ant primordial ? appelle signi ?ant primitif ? Celui-ci dans la mesure o? il est inconscient n'est pas su par le patient névrotique mais dans la mesure o? il est e ?cace car raison des symptômes il est signi ?ant et exerce son e ?cacité de signi ?ant C'est-à-dire que tous les symptômes pointent vers ce signi ?ant inconscient Dès lors qu'il est remémoré explicitement posé par la ré exion du patient J'ai e ?ectivement pensé cela ? la structure de la névrose ?? l'objectivité ?? dispara? t et les symptômes avec elle Ici le réel est une pensée mais le réel peut tout aussi bien être un incident Ce que Lacan explique dans ce texte c'est que le réel du névrotique est toujours d'emblée un signi ?ant exerçant un e ?et de sens Il ne faut pas concevoir le réel du névrotique comme l'autre de sa mémoire le réel n'est qu'en tant que déjà imprimé dans celle-ci Il est ce qui fait fonctionner comme son c ?ur le circuit de la répétition névrotique L'in uence du réel est donc d'abord l'in uence d'un signi ?ant