1 Metodologias e Práticas de Tradução e Comunicação Língua II Cláudia Bonnet Sá
1 Metodologias e Práticas de Tradução e Comunicação Língua II Cláudia Bonnet Sá PG46096 2021-2022 Docente: Maria Conceição Teixeira Varela 2 ÍNDICE ANÁLISE ................................................................................................................................................... 2 TEXTO DE PARTIDA .............................................................................................................................. 3 TEXTO DE CHEGADA ........................................................................................................................... 5 GLOSSÁRIO ............................................................................................................................................. 7 REFERÊNCIAS BIBLIOGRÁFICAS E RECURSOS ............................................................................ 8 Análise Le présent travail final s'inscrit dans le cadre de l'Unité de Cours (UC) de Metodologias e Práticas de Tradução e Comunicação Língua II, dans ce cas, le français, et vise à analyser et proposer une traduction d'un texte sélectionné par l'enseignante, Maria Conceição Teixeira Varela, en fournissant également un glossaire où j'ai répertorié les termes les plus difficiles et une brève explication de chacun. Le texte à travailler s'appelle "Notre-Dame de Paris" et était initialement écrit en français. Après une visite sur le site officiel du texte, je dirais qu'il s'agit d'un texte touristique qui s'adresse à un public français puisque le site ne propose aucune autre option linguistique. Dans ce travail, je vais proposer une traduction en portugais, donc l'un des points à prendre en compte était le nouveau public auquel il s'adresse. S'agissant d'un texte touristique, j'ai essayé de rester fidèle au texte de départ, mais certaines structures de phrases et certains mots de vocabulaire ont dû être modifiés car, pour un lusophone, la traduction littérale du français au portugais ne serait pas la meilleure option. Tout au long de la réalisation de la traduction, j'ai utilisé plusieurs moyens de recherche, qui sont énumérés dans les ressources bibliographiques, ainsi que des procédures de traduction variées. 3 Texto de partida NOTRE-DAME DE PARIS Dès le XIIe siècle, un autel dédié à Marie est adossé au pilier sud-est de la cathédrale. Cet emplacement est un haut lieu de dévotion depuis le Moyen Age. Au XIXe siècle, Viollet-le-Duc y place une statue de la Vierge à l’enfant appelée depuis « Notre Dame de Paris ». Une statue de la Vierge à l’enfant du XIVe siècle Cette sculpture date du milieu du XIVe siècle. Elle provient de la chapelle Saint-Aignan, située dans l’ancien cloître des chanoines, sur l’île de la Cité. En 1818, elle est transférée à Notre-Dame pour être placée au trumeau du portail de la Vierge, en remplacement de la Vierge du XIIIe siècle, détruite en 1793. Puis, en 1855, Viollet-le-Duc décide de la déplacer pour l’adosser au pilier sud-est du transept de la cathédrale. Un autel dédié à la Marie se trouve à cet emplacement au Moyen et reste un haut lieu de dévotion. Cette statue incarne l’image de « Notre Dame de Paris », appellation qui lui est associée. La statue de Notre Dame dans la littérature « La bouche se contracte en une apparence de moue et prédit des pleurs. Peut-être qu’en parvenant à empreindre en même temps sur la face de Notre Dame ces deux sentiments opposés, la quiétude et la crainte, le sculpteur a voulu lui faire traduire à la fois l’allégresse de la Nativité et la douleur prévue du Calvaire ». La Cathédrale, J.-K. Huysmans, 1898 C’est auprès de cette statue que le poète Paul Claudel se convertit, au cours des vêpres de Noël 1886. Dans son œuvre, Ma conversion, publiée en 1913 il y fait allusion : « J’étais moi debout dans la foule, près du second pilier à l’entrée du chœur à droite du côté de la sacristie. Et c’est alors que se produisit l’événement qui domine toute ma vie. En un instant, mon cœur fut touché et je crus. Je crus, d’une telle force d’adhésion, d’un tel soulèvement de tout mon être, d’une conviction si puissante, d’une telle certitude ne laissant place à aucune espèce de doute, que, depuis, tous les livres, tous les raisonnements, tous les hasards d’une vie agitée, n’ont pu ébranler ma foi, ni, à vrai dire, la toucher. J’avais eu tout à coup le sentiment déchirant de l’innocence, l’éternelle enfance de Dieu, une révélation ineffable » LE VOEU DE LOUIS XIII Par dévotion à la Vierge Marie, le roi Louis XIII souhaite faire construire un nouveau maitre-autel pour Notre-Dame. Son vœu est réalisé par Louis XIV au XVIIIe siècle, sous la direction de son architecte Robert de Cotte. La reconnaissance de Louis XIII à la Vierge Marie 4 En signe de dévotion à la Vierge Marie implorée pour lui donner un fils, Louis XIII s’engage en 1637 à modifier le chœur de la cathédrale et offrir un nouveau maitre-autel. Par ailleurs il commande à Philippe de Champaigne un grand tableau dans lequel il se fait représenter offrant le sceptre et la couronne de France (le vœu de Louis XIII, 1638, Paris, musée du Louvre). Lorsqu’il décède, la construction du maitre- autel reste en suspens. Les travaux de Robert de Cotte Toutefois, les travaux commencent à la fin du règne de Louis XIV, sous la direction de Robert de Cotte. Le projet prévoit de nombreuses transformations, menées entre 1708 et 1725. Finalement, le chantier débute par la clôture de chœur et la destruction du jubé. Ils se poursuivent par le creusement d’un caveau destiné aux archevêques de Paris sous le chœur de la cathédrale. Un ensemble de sculptures et d’objets liturgiques finalise ce programme décoratif, complété par de nouvelles stalles en bois. Le maître-autel et la Pieta En 1723, la Pieta de marbre blanc sculptée par Nicolas Coustou prend place dans la cathédrale. Elle représente le Christ mort posé sur les genoux de sa mère, entouré de deux anges. D’ailleurs, la composition rappelle la Pieta de Michel-Ange à Florence. Les drapés profonds qui accrochent la lumière et l’attitude extatique de la Vierge exprimant son émotion, soulignent le caractère baroque de cette sculpture. Le socle garni d’un basrelief en bronze doré représente une déposition de croix. Enfin, un ostensoir, un crucifix et six chandeliers réalisés par l’orfèvre Claude Ballin ornent le nouveau maitre-autel. De part et d’autre du maître-autel, six statues d’anges en bronze portent les instruments de la crucifixion. Ils sont l’œuvre d’Antoine Vassé. Les statues de Louis XIII et Louis XIV Pour clore cet ensemble sculpté, les statues de Louis XIII et de Louis XIV se placent de chaque côté. Louis XIII, agenouillé, tend sa couronne royale en dévotion à la Vierge. Par ailleurs, cette sculpture de marbre est l’œuvre de Guillaume Coustou. L’autre marbre, sculpté par Antoine Coysevox représente Louis XIV implorant la Vierge, la main droite posée sur la poitrine. Les stalles Les stalles, installées de part et d’autre du chœur, sont des sièges en bois permettant aux chanoines de s’assoir durant l’office. Ornés de bas-reliefs, les hauts dossiers illustrent la vie de la Vierge : Présentation, Mariage, Annonciation, Nativité, Adoration des Mages, Fuite en Égypte, Noces de Cana, Descente de Croix, Assomption. D’autre part, les figures allégoriques représentent des vertus comme la prudence ou la modestie. Entre chaque stalle, un décor de rinceaux complète la scène. 5 En somme, les stalles forment un ensemble homogène sculpté par Jean Noël et Louis Marteau, d’après les plans de René Charpentier et Jean Dugoulon. Sur les cent quatorze stalles en bois réalisées au XVIIIe siècle, il n’en reste que soixante-dix-huit aujourd’hui. De même, huit tableaux surmontent les stalles du XVIIIe siècle dont un seul subsiste : la Visitation de Jouvenet de 1716. Surmontée d’un baldaquin, la stalle archiépiscopale appartient exclusivement à l’archevêque. Dans l’enceinte de la cathédrale, il existe une autre grande stalle également destinée à un hôte important. En hommage aux premiers évêques de Paris, le bas-relief de l’une représente le martyre de saint Denis, et celui de l’autre, la guérison de Childebert Ier par saint Germain. De même, ces sculptures sont les œuvres d’Antoine Vassé. La Révolution provoque la destruction d’une partie de cet ensemble. Par conséquent, Eugène Viollet-le-Duc le reconstruit partiellement au XIXe siècle. https://www.notredamedeparis.fr/decouvrir/sculptures/notre-dame/ (Acedido em 13 12 2021) Texto de chegada Notre Dame de Paris Desde o século XII, um altar dedicado a Virgem Maria é apoiado ao pilar sudeste da catedral. Este local tem sido um lugar de culto desde a Idade Média. No século XIX, Viollet-le-Duc colocou ali uma estátua da Virgem Maria com o menino Jesus chamada, mais tarde, «Notre Dame de Paris». Estátua da Virgem Maria com o menino Jesus do século XIV Esta escultura é de meados do século XIV. Ela vem da Igreja de Saint Aignan, situada no antigo claustro dos cónegos na Île de la Cité (Ilha da Cidade). Em 1818, foi transferida para Notre Dame para ser colocada no tremó do Portal da Virgem, em substituição da estátua da Virgem Maria do século XIII, destruída em 1793. Depois, em 1855, Viollet-le-Duc decidiu movê-la para a encostar ao pilar sudeste do transepto da catedral. Um altar dedicado a Virgem Maria encontra-se neste sítio desde a Idade Média e continua a ser popular como lugar de culto. Esta estátua encarna a imagem de «Notre Dame de Paris», denominação que lhe é associada. A estátua de Notre Dame na literatura «A boca contrai-se numa aparência amuada e prevê o choro. Talvez o escultor, ao conseguir relevar ao mesmo tempo, na face de Notre Dame, estes dois sentimentos opostos, a tranquilidade e o uploads/s3/ trabalho-final.pdf
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- Publié le Aoû 18, 2022
- Catégorie Creative Arts / Ar...
- Langue French
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