Le vrai visage de l'Islam Par le lieutenant-colonel Jean Thiery Mon analyse de

Le vrai visage de l'Islam Par le lieutenant-colonel Jean Thiery Mon analyse de l’ouvrage de monsieur Jean-Michel Alcader, se ré­ fère, par ailleurs, à de nombreux documents à thèse identique ou voi­ sine et ne suit pas rigoureusement le plan de l’auteur pour des raisons de simplification. M. Alcader, d’origine égyptienne et ancien sémina­ riste, est né d’un père musulman et d’une mère copte-catholique. « ... Puisant dans ses racines familiales les deux confessions chré­ tiennes et musulmanes, l’auteur du Vrai visage de l’Islam est en mesure de traiter l’une comme l’autre avec autorité et peut encore juger l’islam à la lumière du christianisme... » (Extrait de la préface du général Gallois) NDLR : Cette fiche de synthèse, bien que rédigée en 2006, est toujours, sur le fond, d’une actualité brûlante... Origine de l'Islam : • sources probables : groupements d'adeptes de l'une des hérésies judéo-chrétiennes et messianiques conquérantes (Ébionites, Nazaréens) vers le V e siècle, observant les traditions juives et reconnaissant l'existence de Jésus en tant que simple prophète. Les Ébionites estiment que le Royaume de Dieu doit être imposé sur terre, fut-ce par la force, donc en opposition avec le christianisme qui est Amour ; • formation : mise en pratique du Coran1, livre (kitab) pré­ senté par Allah à Mahomet, explicité par l'ange Gabriel, phénomène considéré comme « Révélation nouvelle », sur lequel se greffent les « hadiths », paroles et actes de Mahomet et de ses successeurs, ayant pour buts d'authen­ tifier le message, sujet à controverses, et de légitimer les orientations politiques qui en découlent. D'ajouts en ajouts –l'ayatollah Khomeiny ayant découvert 4000 ha­ diths– pour tenter de s'affranchir du substrat biblique, la cohérence du texte a disparu et laisse le champ à toutes les interprétations, contradictions et incompréhensions (justifiées par le caractère divin du langage... !), falsifica­ tions même, opérées par les califes dont beaucoup furent massacrés ; • constat : il apparaît que le contenu, références historiques et règles sont de source biblique juive ou chrétienne, mais d'intention contradictoire : on peut considérer qu'il s'agit là d'un système de défense apologétique contre les religions en vigueur à cette époque, avec de nombreuse erreurs à la clé : appropriation d'Abraham comme premier Musulman, revendication de l'Islam comme première et exclusive religion monothéiste... ! ; • qui est Mahomet... ? Aucune source extra-coranique ne fait état d'un quelconque prophète de ce nom ; des textes anciens font référence à un chef de guerre de Syrie et Palestine appelé Ahmed, au VIIe siècle. Le Coran actuel remonte au IXe siècle. La 2e partie de la chahada date du milieu du VIIIe siècle. Donc, selon Oriana Fallaci, le Coran n'est qu'un plagiat des religions chrétiennes et juives, ainsi que de la philosophie hel­ lénique. Selon le père Avril, Islam = légende d'une révélation nouvelle et inanité de la religion conséquente. Fondements et lois : • principe fondamental : soumission à Allah (aslama = être soumis, racine SLM commune à islam, mouslim, etc.), illustrée au départ par la soumission aux hordes mu­ sulmanes pour sauver sa peau. Il en résulte un sentiment de crainte intense, qui enferme l'individu dans un cercle 1 Nota : le Coran est divisé en sourates (S) et subdivisé en versets (v) vicieux de soumission aveugle. Intervient la Charia, utili­ sée par les autorités islamiques, comme étant la loi de Dieu sur la Terre ; • profession de foi : la chahada, ultra courte, affirmant la déité exclusive d'Allah et, rajoutée ensuite, la réalité de Mahomet comme son prophète, répétée 25 fois par jour, instituant une confrontation à toute autre religion, en pre­ mier lieu la chrétienne accusée d'associassionnisme (Dieu en trois personnes, divinité de Marie), « pas de pardon pour les trithéistes », (S 4, v 51-48) que l'islam confond avec l'idolâtrie, péché pire que le crime ou l'adultère ; • règles : toute réflexion touchant à la compréhension des origines de l'Islam est interdite (S 6, v 68) et tout musul­ man doit adhérer les yeux fermés ; Allah suffit comme témoins (S 48, v 28). L'analyse du Coran de façon scien­ tifique et critique est sacrilège qui, avec le blasphème et l'apostasie sont punies de la peine de mort (fatwas, S 33, v 60 et 32). Exemple : « s'ils apostasient, appréhendez les et tuez les où que vous les trouviez » (S 4, v 89). Conséquences religieuses : • refus de l'Incarnation et de la divinité du Christ (S 5, v 72- S 9, v 30- S 2, v 116) ; • refus de la Rédemption par la crucifixion, répulsion pour la Croix ; • l'Islam n'existe donc que par référence aux groupes aux­ quels il s'oppose et qu'il combat par le sabre, donc contre- religion et système de défense anti-christianiste, basé sur le djihad ; • le djihad dit guerre sainte, est une idéologie de combat « essence même de l'Islam, plus de djihad, plus d'Islam », en vue de convertir les Chrétiens, les asservir ou les élimi­ ner (S 5, v 33 - S 9 v 29 etc.). Parce que l'Islam est la seule vraie religion et la race arabe la meilleure des races (S 3, v 110). • même les musulmans tièdes sont à châtier (S 9, v 33 - S 48, v 16 - S 59, v 2). Il est affirmé qu'Allah endosse la respon­ sabilité des châtiments préconisés contre les infidèles (en AFN les Roumis, en souvenir des Romains) Effets : • sur l'individu, l'influence du Coran conduit à balancer entre l'amour du prochain et les lois coraniques, donc à l'instabilité, à l'insatisfaction, à l'irascibilité et à la violence (sorte de dichotomie) ; • pour les nations, sont « dar es salam, cité de la paix » celles qui vivent sous régime islamique et loi coranique et sont « dar el harb, cité de la guerre » celles qui ne sont pas Être et Durer - 49 - janvier 2011 29 encore conquises par les arabo-mu­ sulmans, c'est à dire en particulier le monde occidental. L'Islam s'est répandu par la guerre, Mahomet ayant conduit personnellement 27 campagnes militaires sanguinaires. Des millions d'infidèles ou d'incroyants ont été ou sont encore massacrés à ce titre, tandis que des millions d'autres sont opprimés politiquement, fiscalement ou socialement. Dans les mosquées, les imams, chefs reli­ gieux et politiques, entretiennent une ar­ mée de combattants réservistes et prêts au djihad, embrigadés, conditionnés, soumis « La population musulmane tranquille, en réponse à un ordre donné au nom d'Allah ou du Coran, marchera toujours unie et sans hésitation », (Monseigneur Bernardini, évêque de Smyrne). Elle agira toujours par devoir et jamais en conscience. Situation dans les nations islamiques Les États musulmans sont tous oppresseurs des populations non musulmanes, par suppression de leur liberté d'expression et de pensée. Droits de l'homme : aucun des principes islamiques ne répond à aucun des articles de la Déclaration des droits de l'homme. Exemples : • Art. 1 : tous les hommes naissent libres et égaux en dignité et en droit. En Islam, les Dhimmis n'ont aucun statut juridique et aucun droit. • Art. 5 : nul ne sera soumis à la torture ou aux traitements cruels ou dégradants. En Islam, sont codifiés l'emploi de la torture, de la fla­ gellation, de la lapidation, de l'ablation des membres des voleurs, de l'excision des jeunes filles, de la polygamie et de la répudiation. « Il n'y a pas de paix ni de coexistence pacifique possible entre la religion musulmane et les institutions socio-politiques non islamiques » Cf. M. Izetbegović2, Président de la Bosnie. Niveaux socio-économiques Il y règne un obscurantisme de type moyenâgeux, caché aux touristes, se caractérisant par la misère sociale, l'analphabé­ tisme à 80 % pour les femmes, aucune industrie moderne ni recherche scientifique, violation des droits de l'homme, partis uniques, chômage massif, ceci malgré la richesse des sous- sols, en particulier gaz et or noir. Situation que cherchent à fuir nombre d'individus. En fait, la culture arabe, si florissante avant l'arrivée de l'Is­ lam, n'est plus qu'un vestige. 2 souvent, les noms de Bosniaques musulmans sont composés du nom du fondateur de la famille, suivi du nom de la profession ou du titre et se finissent en « ić » (fils de...). Ainsi, Izetbegović (fils d’Izet bey) dont le nom révèle qu’il est le descendant d’un haut-fonction­ naire de l’administration ottomane et dignitaire de l’empire). Et concrètement ? : • les 30 000 coptes du Caire sont éboueurs patentés et vivent de la récupération des détritus ; • dans nombre de pays, les dhimmis acquittent un impôt supplémentaire de 10% (la dîme...) ; • en Arabie Saoudite, les rares chrétiens sont persécutés ; • en Bosnie, les nouvelles mosquées prolifèrent et tous les fonctionnaires chrétiens sont remplacés ; • au Soudan et au Nigéria, plusieurs millions de non musul­ mans ont disparu en une décennie ; • comme au temps de l'« Anschluss », on déplace les Ma­ cédoniens par affinités et, en Bosnie, les non musulmans sont déportés en Afghanistan pour y être convertis uploads/S4/ 49-visage-islam.pdf

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  • Publié le Nov 09, 2022
  • Catégorie Law / Droit
  • Langue French
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