Péladan, Joséphin (1859-1918). Amphithéâtre des sciences mortes. 1892. 1/ Les c

Péladan, Joséphin (1859-1918). Amphithéâtre des sciences mortes. 1892. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. 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Unvol.format desanciens eucologes, imprimé enbleusur papier solaire, aveccouverture dessinée roséet noiret repliée. 72pages. Parlaposte, 1fr.25. Ausecrétariat de îaRose t Croix, 2,rufdeCommaille. .S'(~!<'6/~ surrt'c~/o/t (A' ~t(/a<ou<<~br~ AMPHITHEATRE DES SCIENCES MORTES 1 COMMENT ON DEVIENT FEE 1 ÉROTIQUE PORTRAIT HÉLIOGRAYÉ Dt.SAR n_n_ "uu un. ~o.n~res ae toute. les école., de- pt1i..lea origine. jus.¡u'à, la R©nmssance, avec reproduction de leurs ëgs&a~SÊ Parus L Orcagna et l'd»gelico 5 francs. Rembrandt IS81 (épuisé). L'ART IDÉALISTE & MYSTIQUE Doctrine de iaRoMf Croix, t vol. in-i8. t f~ Amphithéâtre clos aciencM mortes 11 S~~ (<thiqu.). ia.8* i89t (Chamuel). m r~~ (~otiqu~). in-8. )892 (dh&maen. ~T~ï~ (pour ro~erturJ du second Salon de la R C!. COMT.TMtOM D~ L'ORDRE OE Ro.E t C~IX DUTEMPLE. DUGRAAL t fr Thô&tre ((EtTatE) La PitizqczDu 9~zaxce (r.lu86 ~1'Odéon ethla Comédie-FX'aDçaise), ë .& ~S,~ c~,). La. ttoss CROIX, mystére en 3 ;1.ctes. Lt MMTAxR DU GxAAt, en actea. ~MC~~7YE~E~r XIII. LA LA~TATM~ n'I.XtV. LA VEnTU S~BËME. LA QUE STE DU GRAAL Yros~a choisies des dix premiers romans avec 10 compositions et un ~~r~~ '-PO. un O~AMOX FUNÈBREDU MCTEU~ ADRtE. PELADAN (Dentu).. i fr >, ORAISON FUNKBM DU CHEYAUER AD.UE~ PEt.ADAN (Dent~ < La Décadence e8thôtf<!ua(H.ÉRopaA~)(Épa!,é) L LESTHÉTMURACS~LONDE ) Xf n, L'ŒUVRE PELADANE La Décadence latine (ÉTHop~E)Dentu -cumc~TBUfM~i~'ntu I. (. li. Cmsvss ,t88~) ~'111.L'AxnaocmlZ ((()IR!~o). h~=E; IV.A CŒI'R rsxnL (IS87).X.. LE PAnHÉB 891). V. 1--TAit, (t88~j. Xi. Typiioxit (18!):'). VLLAVICTOIREDU ~j ~MC/y~YEAfEA~' -· ~i~hALOtLONDE XL GUSTAYZCOUMET 11. · L'ESTHETIQUE Ati SAt.0~ ni. °°.- M~85(/f<!CM<'d!M IV. “M~tM). IV. (' vo!.in S" 7 fr 50 nrf.' XIII. LARTMTST~o~Mi.ACR.. (1 vol. in80 î fr.50, rf. TIQUA: CONTE\IPOR.Ul'fE. ~?' ~=~ cratique, avec portrait, L'Anr. VI. L'EsTHÉTIQUaAU sALOa is8s_i8s, (Ualou). VII. LESMUÉES UfiPROVIWCB, 18R9. VllI. LA SECO~DK NfiVAISSA:1CB XVIII. La GRAIrD ŒU'"Ra d'a- ~ËE-s ~M~" IX L~ M~' LESMUHSAt.OMMt8!)0 IX. LES MUSÉE!'D ERROPE, avectroiaraandemenla ~= ~c" Braun. XX. LS8 DEUX S4LO:'f.DH tg9l, ~<É. SALOxa DE189v, ~IIfTRODUCTI011 à I'histoire des D8intrA. do t"t.- 1_- t m MËT~ MA MÈRE Z//M~M'y<?~Me/<?~o~/a~ ici ne $')~e ~< c~«Mp /)~(/t/pc/<o~ pour cet oM~'rage,ni du e~es~p~y' ma /<~a/~ enthousiaste. ~/0~6PMU~,C~CCa~C~<? MOMK~ ~C/?cr~!<?/< ~<?/'O~M<?~(/M~aMP/</C/'CM~OM~S~<MC~~TC. ~4Mra~ea~c/t(/M si longtemps ~o~?' y écrire t'o~e ~o~ sa7Mcette pensée que les cpMU/~ commeles actes aT~ homme sont tous des /?<?M/'oy~ de la eo:<roM~e yMa/<?r/ .4 FoM~qui êtes sainte, je dédie ce livre de la fée, < acc .mplissement de ma doctrine e~ ~c~p. ~M (/o~~ (/<? l'inconscience et of«U<?~~P, j'ai ~~M~ /'C<M(/ après avoir peint le monde sentimental, voici ~MC PJ"/)/~MC. ~at Mca~~ sphinx avant de provoquer son e~~w~ /c la révèle ici sous les formes claires et froidies de /« ~o~a~o~ moderne. La douleur acceptée est toute la matière du ~et~ humain, et l'amour apparait la forme providentielle < attrayante de la douleur. Mil YMPHITHEATtŒ DUS -SCH~CES COMTES j Fo<7~ /a ~<e y Me /~o/ a/)~ o/~<- Fo~ /a~e ~/7! yMey'?o/ après o/ nées de méditations et d ~MC~. ~'a~ et /'<ï~M~, (/pue/ï!~ AO!~T~M ei ÛOM/C/< accomplissent !'Mcoy~c~M~ /'œM~re M~c~e de la ~<~e /o~c. ~~e triste c~y~M<~p~~e~~ /a'~<?s!< le ~ty~/c~'<?. yaM~M la ~c~M~ vérité, si je ~'c~c ~cc~< vert aMM< ~~P y~t ~M~ /~M. les ~M/ passion. f/Mc ~/u~e ~c~g découle de mes constatations! Et quelle ~/b~c.<~ ~<7?/cr a~oMrdu mystère, /'a/7!0! de l'idée, ~/?ïo?/r de l'art, M~4~:OMr. ~OM~ec des ornements de lapoésie et de/e~M!~ à so~ o~e~- principe, la /-c~/Mc c~-a désormais y-c- co~~M~ ~a~' des ~c/ ou des ~M individuels, cette principauté absurde que les CA~ attribuèrent à toute son espèce. A ce point de vue lucide, o« /?~a~ se dévoile !</< ~/?-<? :Ke~Me~f chargé des re/~Me~ esthétiques, l'idée de M ~ïcr~ .w~ ~~o~~ tout mon enthousiasme. J'ai comparé le ~p~c; maternel à tous les autres; seul résistant à l'analyse et à toutes les réactions de la pensée, il ~ï'a /)a~Mle c/<c/-of œ~u~e~M c~M/ c~e mère doit être pour ~M~ C/<C/-t/ ~MU~ des créatures. Il y M de la o~ dans cette passion qui a plus de force yM'aMCM~e, sans un moment d'égoïsme, et qui ne montre sa /'OM~?~ yM-~M sacrifice et M a~/t~~a~'O~. Si a~o/~c~~ était réfléchi, il garderait en son ~e le ra~M;te~e/~ ~d; comme la pierre de touche et l'ectype qui lui serviront M/M~y e~'M~ o~<?/ ~OM.s seraient refusés. .4~e~e ~a~ey~ M~M~-c~ ~c /c/Mc, je n'y ai trouvé ~M'!<~ sentiment aro/' ~M?- maternité, et DÉDICACE ÎX '«~«0~, Ma Mère, je Vous fais cet hommage toute ~MO/KTMU~ étant ~C!<<?~e~<COMMCr6C · ~p~·P?I'Y~ ÔP c:P /~P lY7/P~lY7LPC In~criP~1'C :'(~/« ~«~'Mo~, Ma Mère, je Vous fais cet hommage C.<C~C, toute ~MO/KTMU~ étant implicitement consacrée Votre gloire; heureux si je sème de quelques ~Mrïc/ 1espas vénérés de Fo~c vieillesse. ~/tp des &eo!M~s du catholicisme sera of'auo~<M~'<?~Me ?</<. dogme de ce suprême sentiment, d'en avoir sublimé la belle :~Me~e. ~~r«', ~e (le Dieu, e~<?/ M~ peu de l'éclat de son y«/M~c ~< /OM/<?5 es mères. ~< /e juge les êtres qui ~'(~ a~c J de tous .ï xoM~ey' et je </e<'OMU~'ïraï à chacun quelque ~~7'oc/)p.'car 0?tn'inspire jamais qu'un MM~Me~M~~MC~ <Ï~O~M/)td</ /a<< au seul co?M~ de sa mère. Vosmérites sont CM /oy~M.c~M'OM ~e montre pas ~M.< visiteurs, qu'on ne présente pas à un public ils efoïu~/<< rester au cœMydu fils. Fo<~avez été le salut, la paix et le sourire de trois nobles esprits dont ~<? suis le moindre. ~o/t père fut un saint, et mon /cyp M/t f/c à tous </c«x destin a manqué je reste seul à <e/HOï<o' de Votre ~y~e admirable; et si quelque inquiétude me peut UP/t~sur /M/)P~CC~O/t de mon P~b~ c'est CM pe~M7</ <y«cVotre œM<e à Vous c'est ~to/, et <y~'o/tjuge la /e/'c /)a~'/e/Ï/s du moins, p/e~ d'admiration et <fa~ï~My, SAR PELADAN. LePré desUiseaux ~.S~to~a~, 17Août 1893. /~o /?os.it c~rŒ Si Paris a UMune tentative de rénovation esthétique, ~u/a~'c OM mouvement ~r~Aa~/ï<e des Ruskin, Roselti, ~M~e Jones, ~'< malgré des toiles intruses ~.r/j~cc~ par trahison L/<0~/tCMiT en est à la Rose t Croix. Si Paris a entendu pendant la semaine sainte, à Saint- C~'ua~, ~ïy~-P~o~ les sublimités vocales de Pales- /<a, de ~o/'ïa des vieux maîtres ~acr~ L'honneur en est à la Rose -}- Croix, qui avait déjà res- s~A< ï~ la messe du pape Marcello. Si le salon des Champs-Elysées a tenté de faire c~- ~c les ~M~cs compositeurs A/<o/tMCMr en est à la Rose t Croix, qui avait préparé A0~/<? </M clair de lune de ~CMC~tC~M~. ~< ~o~MMr F~a~CM~Me <S'arcc~, ~eu~M~ Fils des Etoiles,classique d'écriture, calme et simple de fabula- ~o~, n < cfe6oM~t'~c ses ordinaires p/c~c~ soi-disant ~a~tuMMe~, s'avouer le naï f ennemi de l'art ~to&/c, ?t'o~ prononcer et prétendant avoir ~o~?Mt L'honneur en est à la Rose t Croix. Si, ~MA soirées des 24, 26; uploads/S4/ amphitheatre-des-sciences-mortes-par-josephin-sar-peladan 1 .pdf

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  • Publié le Aoû 22, 2021
  • Catégorie Law / Droit
  • Langue French
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