Limites cooke Mentionner déf de risques bancaires Puis Crédit , opérationnel ,
Limites cooke Mentionner déf de risques bancaires Puis Crédit , opérationnel , marché . MC BALE 2 : 3 piliers : 1 ) exigences de FP 2 ) 3 ) et on s’intéressera aux deux premiers piliers Composantes du ratio Approche standard Approche NI fondation et avancée Mentionner pour chaque type de sous-catégorie , type de crédit , financement ou investissement Répondre théoriquement à la problématique : énoncer les hypothèses de recherche - défaillance au niveau de la qualité des infos introduites dans le système - SI - Qualités des doc comptables - Bale : Objectif ---) calculer les exigences min de fonds propres ! Qu’est-ce que ces exigences min ? Exigences de fonds propres : D’après l’accord de Bâle conclu en Juillet 1988, dit accord de Bâle 1, les banques doivent, depuis le 1er Janvier 1993 , respecter un rapport minimal entre les fonds propres et les risques pondérés selon leur nature dans le cadre de la gestion de leur solvabilité .On désigne habituellement ce rapport par le ratio des fonds propres . Anciennement intitulé Ratio Cooke, ce dernier a montré ses limites au fil des années de son application pour être remplacé par Ratio Mcdonough, qui n’est autre qu’une modification de Ratio Cooke au niveau de la prise en compte de la quantité de risque crédit, marché et opérationnel avec l’avenue de Bâle 2. Le calcul de ce ratio étant effectué de la manière suivante ( voir formule ) , doit respecter La norme visée ; D’une part, un niveau minimal de 4 % des risques pondérés pour le « noyau dur » (capital + réserves), et d’autre part, un ratio de fonds propres au sens plus large (incluant, en plus du noyau dur, des éléments complémentaires comme les titres assimilés, certaines provisions de caractère général et les dettes subordonnées) au moins égal à 8 % des risques pondérés. Le rapport Cooke définit d’abord les éléments constitutifs des fonds propres, puis donne une échelle de pondération des risques afin de parvenir à une évaluation à peu près homogène des uns et des autres. Ratio des Fonds Propres = Les actifs (engagements figurant au bilan et hors bilan) pris en compte dans ce ratio sont pondérés utilisant les taux de pondération suivants : Un taux de pondération est appliqué aux engagements figurant au bilan et hors bilan. Ce taux correspond à 4 classes de risque : RISQUES FIGURANT AU BILAN Pondération à 0% pour les créances sur les états de l'OCDE. Il s'agit du risque le plus faible. Pondération à 20% pour les créances sur les banques et collectivités locales de l'OCDE. Pondération à 100% pour les crédits accordés aux entreprises ou aux particuliers. Il s'agit du risque le plus fort. RISQUES HORS BILAN Pondération de 100% à 0% pour les engagements non liés aux cours de change et aux taux d'intérêt. Pondération à 100% pour les engagements liés aux cours de change et aux taux d'intérêt. Ce ratio, ayant présenté un certain nombre de limites, telles : - L ’Inadaptation des pondérations qui ne correspondaient pas à la réalité économique et ces différences de risques de créances étaient principalement le résultat d’une approximation sans réelle corrélation avec les données réelles et d’un très grand écart entre les exigences réglementaires d’une part, et la pratique bancaire d’une autre part : Un crédit à une entreprise présentant un risque de défaut élevé requiert la même charge en capital qu’un crédit à une entreprise de qualité à la marge plus faible .Ceci encourage soit l’expansion de crédit aux débiteurs risqués , soit la sortie de bilan des encours peu risqués et donc moins rémunérateurs . - La non prise en compte du capital économique1, qui s’avère plus pertinent et adapté que le capital réglementaire2 pour le calcul de risque. - La Mauvaise prise en compte des risques souverains démontrés par les récentes crises de certains pays émergents. - La non prise en compte des développements technologiques dans les infrastructures des banques et de la vitesse de circulation de l’argent. - La prise en compte insuffisante des engagements tels les garanties ou les hypothèques - La non prise en compte de la diversification du portefeuille des crédits. C’est ainsi que des discussions ont été engagées en vue de réformer le mode de calcul de ce ratio afin d’affiner la gestion de risque en phase avec la réalité économique, tout en renforçant l’outil évaluation pour mieux adapter les pondérations. Les différents risques de crédit, mais aussi opérationnel et de marché voient leurs pondérations modifiées avec le nouveau ratio Mcdonough, mis en place par le dispositif réglementaire Bâle 2. Il convient de noter que malgré cette modification, l’exigence de fonds propres est maintenue à 8 %. Présentation de Bâle 2 : le nouveau Ratio L'architecture du nouveau ratio s'appuie sur trois piliers. Exigences minimales de fonds propres. Processus de surveillance prudentielle. Recours à la discipline de marché, via une communication financière efficace 1) Exigences minimales de fonds propres : Ce pilier innove en offrant la possibilité aux banques de déterminer des exigences en capital réglementaire pour le risque de crédit, opérationnel et de marché. Dans le cadre de Bâle 2, ces exigences ne changent pas mais les pondérations sont basées soit sur les notations des agences extérieures dans le cadre de l’approche 1 2 Standard( section ….) , soit sur les modèles internes des banques ayant leur propre système de notation( section ……….) dans le cadre de l’approche NI fondation ou avancée. Pourquoi les banques calculent-elles leurs exigences minimales de fonds propres ? Le bilan d’une entreprise se présente comme suit : Au passif figurent les sources de financement : o Capitaux o Dettes à plus ou moins long terme · A l'actif figure tout ce que l'entreprise a réalisé grâce aux financements apportés, tout ce qu'elle possède : o Les immobilisations corporelles (immeubles) et incorporelles (participations dans d'autres sociétés) o Les stocks o Les créances Le bilan est présenté de telle sorte que T otal Actif = T otal Passif. Par capitaux propres on désigne l’ensemble des ressources qui courent le risque de l’entreprise qui ne seront remboursées qu’après sa liquidation ou qu’à long terme (cas des quasi fonds propres) L'actif net est quant à lui égal à l'ensemble des avoirs de l'entreprise diminué de l'ensemble de ses engagements réels ou potentiels : Actif net = Actif immobilisé + Actif circulant et financier - ensemble des dettes La solvabilité d'une entreprise, quelle qu'elle soit, est sa capacité à rembourser l'intégralité de ses engagements en cas de liquidation totale. Elle dépend donc de la qualité de ses actifs, et plus particulièrement de la facilité avec laquelle ceux-ci peuvent être liquidés, et du montant de ses engagements (dettes) Comme Actif = Passif Capitaux propres + Dettes = Actif immobilisé + Actif circulant et financier Capitaux propres = Actif net Conclusion, la solvabilité, qui intuitivement correspond au rapport Dettes / Actif net, peut également se mesurer par le rapport Dettes / Capitaux propres. Pour une banque, les dettes sont essentiellement constituées des dépôts à vue. Les actifs financiers sont constitués des crédits octroyés. C'est en effet la finalité d'une banque de distribuer du crédit La solvabilité d'une banque est donc sa capacité à faire face aux demandes de retrait de ses déposants. Et cela fait partie de la responsabilité des autorités de tutelle de s'assurer que les banques sont bien aptes à faire face à leurs obligations. Il y va en effet de la stabilité de l'économie tout entière d'un pays. Dans l'égalité vue plus haut, on voit que pour pouvoir distribuer davantage de crédit, la banque doit soit collecter davantage de dépôts, au risque de ne pas pouvoir rembourser ceux-ci, soit renforcer ses capitaux propres. Or une entreprise se trouve davantage en sécurité si une partie de son actif circulant n'est pas financée par des ressources qui viendront à échéance dans l'année. L'actif présente toujours un caractère aléatoire et donc risqué (en particulier quand il est constitué essentiellement de créances comme pour les banques!), alors que les dettes, elles, sont inéluctables ! C’est pourquoi il faut qu'une partie de l'actif soit financée non pas par des dettes mais par du capital. D'autre part si on impose à une banque d'augmenter ses fonds propres elle a plus à perdre en cas de faillite et aura donc tendance à adopter des activités moins risquées. Le niveau de fonds propres est garant de la solidité financière de l'entreprise. Les fonds propres sont donc garants de la solvabilité de la banque face aux pertes que les risques pris à l'actif sont susceptibles d'engendrer. Pour toutes ces raisons, le ratio de solvabilité, dans le cas des banques, s'exprimait initialement par le rapport du montant des fonds propres au montant des crédits distribués, ceux-ci étant pondérés par leur caractère plus ou moins risqué. Dans sa nouvelle version, le ratio prend en compte d'autres catégories de risque que le risque de crédit, à savoir le risque de marché et le risque opérationnel et s'exprime de uploads/Finance/ approche-ni.pdf
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- Publié le Jul 01, 2021
- Catégorie Business / Finance
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