PLAN Chapitre introductif a. Introduction b. Définition c. Engagement réel ou G

PLAN Chapitre introductif a. Introduction b. Définition c. Engagement réel ou Greenwashing d. Festival de l’écologie Chapitre 1 : Entreprises écologique : Force et Engagement réel I. Management environnemental : Force de l’entreprise écologique II. Engagement réel des entreprises écologiques – Critères des normes ISO 14.001 Chapitre 2 : Greenwashing et Coût I. Greenwashing : Une réalité présente II. Investissement écologique : Coût exorbitant ? Chapitre 3. Les entreprises écologiques I. Etudes de cas : entreprises écologiques au Maroc II. Les entreprises écologiques à Meknès Conclusion [Peut-on parlé réellement d’une conciliation parfaite entre les entreprises et l’environnement] 1 Remerciements Nous tenons à présenter nos vifs remerciements à toutes les personnes qui ont veille à la réalisation et la rédaction de ce rapport. Par la même occasion nous remercions notre encadrant Mr. Kaddous pour ces conseils, critiques et pédagogiques. On tient également à remercier toute personne nous ayant soutenu toute au long de notre cursus scolaire. Enfin nous remercions tout le groupe HECI pour leur soutien et la chaleur familiale. 2 Chapitre Introductif I. Introduction L’environnement est l'ensemble naturel et culturel dans lequel les êtres vivants et les éléments existent et évoluent. Le sens de ce mot a sensiblement évolué au XXe siècle pour finir par désigner à la fin du XXe siècle la relation des activités humaines et le rapport de l'humanité avec la nature. On parle ainsi de perception et de protection de l'environnement, de droit de l'environnement, de préoccupation environnementale, d'éducation à l'environnement, d'activités et d’éthiques environnementales. Plus que les paroles, le geste écologique est représentatif d'un état de conscience environnementale. Mais ces derniers temps, le rapport entre l’environnement et l’homme a évolué et pas dans le bon sens – Le capitalisme contribue massivement à la destruction de l’environnement à travers les usines. Les usines sont parmi les grands pollueurs dans le monde. Depuis des décennies, le combat est acharné entre décideurs politiques, entreprises et militants de l’écologie. Le but : vers une entreprise plus écologique. Mais la question est : est-ce possible ? Est-ce utopique de pensé à harmonisé usine et environnement ? Capitalisme et nature ? Au Maroc, la pollution atmosphérique en milieu urbain a été étudiée dans certaines agglomérations comme Rabat, Casablanca, Mohammedia et Marrakech. Cette pollution est liée en partie au trafic routier, le reste à l’implantation industrielle périurbaine. Les mesures des taux d’ozone, de monoxyde de carbone, de dioxyde de soufre et de dioxyde d’azote sont supérieures aux normes admises par l’Organisation Mondiale de la Santé. 3 D’autres études ont été également réalisées à Safi, Casablanca et Mohammedia et ont révélé une corrélation directe entre la pollution atmosphérique et les maladies respiratoires (asthme, bronchites, rhinites, allergies…) chez les populations de ces villes. Dans la ville de Meknès, à part une campagne de mesure des gaz d’échappement qui a eu lieu en 2002, aucune étude, ni activité de surveillance de la qualité de l’air n’a vu le jour jusqu’à maintenant bien que plusieurs arguments plaident en faveur de l’un intérêt particulier qu’il faudrait accorder à la pollution atmosphérique dans la ville Dans ce rapport, nous essayerons en premier lieu de voir toute les définitions et approche possible de ses entreprises dites « écologique », puis nous analyserons de plus prés la position des entreprises marocaine dans l’environnement et l’écologie. II. Définition Le terme « écologie », selon wikipédia désigne l'étude scientifique des interactions qui déterminent la distribution et l'abondance des organismes vivants. Ainsi, l'écologie est une science biologique qui étudie deux grands ensembles : celui des êtres vivants (biocénose) et le milieu physique (biotope), le tout formant l'écosystème (mot inventé par Tansley). Le premier principe de l'écologie est que chaque être vivant est en relation continuelle avec tout ce qui constitue son environnement. On dit qu'il y a un écosystème dès qu'il y a interaction durable entre des organismes et un milieu. Ainsi pour calculé l’impact écologique d’une personne, une ville ou un secteur donné on parle d’empreinte écologique. Qu’est que cela signifie ? L’empreinte écologique vise à traduire de manière facilement compréhensible l’impact d’activités humaines sur les écosystèmes et la planète. Elle se mesure généralement en surface (hectares par individu, ou hectares consommés par une ville ou un pays pour répondre à ses besoins, par exemple). Cette surface traduit, grâce à un système de conversion une quantité de ressources nécessaires par système opérant. Plus précisément, l'empreinte écologique quantifie pour un individu ou une population la surface bio productive nécessaire pour produire les principales ressources consommées par cette population et pour absorber ses déchets. 4 L'empreinte écologique peut aussi être utilisée pour donner une mesure des impacts d'activités de production comme l'élevage ou l'extraction d'or ou d'objets tels qu'une voiture, un ordinateur ou un téléphone portable. Par ailleurs, on parle aussi d’une entreprise écologique, qui notamment est le thème de notre rapport : Qu’est qu’une entreprise écologique ? Une entreprise écologique est une entreprise qui prend en compte la valeur et la richesse de l’environnement dans ses résultats. Elle respecte l’environnement par des actions, en limitant certaines productions et en évitant le maximum de ses déchets à la nature. Bien sur cela demande pas mal d’effort, de sacrifice et surtout d’argent !! Et justement c’est la raison pour laquelle on ne voit pas tellement d’entreprise engagée dans le respect de l’environnement : Ceci demande des couts exorbitants ! Mais ne nous emballons pas, on reviendra sur tout cela dans notre rapport et nous essayerons d’analysé cette relation entre entreprise et environnement d’un point de vue économique. III. Engagement réel ou Greenwashing Le terme Greenwashing (traduit généralement par "blanchiment écologique") est utilisé pour désigner un procédé de marketing utilisé par une organisation (entreprise, gouvernement, etc) dans le but de donner à l'opinion publique une image écologique responsable, alors que plus d'argent a été investi en publicité verte (la couleur verte symbolisant ici l'écologie) qu'en de réelles actions en faveur de l'environnement. Le terme vient de l’anglais par contraction des mots green, vert et whitewash, blanchir. Il est employé au début des années 1990. L'acte de faire du Greenwashing est l'acte de transmettre au public des informations qui sont – dans le fond et dans leur expression – une présentation erronée des faits et de la vérité, dans le but d'apparaître socialement et/ou environnementalement responsable aux yeux d'un public ciblé. C'est un système de communication vaste et complexe destiné à faire passer une "mauvaise" donnée ou information pour une "bonne". De nos jours, on assiste à plus de ‘blanchiment écologiquement’ qu’un réel engagement de la part des entreprises. 5 Le Greenwashing, c'est s'habiller en vert écolo, ce qui n'a rien à voir avec la protection de l'environnement et surtout n’engage en rien. Ce terme fait donc référence au double langage des organisations qui parlent de Développement Durable et de protection de l'environnement en l'inscrivant même dans leurs objectifs, alors qu'en vérité, leurs activités consistent à augmenter la charge que fait peser l'humanité sur la planète. Ce dimension de Greenwashing trompe ainsi les consommateurs soucieux de l’environnement et apaise leur doute, ce qui les encourage à consommé encore plus. Une façade trompeuse que nous mentionnerons dans notre rapport en faisant la différence entre un réel engagement pour la protection de l’environnement et une activité marketing basée sur la tromperie et l’apparence. IV. Festival sur l'écologie et le développement durable en Afrique Nous vivons aujourd’hui les prémices d’une crise écologique et environnementale mondiale, touchant essentiellement les pays en voie de développement comme le Maroc. Le respect de la nature, le développement durable et la sauvegarde de l’environnement sont des mesures indispensables à suivre afin de préserver notre mère la terre pour les générations à venir. La nature suit des cycles de vie sacrés depuis les temps immémoriaux, qui miraculeusement ont permis à notre race humaine de se développer et d’arriver à son stade de conscience actuelle. Malheureusement lors de ce dernier siècle notre civilisation moderne a quasiment détruit ces milliards d’années d’évolution et de biodiversité. Le Maroc est confronté aujourd’hui à une urgence écologique majeure : pollution de l'air et des eaux, déforestation, désertification, rarification inquiétante de l'eau, gestion dramatique des déchets, biodiversité en danger, appauvrissement des sols… La vitesse et l’ampleur de ces dégradations incitent à une prise de conscience globale et à la mise en œuvre d’actions concrètes. Pour cela il est important d’aider notre pays en développant un fort sentiment éco-citoyen, afin d’encourager et d’assister au mieux tous les efforts et les projets à venir dans ce domaine. 6 De par sa position géographique, le Maroc est un pivot géopolitique majeur de l’Afrique et son histoire en fait un symbole vivant de transition, un vecteur entre monde moderne et traditionnel, entre « nord » et « sud ». L'association « Pour un Maroc Vert » et Ynna Holding, Groupe Miloud CHAABI s'unissent pour œuvrer pour un Maroc vert sur le plus grand Festival Africain pour l'Ecologie et le Développement Durable qui a été organisé du 28 au 31 mai 2009, à Mohammedia, sur l'un des Parcs industriels de Ynna Holding, sous le thème :"L'eau c'est uploads/Finance/ attijari-rapport-final.pdf

  • 27
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager
  • Détails
  • Publié le Nov 29, 2022
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
  • Taille du fichier 0.2546MB