1 Concours CMI : a- *Une orbitale atomique indique la probabilité de présence d
1 Concours CMI : a- *Une orbitale atomique indique la probabilité de présence d'un électron autour du noyau d'un atome isolé. Elle dépend de la fonction d'onde de l'électron (et plus précisément de son module au carré), déterminée par l'équation de Schrödinger en utilisant l'approximation orbitale. *En chimie quantique, une orbitale moléculaire est une fonction mathématique décrivant les états électroniques d'une molécule. Cette fonction peut être utilisée pour calculer des propriétés physiques ou chimiques, telle la probabilité de trouver un électron dans une région précise. Les orbitales moléculaires sont souvent construites à partir d'une combinaison linéaire d'orbitales atomiques ou par hybridation de chaque atome d'une molécule ou d'autres orbitales moléculaires de groupes d'atomes. Elles peuvent être calculées quantitativement ; la méthode de Hartree-Fock est l'une des méthodes les plus simples le permettant. b- La spectroscopie RMN repose sur la détection du phénomène RMN, qui se produit lorsque des noyaux atomiques de spin non nuls sont placés dans un champ magnétique externe généralement uniforme et qu'ils sont excités par un rayonnement radiofréquence accordé sur les différences d'énergie entre les différents états possibles du spin nucléaire. C- Il s’agit d’une transformation au cours de laquelle un certain nombre de constituants initiaux appelés réactifs donnent dans l’état final des produits. Des liaisons interatomiques sont rompues au niveau des réactifs pendant que de nouvelles apparaissent au sein des produits. Concours Master 2 Définitions : Les méthodes physiques mettent en jeu la mesure d’une grandeur physique liée à la concentration d’une espèce chimique évoluant dans le temps. 1) Conductimétrie : La conductimétrie est une méthode physique qui permet de suivre une cinétique, de faire des titrages acido-basiques, de déterminer des constantes thermodynamiques. 2) Spectrophotométrie : En spectrophotométrie, on mesure l’absorbance de la solution en fonction du temps. Toutes solutions colorées absorbent plus ou moins une partie de la lumière visible. Cette lumière contient toutes les radiations visibles : chaque radiation est caractérisée par une longueur d’onde allant de 400 nm à 800 nm pour le visible. La lumière diffusée par la solution détermine sa couleur. 3 4 a- les méthodes physiques sont : la conductimétrie, la spectrophotométrie, la mesure des pressions. b- les avantages et les inconvénients des méthodes physiques : c- On peut utiliser des méthodes non destructives : Elles ne font pas intervenir de réactions chimiques. On utilise des grandeurs physiques dont la valeur ne dépend que de la concentration en espèce de la solution : •Variation de l’indice de réfraction. •Variation de l’absorption de lumière (absorbance). •Variation de la conductance G. Dosages destructifs ou directs : On utilise alors une réaction chimique. Le réactif titré est l’espèce dont on veut déterminer la concentration, il est contenu dans la solution à doser. On utilise une solution titrante contenant un réactif titrant choisi en fonction de l’espèce à doser. 5 On peut citer : dosage volumétrique simple, dosage en retour, dosage acido-basique, dosage d’oxydoréduction, dosage potentiométrique, dosage conductimétrique, dosage par précipitation. D et e : aucune idée Le choix d'une réaction de dosage acido-basique doit satisfaire à trois exigences. Elle doit être: Unique (non parasitée par une autre réaction ayant les mêmes réactifs mais des produits différents), Totale (disparition d'au moins l'un des réactifs mis en présence), Rapide (parvenir à son terme instantanément ou dans un délai très bref). a- je sais pas b- En chimie, une solution est dite solution idéale si les interactions entre les molécules qui composent cette solution, toutes espèces confondues, sont toutes identiques. Alors que dans une solution réelle les interactions moléculaires sont différentes. c- savoir si on a un équilibre thermodynamique. Lorsqu'un système est à l'état d'équilibre les potentiels chimiques de tous les constituants du système sont égaux. 6 a- On appelle population un ensemble d’éléments homogènes auxquels on s’intéresse. En statistique descriptive, une population est un ensemble fini d'objets (les individus ou unités statistiques) sur lesquels une étude se porte et dont les éléments répondent à une ou plusieurs caractéristiques communes. On peut ainsi parler d'une population d'écrous produits dans une usine. b- On note la moyenne par le diacritique macron, caractère unicode u+0304, par exemple la moyenne des valeurs de x est notée x ̄ . 7 Sa formulation mathématique peut se faire comme suit : Pour une série statistique dont le nombre total d’occurrences est infini ou inconnu, mais dont les fréquences sont connues pour chaque valeur possible de la série, la formulation mathématique devient : La moyenne arithmétique d'une distribution f d’une variable continue à valeur dans un intervalle scalaire fini [x0, x1] est la généralisation à la limite de la formule statistique discrète précédente : c- Dispersion autour de la moyenne Après avoir calculé la moyenne, on peut chercher à savoir de quelle façon les valeurs s'éloignent de cette moyenne. On crée alors une nouvelle série statistique : la série des écarts. La somme algébrique des écarts d'un ensemble de nombres à leur moyenne arithmétique est nulle. d- caractère d'une série statistique • Le caractère d'une série statistique est l'objet de notre étude sur une population donnée. Ce caractère prend un certain nombre de valeurs ou de modalités. • Si les valeurs prises par ce caractère ne sont pas des nombres, on dit qu'on étudie un caractère qualitatif. • Si les valeurs prises par ce caractère sont des nombres, on dit qu'on étudie un caractère quantitatif. 8 Quantitatif discret si le caractère peut prendre un nombre fini de valeurs, quantitatif continu si il peut prendre toutes les valeurs entre deux nombres donnés. Discrète ou continue ? Une variable quantitative peut être discrète ou continue. Une variable discrète a une valeur finie. Il est possible de les énumérer ( » 1, 2, 3,… »). Une variable continue peut prendre, en théorie, une infinité des valeurs, formant un ensemble continu. Par exemple, le temps de réussite d’une tache sera compris entre 0 et 300 secondes, et pourra prendre les valeurs 12,235689 ou 12,235699999. a- 9 10 Les courbes de polarisation : a- La lampe à acétylène (ou lampe à carbure) est un moyen d'éclairage le plus souvent portable. La source lumineuse est la flamme de combustion du gaz acétylène, celui-ci résultant de la réaction de l'eau sur le carbure de calcium tous deux contenus dans la lampe 11 b et c- Action de l’oxygène sur un Alcalin M et les Alcalino-terreux : d- Les métaux alcalino-terreux constituent la deuxième colonne du tableau de classification périodique des éléments. On peut distinguer les alcalino-terreux vrais : calcium, strontium, baryum, radium et deux éléments plus légers : béryllium et magnésium , qui présentent des particularités propres. Ce double nom d'alcalino-terreux trouve son origine dans les propriétés des oxydes, qui furent les premiers connus : infusibles et sans éclat métallique, ce sont des « terres » comme l'alumine, mais leur caractère fortement basique les rapproche aussi des bases alcalines. L'utilisation de la chaux comme mortier dans les constructions remonte à la plus haute antiquité. La réaction de l’eau avec la chaux est la suivante : Ca(OH)2 + CO2 → CaCO3 + H2O ou, en écrivant les espèces sous forme ionique : Ca2+ + 2 OH- + CO2 → CaCO3 + H2O. e- La majeure partie de l'oxyde de magnésium est actuellement obtenue soit à partir de carbonate de magnésium MgCO3 qui constitue certains minéraux tels que la magnésite, soit à partir de chlorure de magnésium que l'on extrait de l'eau de mer ou de saumures souterraines. La première voie utilise une simple calcination : le carbonate de magnésium chauffé de 700 à 1 000 °C se décompose en oxyde de magnésium et en dioxyde de carbone : MgCO3 → MgO + CO2. La deuxième voie met en jeu deux étapes : on précipite l'hydroxyde de magnésium Mg(OH)2 par ajout de chaux à une saumure concentrée en chlorure de magnésium : 12 MgCl2 + CaO + H2O → Mg(OH)2 + CaCl2 la calcination de l'hydroxyde de magnésium ainsi obtenu fournit l'oxyde de magnésium : Mg(OH)2 → MgO + H2O f- Un hydrure est un composé chimique de l’hydrogène avec d’autres éléments. À l’origine, le terme “hydrure” était strictement réservé à des composés contenant des métaux mais la définition a été étendue à des composés où l’hydrogène a un lien direct avec un autre élément. Hydrure de lithium ( LiH) est le composé de lithium et de l'hydrogène. Ce est un solide cristallin incolore, bien que les échantillons commerciaux apparaissent en gris. Caractéristique d'un hydrure de type sel, il a un point de fusion élevé (689 °C ou 1272 ° F). Hydrure de Fluor : FH (je ne suis pas sure) Hydrure de soufre : SH2 (je ne suis pas sure) Hydrure de calcium : L'Hydrure de calcium est un composé chimique de formule CaH2. Sa poudre grise (blanche si elle est pure, ce qui est très rare) réagi avec l'eau pour former du dihydrogène. Pour cette raison il est utilisé comme agent séchant. Hydrure de titane est un composé inorganique non-stœchiométrique, généralement noté TiH2. Sa forme commerciale est une poudre uploads/Finance/ concours-cmi.pdf
Documents similaires
-
13
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Dec 21, 2021
- Catégorie Business / Finance
- Langue French
- Taille du fichier 1.7687MB