Problème économiques contemporains L’économie n’est pas une science exacte. PIB
Problème économiques contemporains L’économie n’est pas une science exacte. PIB= à la somme des valeurs ajoutées sur un territoire national pdt une durée d’un an de l’ensemble des entreprises sur le territoire national, ainsi que de ses implantations à l’étranger. La Fr possède des dettes. La dette de la Fr est de 120% du PIB. Nous avons aussi en Fr un déficit budgétaire qui pèse 10% du PIB. Il y a 10 millions de chômages en Fr, ne pas se baser sur pôle emploi. Tout dispositif législatif est cadré par rapport à un dispositif économique. Dans le domaine juridique on sera toujours lien au domaine économique. En Fr il y a environ 35 milles articles de loi. Un pays fortement endetté va entraîner des répercussions sur le chômage, la production, la société. CHAPITRE INTRODUCTIF L’économie et son domaine I/ Qu’est-ce que l’économie ? L’économie étudie l’emploi de la rareté des ressources pour la satisfaction des besoins humains, c’est une science humaine et non exacte qui s’appuie sur un ensemble de théorie bien souvent paradoxale (tout et son contraire, pour expliquer des mécanismes économiques. Il en résulte 2 systèmes opposés : un que l’on appelle le capitalisme ou libéralisme, que l’on opposera au socialisme. L’être humain satisfait ses besoins par nature illimitée au travers de biens produits par lui- même en quantité limitée. 1) Les besoins illimités Un besoin est un sentiment de manque que l’on cherche à faire disparaitre par la consommation de biens et de services divers. La satisfaction d’un besoin entraine souvent l’apparition d’un autre besoin souvent plus sophistiqué qu’il faut satisfaire à son tour etc. ces besoins illimités peuvent être classé : - En besoin vitaux : ce sont des besoins absolu, identique, que tous les êtres humains nécessaire à sa survie. - Les besoins sociaux : que l’on dit non indispensable à la survie mais tellement agréable. Tel que se distraire, cultiver. 2) La satisfaction des besoins par les biens limités En dehors des bien que l’on dît libre qui existe à l’État naturelle, en quantité illimités tous les autres biens sont créé par l’être humain. Il n’existe donc par définition quand quantité limitée. Ces biens limités sont appelé des biens économiques. Ils nécessitent l’utilisation de ressources limitées, tels que l’énergie, les matières premières, le travail, le capital technique. Ils peuvent être classé en : - En biens par nature : ce sont des biens matériels, les biens immatériels (les services) et les biens de production (ordinateurs) qui sont utilisé pour produire d’autres biens. - Les biens par destination : ils comprennent les biens de consommation intermédiaire qui sont intégré dans la production d’autre bien. Par exemple : bois, farine. Il y a également les biens de consommation finale, qui sont utilisés pour satisfaire directement les besoins. On distingue les biens de consommation durable (voiture, maison, châteaux). On distingue aussi les biens semi-durables tels que les vêtements. Et nous avons des biens non durables comme les boissons, la nourriture etc. 1 3) La science économique et la science des choix Satisfaire des besoins illimités avec des biens limités nécessite impérativement de faire des choix. Ces choix impliquent des choix de dépense mais aussi des choix de répartition et des choix d’investissement 4) La distinction entre macro-économie et micro-économie La micro-économie : c’est la partie de l’économie qui étudie le comportement des unités individuelles de décision et d’action économique. Il s’agit de l’étude des individus qui sont soit offreurs, soit demandeurs sur les différents marchés. La macro -économie : désigne la partie de la théorie économique qui s’intéresse aux faits économiques globaux concernant les grands ensembles (pays, secteurs d’activités, les branches économique) et aux interdépendances entre ces phénomènes. Elle a pour ambition de s’intéresser à la totalité de l’ensemble économique. Chaque élément prenant son sens que par rapport à une structure qui régule l’ensemble du système. Les décisions micro-économiques ne sont pas isolées par effet d’entrainement et de comportement moutonnier. Elles influencent le phénomène macro-économique. Les décideurs micro-économiques modifient leur anticipation et contribue à la réalisation du changement annoncé. II/ L’analyse économique par la Loi de d’offre et de la demande Le marché est le point de rencontre réel ou virtuel sur lequel les acheteurs et les vendeurs rentrent en contact pour échanger des biens et des services : L’offre : c’est la quantité d’un bien que les vendeurs souhaitent vendre pour chacun des prix possibles. Dans un diagramme de courbe la pente de la fonction de l’offre par rapport au prix est logiquement positive. Plus les offreurs sont disposés à fabriquer un bien ou proposer un service, plus le prix est élevé. La pente va s’accentuer. La demande : c’est la quantité d’un bien que les acheteurs souhaitent acquérir pour chacun des prix possibles. La pente d’une courbe de demande est logiquement négative car plus le prix est élevé moins les demandeurs sont prêts à acquérir un bien. La formation des prix : lorsque les prix sont bas la quantité demandée dépasse la quantité offerte. L’inverse est vrai lorsque les prix sont élevés. A un certain prix intermédiaire la quantité demandée est égale à la quantité offerte. Le prix d’équilibre est celui pour lequel la quantité demandée est égale à la quantité offerte. Lorsqu’il y a des forces contraires ou antagonistes, elles incitent à modifier le prix pour le rapproché du prix d’équilibre, c’est le cas lorsque l’on a des stocks excédentaires. III/ Les courants de la pensées économiques En matière économiques se sont principalement des théoriciens qui tirent des observations. La science économique n’est pas une science mathématique. 3 courants principaux en matières économiques : - Le libéralisme ou le capitalisme - Le marxisme - Le keynésianisme a) Le libéralisme ou le capitalisme Le 1er courant de penser économique prend naissance a la fin du 18 -ème siècle. 2 Le 1er économiste : Adam Smith (1723-1790) est un philosophe et économiste qui est à l’origine de la pensée libéral classique optimiste. Il a écrit en 1776 « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations ». C’est le père de l’économie moderne et du libéralisme. Il est à l’origine de ce que l’on appelle la théorie de la main invisible : c’est la libération du marché. Il a démontré que c’est la somme des particuliers qui faisait la somme des intérêts général. Le 2eme économiste : David Ricardo (1772-1823) est un économiste et socialiste. C’est un grand théoricien du libéralisme politique. Il a mis en évidence les vertus du commerce international parce que l’on appelle des avantages comparatifs. Il a écrit en 1817 « Principes d’économie politique et de l’impôts ». Le 3ème économiste : Jean-Baptiste Sai (1767-1832) est le chef de file de l’école classique française. Il a mis en place la loi sur les déboucher : c’est l’essentiel de la pensé classique libéral. Il a écrit en 1803 un traité économique et politique. Les principes du libéralisme : - Le fonctionnement du marché : génère le bien être maximale si les individues sont libre d’agir - L’intérêt général : est la multitude des intérêts particuliers (théorie de la main invisible) Les conséquences du libéralisme : - « Le laissez faire » dans ce cas le rôle de l’Etat est limité à celui d’Etat- gendarme passe par une politique d’enseignement, de santé b) Le marxisme L’origine : Carl Marx (1818-1883) philosophe, sociologue, économiste, homme politique et journaliste allemand. Fondateur du matérialisme dialectique historique. Partisans des transformations radical de la société. Son œuvre principale « le capital » a été écrit à partir de 1847. Il fait un critique radical du capitalisme en annonçant son effondrement et l’avènement d’une société socialiste. Son œuvre est à la base de toute un courant de penser il porte son nom du collectiviste et des régimes collectivistes. Il a écrit « le monde salarial du 21ème siècle sera le nouvel esclavagiste moderne ». Les principes du marxisme : - Selon le capitalisme possède les moyens de production et exploite les ouvriers. Les capitalistes son t ainsi les seuls à posséder et à bénéficier des plus-values Les conséquences du marxisme : - La mort du capitalisme est inévitable à force de renier sur les salaires. La classe ouvrière s’appauvrie et les débouchés se réduisent. c) Le keynésianisme L’origine : John Keynes (1883-1946) est un économiste britannique. Il a écrit en 1836 la théorie général de l’emploie de l’intérêts et de la monnaie. Il a donné son nom a un courant de penser économique qui s’inspire de près ou de loin de ses théories. Notamment : « politique de relance par la demande », « politique de grands travaux », « politique d’endettements d’un Etat ». A la suite de la grande dépression de 1929 il a remis en cause le libéralisme. Les principes du keynésianisme : - Le marché ne peut pas tout réguler, il va a l’encontre de ce qu’a démontrer Adam Smith. L’économie peut connaitre des situations d’équilibre durable de sous emplois. 3 - Le chômage résulte d’une insuffisance de la demandes globales. uploads/Finance/ cours-economie.pdf
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- Publié le Apv 13, 2021
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