Ministère de l’enseigneMent supérieur et de la Recherche Scientifique Universit
Ministère de l’enseigneMent supérieur et de la Recherche Scientifique Université Mohamed Boudiaf - M’sila Faculté de Technologie Département de GENIE CIVIL 1ère Année Master Géotechnique Matière : talus et soutenemnt Expose : Ouvrages de souténément Étudiant : Enseignant : mahmoudi amar abdelhamid mekki lakhdar moussa radhwane Année Universitaire : 2021/2022 1. Introduction ……………….…………………………….………… 2. chapitre 1 ………………………...…………………………………………… 3. chapitre 2 …………….………………………………….…………………… 4. chapitre 3 ………………………...…………….………………. 5. Annexe ………………………...…………….……. 6. Conclusion…………………………………………………… Introduction : Les ouvrages de soutènements sont des ouvrages courants de génie civil. Ils sont construits en nombre pour des usages aussi varies que le blindage de fouille pour la construction D’ouvrages souterrains (parking, voirie, soubassement d’immeubles …) la détermination des forces agissantes entre le sol et les structures de soutènement est une étape importante dans l’ingénierie géotechnique. Une conception sécuritaire et économique dune écran de soutènement nécessite une connaissance profonde des pressions de terre passive et active. Ce travail vise l’estimation numérique d’une part de l’influence des modes de mouvement observés en pratique et d’autre part l’influence de la flexibilité de l’écran de soutènement sur les diagrammes et les coefficients de pression des terres passives et actives le travail présenté dans ce exposé aborde la problématique d’améliorer la prévision de la distribution des également à prévoir les effets de la flexibilité d’écran de soutènement sur les pressions des terres. En pratique, ce expose s’articule en trois chapitres. developpement : chapitre 1 : Classification des ouvrages de soutènement. types d’ouvrages de soutènement classés d’après le mode de reprise de la poussée, en séparant les ouvrages rigides des ouvrages souples ou semi-souples Il existe de nombreux types d'ouvrages de soutènement, qui ont été conçus pour répondre aux situationsles plus diverses. Ils se distinguent principalement par : • leur morphologie ; • leur mode de fonctionnement • les matériaux qui les constituent ; • leur mode d'exécution ; • leur domaine d'emploi privilégié (urbain, montagneux, aquatique,...) Le tableau 1 montre les divers. Chapiter 2 : Action et sollicitation. I -LES ACTIONS I. 1 Définition : Les actions sont des forces et couples dus aux charges appliquées (permanentes, d’exploitation, climatiques, sismiques …etc.) et/ou aux déformations imposées (variations thermiques, tassement d’appui …etc.). On distingue, suivant leur nature, leur durée d’application, leur fréquence de retour, leur superposition avec d’autres actions : les actions permanentes notées G dont l’intensité est constante ou très peu variable dans le temps, ou bien varie toujours dans le même sens en tendant vers une limite. les actions variables notées Q i dont l’intensité varie fréquemment et de façon importante dans le temps. les actions accidentelles notées FA provenant de phénomènes rares (chocs, séismes …etc.). En général, les actions ont des valeurs nominales, définies soit par les textes réglementaires en vigueur, soit par les cahiers des charges. I. 2 Actions permanentes G : ce sont des actions continues ou pratiquement continues. Poids propres G 0 des éléments de la construction, calculés à partir des densités et des volumes. Poids, poussées et pressions des terres, des solides et des liquides dont les valeurs sont pratiquement constantes dans le temps. Déformations imposées : tassement différentiel d’une fondation, dénivellation d’appui, retrait. Effet de la précontrainte. La charge permanente comprend non seulement le poids propre des éléments porteurs, mais aussi les poids des éléments incorporés aux éléments porteurs tels que : plafond, sol, enduits et revêtements quelconques ainsi que ceux des éléments de la construction soutenus ou supportés par les éléments porteurs tels que : cloisons fixes, conduits de fumée, gaines de ventilation… etc. I. 3 Actions variables Q i : Charges d’exploitation définies tenant compte de la durée de référence et des conditions d’utilisation de la construction. Poids et poussées des solides et des liquides dont le niveau est variable : poussées des terres, sous-pression de l’eau dans une fondation. Charges non permanentes appliquées en cours d’exécution (dépôts provisoires de matériaux, engins de transport et de levage, équipements de chantier). Charges climatiques : effets du vent et de la neige (et du sable éventuellement). Température : (-variations dues au climat : changement de saison, différence entre température nocturne-diurne ;-variations dues aux conditions d’exploitation : fours, cheminées, réfrigérants) Autres. I. 4 Actions accidentelles FA : Leur probabilité d’occurrence (ou d’apparition) est très faible ou faible. effets des séismes. explosions. glissements de terrains. chocs (de bateaux, de véhicules routiers). autres (exemples : cyclones tropicaux). II. LES SOLLICITATIONS I. 1 Définition : Les sollicitations sont les efforts développés dans les éléments par les actions extérieures auxquelles ils sont soumis. Article A320 des CBA93 : les sollicitations sont les efforts (effort normal, effort tranchant) et les moments (moment de flexion, moment de torsion) calculés à partir des actions par des méthodes appropriées. La section droite d’une poutre peut être sollicitée par 6 efforts internes : 3 forces et 3 moments. II. 2 Modes de sollicitations : a)Compression ou traction simple : Z G Y N X Les éléments soumis à un effort axial centré sont rares dans la réalité. Un effort axial centré provoque une contrainte uniforme, c’est à dire constante en tout point d’une section. Les efforts de compression sont naturels, les efforts de traction sont le plus souvent induits dans les éléments des constructions de génie civil. Les efforts de compression sont naturels, les efforts de traction sont le plus souvent induits dans les éléments des constructions de génie civil. b) Flexion simple : Z Y G V y X M z En général la flexion est accompagnée d’un effort tranchant. Si V z =0 mais M z ≠ 0 il s’agit de flexion pure ou flexion circulaire. La flexion joue un rôle déterminant dans les éléments des structures sauf pour les éléments courts qui ne peuvent pas fléchir, pour lesquels l’effort tranchant sera prépondérant. X G T1 N G X O P2 P1 c) Flexion composée : Y Z V y G N M z X W V e n t N C’est la combinaison de flexion avec un effort normal (M ≠ 0, N ≠ 0, V ≠ 0). d) Cisaillement pur : P i è c e A B e n t r e 2 c o u t e a u x d e c i s a i l l e B B o u l o n a s s e m b l a n t 2 p i è c e s A F F B A e) Torsion : Y Z G M t X La torsion apparaît lorsque les charges verticales n’agissent pas selon les plans de symétrie de la section. Chapiter 3 : Dimensionnement et justifications : I.Principes de dimensionnement justification : Le dimensionnement d’un talus en sol renforcé par nappes géosynthétiques relève de justifications aux États Limites Ultimes (ELU) et aux États Limites de Service (ELS). La justification de l’ouvrage aux ELU concerne ses stabilités externe, générale, mixte et interne. De manière générale, on considère que la stabilité interne est satisfaite si la distribution, avec la profondeur, des efforts de traction mobilisables en un point d’un renforcement (Tmax ;d, cf. 5.2) suit la même évolution que la poussée des terres. Les déplacements et les déformations qui pourraient être préjudiciables à l’ouvrage et, le cas échéant, aux constructions voisines doivent être définis au début de l’étude d’un projet. Par des modèles appropriés, la justification aux ELS consiste à vérifier que ces déplacements et déformations ne sont pas atteints. Comme tous les modèles de calcul existants à ce jour ne permettent que d’évaluer des valeurs approchées de la réalité, il peut être utile de procéder à des mesures en cours de construction. I.1. La stabilité externe : Les massifs renforcés courants sont conventionnellement considérés comme monolithiques pour le calcul de leur stabilité externe. Celle-ci comprend les vérifications de la stabilité vis-à-vis du glissement à l’interface avec le sol support et du poinçonnement de celui-ci (défaut de capacité portante). I.2. La stabilité générale : La vérification de la stabilité générale consiste à évaluer l'impact de l'ouvrage sur la stabilité du site, en comparant le niveau de stabilité avant travaux avec celui après réalisation du projet. Elle doit s’effectuer en considérant un nombre suffisant de lignes de rupture potentielle par grand glissement, extérieures au massif (Figure 1). Figure 1 I.3. La stabilité mixte : La justification de la stabilité mixte consiste à vérifier le choix des géosynthétiques en type, nombre, longueur et disposition à l'intérieur du massif, de façon à assurer l’équilibre, pour toutes les surfaces de rupture qui coupent un ou plusieurs renforcements et/ou suivent le plan d’un renforcement (Figure 2). Celle-ci est menée dans la « zone d’influence du projet », où toutes les lignes de rupture potentielles sont étudiées. Pour des raisons pratiques la vérification de la stabilité mixte peut s'effectuer en même temps que celle de la stabilité générale. Figure 2 Annexe : Conclusion : Les techniques géo synthétiques pour la construction d’ouvrages de soutènement semblent matures. C’est le bilan que nous pouvons uploads/Finance/ expose-red1.pdf
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- Publié le Fev 19, 2021
- Catégorie Business / Finance
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