La Chèvre de ma mère. Le secret de la prospérité financière Incroyable !... Com

La Chèvre de ma mère. Le secret de la prospérité financière Incroyable !... Comment sortir de la pauvreté à partir d’un faible revenu ! Sauvez votre avenir en lisant cet ouvrage www.istc-cd.org La bible dit dans 1 Samuel 2,7 : « …de la poussière, Dieu retire le pauvre… ». Mais comment ? Peu de gens le savent. Ce livre vous montre comment sortir de la pauvreté et devenir financièrement indépendant ou riche. Car, l’auteur démystifie la vieille croyance selon laquelle il est impossible de devenir riche. De même qu’un troupeau peut naitre d’une seule chèvre, on peut parfaitement devenir riche si l’on apprend à bien vivre avec le peu qu’on gagne. Une connaissance que l’école ne nous apprend pas. Lisez et faites lire ces livres à votre famille et à vos connaissances. La Chèvre de ma mère. Le secret de la prospérité financière Introduction n enseignant aux autres, j’ai fini par beaucoup apprendre sur les raisons pour lesquelles nombreux sont et demeurent pauvres malgré leurs efforts pour sortir de la misère. L’une d’elles est le manque de fonds ; beaucoup ne savent pas comment les obtenir. Ils ont des rêves et des projets valables, mais pas d’argent pour les concrétiser. Évidemment, que pouvez-vous vraiment faire dans ce monde d’aujourd’hui sans un sou en poche ? Cependant, si les fonds sont nécessaires pour la concrétisation de nos projets, que faisons-nous pour les obtenir ? Généralement rien du tout, sinon attendre passivement qu’ils tombent un beau jour de quelque part. Malheureusement, cela n’arrive jamais. D’ailleurs, d’où viendraient-ils ? J’ai rencontré de jeunes gens de moins de trente ans qui espèrent des fonds pour réaliser leurs beaux rêves. Bon, ils sont encore jeunes. Si, à leur âge, ils ne les trouvent pas, ils se disent que ce sera peut-être le cas à la trentaine. Par un heureux hasard, ils obtiendront l’argent tant espéré ! J’ai également côtoyé des trentenaires qui attendent patiemment des fonds depuis leurs vingt ans. Peut-être se disent-ils « Si nous ne les trouvons pas maintenant, nous les trouverons à la quarantaine ou à la cinquantaine. » Pourtant, j’ai aussi croisé des individus de quarante et cinquante ans, pauvres et humiliés par leur situation, qui affirment que « s’ils avaient eu des fonds, ils n’en seraient pas arrivés là ». Ils ont attendu ces derniers durant toute leur vie et les attendent encore aujourd’hui ! Qui sait ? Patientent-ils en vain ou obtiendront-ils finalement cet argent lorsqu’ils n’auront plus de force pour entreprendre quoi que ce soit ? Vraisemblablement, le malheur de nombreux vient du fait qu’ils attendent l’argent avant de se lancer. Ils ne comprennent pas qu’avant eux plusieurs ont fait de même et ont achevé leur vie dans la pauvreté. En Afrique, j’ai rencontré des auditeurs qui affirment attendre des fonds de démarrage provenant de leur famille résidant en Europe. Et en Europe, lors de mes conférences et voyages, j’ai discuté avec des immigrés qui prévoient de rentrer en Afrique une fois l’argent reçu. C’est paradoxal ! Et vous-même, cher lecteur, avez-vous besoin d’un capital pour vous lancer ? L’attendez-vous aussi ? Depuis combien de temps ? Un, cinq, dix, quinze ans ? E La Chèvre de ma mère. Le secret de la prospérité financière Patienterez-vous encore pendant combien de temps ? De qui espérez-vous l’obtenir ? Quant à moi, je fus l’une de ces personnes qui attendirent longtemps l’arrivée des fonds pour se lancer dans la vie. J’avais frappé à toutes les portes (celles de ma famille, des connaissances, des organismes, des banques et des structures gouvernementales), mais sans succès. À mes vingt-huit ans, ils n’étaient toujours pas dans mes poches. C’est alors que je fis une grande découverte : quand il est question de réussir et de s’enrichir, certains principes sont incontournables. Les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets, ceux qui les trouvent et les appliquent deviennent riches. Parmi ces principes figure celui que je traite dans ce livre intitulé La chèvre de ma mère. Il consiste à construire son capital avec les moyens du bord dont on dispose plutôt que de l’attendre indéfiniment. Incrédule au départ, je me demandais : « Comment se construire un patrimoine avec un revenu aussi faible qui est le mien ? J’arrive à peine à joindre les deux bouts. » En effet, à cette époque, je gagnais environ 15 $ par mois. Après un moment d’hésitation, repensant à l’histoire de la chèvre de ma mère, je me résolus aussitôt à appliquer ledit principe. Après un début difficile, je finis par construire petit à petit un capital. Et quelques années plus tard, à mes trente- cinq ans, j’avais déjà un patrimoine de plus d’un million de dollars américains. Pendant ce temps, beaucoup d’amis et aînés continuaient à attendre des fonds malgré les années passant. La Bible ne dit-elle pas « À celui qui a, on ajoutera, à celui qui n’a pas, on retranchera le peu qu’il devrait avoir » ? D’où, si vous n’avez rien, il y a beaucoup de chance qu’aucune banque ne vous fournisse les fonds que vous espérez. Mettez-vous à construire votre pécule ; plus vous aurez d’argent, et plus vous aurez la chance d’en obtenir. Ce livre, essentiellement basé sur mon expérience personnelle de la prospérité et sur celles de plusieurs individus dont j’ai étudié le succès financier, va vous révéler le principe qui m’a permis de partir de strictement rien et de faire fortune. Son but est d’aider ceux qui désirent expérimenter la réalité de la prospérité financière dans leur vie, en partant du néant. Grâce à des exemples et des illustrations diverses, ils pourront acquérir une connaissance pratique sur la nature du principe, la meilleure façon de l’appliquer, les difficultés qui peuvent surgir et sur les stratégies pour les surmonter, jusqu’à générer d’heureux résultats concrets : la richesse financière. Il enseigne non seulement la manière d’obtenir l’argent, mais aussi de le garder et de le faire fructifier. La Chèvre de ma mère. Le secret de la prospérité financière Comme vous le découvrirez, grâce au principe appris de la chèvre de ma mère, j’ai pu transformer ma vie de pauvre misérable en celle d’un millionnaire, et ce en moins de quatre ans. Et comme la façon la plus rapide et la plus universelle pour réussir consiste à apprendre auprès de ceux qui ont percé, vous trouverez ici le point de départ vers votre prospérité et richesse. Enfin, je vous prie, à votre tour, de bien vouloir raconter cette histoire simple de la chèvre de ma mère à vos amis, parents, employés et membres de votre église ou de votre communauté, car je suis convaincu que tout le monde peut changer sa vie en connaissant et en appliquant cette loi. Le plus grand bien que je peux faire aux autres n’est pas de leur distribuer ma fortune, mais de leur faire partager ce moyen simple qui leur permettra de ne plus manquer d’argent. Première partie : La chèvre de ma mère 1. Voici l’histoire de la chèvre de ma mère Mon père biologique était un homme très entreprenant. Lorsque je suis né, en 1979, il disposait d’une grande ferme contenant des plantations de café, des troupeaux de bœufs, des chèvres, des moutons et des volailles. Il était sans doute l’un des plus riches du village et de la contrée. Nous mangions de la viande à volonté et notre vie était agréable. Mais, un beau jour, alors qu’il avait à peine quarante ans et moi six, il tomba malade. Son état de santé se détériora très vite et il décéda. Ce fut un certain Jeudi saint de 1986. Il fut enterré le Vendredi saint au soir, le village n’ayant pas de morgue pour garder le corps. Notre peine s’associa à celle de Jésus sur la croix. Notre vie bascula en une fraction de seconde juste après son enterrement. Il faut savoir que, selon la coutume en vigueur dans notre village perdu d’Afrique, les biens d’un homme n’appartiennent pas à ses enfants, mais à sa famille, et donc à son clan. Mes cousins paternels étaient dès lors des héritiers légitimes des avoirs de mon père, leur oncle. Ce système se nomme le matriarcat. Il est en vigueur dans certains coins du continent africain. Il s’agit vraisemblablement de la forme la plus primitive de l’organisation sociale. Mais, hélas ! la tradition La Chèvre de ma mère. Le secret de la prospérité financière étant sacrée, qui pourrait la remettre en cause ? Surtout pas ma mère qui avait grandi dedans ! Nous devions donc quitter la maison paternelle et laisser tous les biens, y compris nos lits en bois et nos gobelets en plastique. Cependant, en signe de reconnaissance et par pitié pour nous, on offrit généreusement à ma maman et à la co-épouse de son mari (mon défunt père étant polygame) une chèvre à chacune. C’est de ce drame familial que naquit cette fameuse histoire de la chèvre de ma mère qui me conduisit à construire mon propre capital à partir de petites économies. Mes auditeurs aiment souvent que uploads/Finance/ la-che-vre-de-ma-me-re-ebook-1-pdf.pdf

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  • Publié le Dec 14, 2021
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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