Introduction Code : socioeco13 Socio-économie : Explique des phénomènes sociaux

Introduction Code : socioeco13 Socio-économie : Explique des phénomènes sociaux à l'aide de la mobilisation de deux variables : l'une éco et l'autre socio. Ex : la conso est à la fois un domaine choisi pr la socio éco : il y a à la fois un phénomène de redistribution des ménages, mais cela dépend aussi de la catégorie socio professionnelle (CSP). Née d'un regard critique de l'économie. Voir bibliographie. 1er PARTIE : Une critique de l'économisme Économisme : approche excessivement centrée sur l'éco : il y aurait des sujets qui nécessiteraient un regard plus élargie. Egoïste, individualiste et maximisateur, c'est là la vision de l'économiste de l'agent économique. Ex : L'agent ne consomme pas pr lui, mais pr se donner une image pr plaire en société. De même, l'agent n'est pas qu'égoïste, il est aussi solidaire. De même, l'agent n'a pas forcément un comportement maximisateur, car à vouloir savoir ce qui va maximiser notre bien être cela peut nous faire perdre de vue ce même objectif. Chapitre 1 : La croissance entre mystique et contestation. La croissance, entraîne une amélioration de certaines conditions (baisse du chômage par exemple, hausse de l'activité éco...) mais pr autant, la croissance n'a pas que des effets positifs : gaspillage des ressources, pollution, dérèglement de l'éco-système. La croissance est insoutenable. Sans croissance c'est mauvais avec, est-ce mieux ?! Section I : Les fins et les moyens du développement humain. 1_L'économisme : une approche réductrice du bien être. Cette approche trouve une illustration entre la distinction que l'on fait entre la croissance et le développement. La croissance c'est quantitatif alors que le développement c'est qualitatif. Les économistes se sont pas pendant très longtemps préoccupés de la croissance éco sans se soucier que l'objectif réel est le dvpmt (c'est insuffisant comme approche mais c'est notre première hypothèse). On prend un indicateur et on mesure son évolution dans le temps : si le PIB croît c'est que l'on s'enrichie, si le PIB augmente de 1% par an pendant 69 ans il aura alors doublé de valeur au bout de ces 69 ans. Les économistes s'intéresse à un taux de croissance qui se fixe entre 0 et 5% de croissance du PIB. La tendance historique de la croissance éco tourne autour de 1,5% par an ces derniers deux siècles. On distingue croissance du PIB et croissance du PIB/hab. Pr les économistes l'indicateur pertinent est le PIB/hab : c a d l'accroissement des ressources mises à disposition de chacun. Les économistes ont une vue restrictive car le PIB par hab est une condition nécessaire du bien être. Mais qu'est-ce que le bien être ? L'accroissement de la production agricole par tête est l'expression la plus naturelle du bien être. C'est aussi avoir l'accès au logement, la possession de vêtements, bref un confort ordinaire. Améliorer le bien être pr les économistes c'est d'abord satisfaire des besoins primaires : se nourrir, se protéger, se soigner. L'allongement de l'espérance de vie est le reflet de cette amélioration du bien être. Les économistes ont donc rapprocher les notions de croissance et de bien être car plus il y a de création de biens plus ceux ci étaient censés satisfaire les besoins, et donc le bien être des hommes : l'augmentation des richesses pr Smith et Ricardo se confondent avec le bien être (notion de croissance infinie). Le développement : notion qui s'est introduit dans les débats éco dans les années 1950, lancée par les USA. Le dvpmt c'est quelque chose qui va au delà du bien être matériel. Le dvpmt ce n'est pas que du quantitatif mais aussi qualitatif. On peut manger plus (quantité) ou manger mieux (qualité). Plus et mieux ne se confondent pas. Les économistes se seraient convenues progressivement que le mieux n'est pas synonyme de plus. Les revendications sur la qualité du travail est davantage mis en lumière qu'auparavant où on ne s'intéressait qu'à la quantité de travail. Comment expliquer que la distinction entre plus et mieux ne soit apparu que tard ? -1e hypothèse : la distinction entre plus et mieux n'est pas si bien distinguée. Beaucoup d'économistes pensaient que tjs plus c'était ça le mieux. Une accumulation infinie de bien a été très longtemps analysé comme étant le mieux. C'est ça la raison de la confusion. On appelle d'ailleurs cela société de consommation (et nous n'en sommes pas sortie). -2e hypothèse : l'augmentation infinie de la quantité de biens est légitimée par le fait que ces nouveaux bien incorpore un PT. Les nouveaux biens sont porteurs d'une promesse d'efficacité... Qu'est ce que le qualitatif ? Ce que l'on analyse comme un surplus de qualité renvoie souvent à un surplus de quantité : ex : le téléphone est mieux car il a plus d'application, plus de couleurs, plus plus.. Une meilleure qualité se confond avec une augmentation de la quantité. La meilleure qualité vient du fait qu'il y a plus de matière souvent (ex : le tissus). Le service de meilleure qualité désigne un service qui a demandé plus de travail. (Quantité / qualité : est ce donc si différent?). A partir de quand la croissance éco devient elle du dvpmt ? Et à partir de quant la croissance éco entraîne t elle un mal dvpmt, un moins bien être ? C'est à partir des années 70, que la baisse du bien être a diminué. Globalement les économistes qui ont travaillé sur la croissance jusqu'aux années 90 se sont entendus sur le PIB par hab comme critère exclusif de la croissance et dvpmt. Il y avait aussi l'espérance de vie, le taux d'équipement etc... Tout étaient ramené à des quantités donc il faut au bout du compte qu'il y ait plus de PIB. Sans accroissement du PIB rien n'était pr eux possible. La croissance et le dvpmt dépendaient donc pr eux de l'accroissement du PIB. Les économistes de l'INSEE se sont vus reprochés d'avoir focalisé leur attention sur le seul PIB. Pk le PIB résumerait à lui tout seul les conditions du bien être ? Un livre sur ce thème : La mystique de la croissance. Le PIB mesure un flux de richesse sociale. Le PIB est un flux qui mesure l'accroissement de la richesse sociale « brute ». Pa s de déduction des consommation de capital fixe : le PIN serait plus pertinent. Le PIB ne mesure pas correctement l'impact de l'activité humaine sur le capital naturel ou social : il comptabilise de manière positive les activités de réparations ou de compensation des pollutions ou destructions de l'écosystème : en termes nets on devrait déduire ces dépenses qui ne font que restaurer la richesse initiale. Il y a des choses dans le PIB qui n'améliore pas le bien être et il y a des choses qui manque dans le PIB qui améliore le bien être notamment le bénévolat. Le PIB est une mesure imparfaite du bien être. On peut recenser trois arguments : -Le PIB ne mesure pas le bien être, certes, mais pk ne pas améliorer cet indicateur en intégrant d'autres indicateurs de bien être. Stiglitz (économiste américain, prix nobel de l'économie) pr essayer d'améliorer cet indicateur. -Il y a un certain désintérêt pr ce type de travaux de la part des économistes. Il n'y a pas l'envi d'améliorer l'indicateur du PIB. Pr eux, le PIB reste valable. -Comment se fait il que les économistes ont laissé les hommes politiques s'emmêler les pattes avec l' indicateur du PIB. En dépit de quelques délégations actuelles, il y a dans le raisonnement éco un vice initial qui explique cette confusion, cette absence de différence entre croissance et bien être. Les économistes, nous racontent comment l'homme va améliore son sort en adoptant des techniques de plus en plus rationnels pr produire et échanger des biens nécessaires à son bien être. Les économistes se sont intéressés à la question : pk y avait il de la croissance : quels sont les facteurs de la croissances (Enquête sur les causes […] de la richesse des nations – Smith). -Smith dit que l'homme est un être égoïste, intéressé, calculateur qui est naturellement enclin à échanger, trafiquer en vue d'améliorer son sort. Le pk de la croissance c'est pr les économistes lié à la nature humaine : l'homme est enclin à améliorer son sort. Lorsqu'il n'y a pas de croissance c'est qu'il y a des obstacles. => La raison de la croissance pr Adam Smith est à rechercher dans la nature humaine. (raison anthropologique qui débouche sur des raisons économiques → ) -L'individualisme est le second élément moteur : l'homme améliore mieux la situation lorsque c'est pr améliorer mieux son sort. Les hommes s'associent, mettent en commun leur énergie pr mieux réaliser leurs objectifs mais une fois que les outils s'améliorent et que chacun peut s'en sortir tout seul alors l'individualisme gagne. -La croissance découle du fait que le travail humain est de plus en plus efficace : l'homme cherche à améliorer son sort, mais il comprend qu'il le fera en améliorant ses techniques. L'augmentation de la production vient de l'amélioration de l'efficacité du uploads/Finance/ partie-1-chapitre-1-la-croissance-entre-mystique-et-contestation.pdf

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  • Publié le Jui 11, 2021
  • Catégorie Business / Finance
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