1 SOMMAIRE INTRODUCTION GÉNÉRALE...............................................
1 SOMMAIRE INTRODUCTION GÉNÉRALE...............................................................3 PREMIÉRE PARTIE: PARTIE THÉORIE I. LE SYSTÉME BANCAIRE EN ALGÉ RIE: 1) La loi Bancaire de 1990………………….. 2) Le système bancaire a) Le secteur public b) Le secteur privé II. L’HISTORIQUE de la BDL: 1) Présentation de la BDL 2) Mission et objet 3) Le capital social 4) Organigramme générale de la BDL (annexe) III. Produits et services BDL : 1) Crédits : a) Crédits destinés aux professionnels : a-1) Crédits commerciaux a-2) Crédits destinés aux promoteurs immobiliers a-3) Crédits spécifiques :(promoteurs,ANSEJ,CNAC,ANGEM) 1 b) Crédits destinés aux particuliers (crédit immobilier) : b-1) Le crédit immobilier de la BDL b-2) Le crédit immobilier (convention BDL /CRM) 2) La Monétique : a) La carte interbancaire BDL (carte CIB Classique & CIB Gold) b) TPE commerçants (paiement sur terminaux de paiement électroniques) c) Service Money Gram d) La carte visa DEUXIÉME PARTIE : PARTIE PRATIQUE I. ENVIRONNEMENT DE LA BDL : Analyse marketing de la BDL : (analyse externe et interne) 1) L’analyse de l’environnement : a) Environnement économique b) Environnement démographique c) Environnement technologique d) Environnement politique e) Environnement social 2) L’analyse du marché : a) Le marché actuel b) Le marché potentiel c) Les hypothèses de travail 1 3) La structure de la concurrence : a) Les concurrents actuels directs b) Les concurrents actuels indirects c) Les concurrents actuels entrants 4) Le comportement des consommateurs : a) Les porteurs b) Les commerçants Les objectifs de la BDL (analyse interne) II. ÉTUDE DE CAS : 1) Base des données 2) Analyse des données III. ÉTUDE STATISTIQUE SEMESTRIELLE DE LA DÉMARCHÉ COMMERCIALE RELATIVE A PÉRIODE DE JANVIER-JUIN 2010 : (TABLEAUX, GRAPHES, ANALYSES) CONCLUSION GÉNÉRALE ANNEXES (organigramme, Direction générale, Directions Centrales, Listes des Agences BDL concernées par la Carte VISA et le service Money Gram, courrier de transmission de l’étude de cas). INTRODUCTION GÉNÉRALE : 1 L’ Etat Algérien s’est engagé dans un vaste programme de reformes du secteur financier. Celui-ci obsolète et rigide, est l’objet de critiques des investisseurs étrangers comme des simples citoyens. La modernisation des systèmes de paiement interbancaires est l’un des chapitres essentiels de ladite reforme. Qu’il s’agisse des paiements de masse ou de gros montants, celle-ci se veut le développement des paiements en tant que service bancaire de base. Le système de paiement est un bon indicateur du fonctionnement d’une économie, en particulier, dans une économie de marché, d’où l’engouement de notre pays de miser sur cette variable stratégique. La banque remplit trois grandes fonctions. Sa première mission est de collecter les ressources tout en multipliant les produits de placements. Sa deuxième grande mission s’oriente autour du financement de l’économie, en particulier à couvrir les besoins en crédits d’exploitation et d’investissement pour les entreprises et les particuliers. Sa troisième activité- clé est la gestion des moyens de paiement. C’est la banque qui est à la source des paiements de tout genre. Aussi bien vers les opérateurs économiques que les particuliers. C’est dire l’importance de cette fonction dont l’activité doit être exécutée d’une manière rapide, sécurisée, satisfaisante et rentable. Ainsi, Les trois fonctions de la banque sont toutes liées à des produits. Des produits d’épargne, de crédit et des moyens de paiement. Les mutations de l’environnement de la banque, notamment la concurrence nationale et internationale, ne permettent pas aux banques de prendre des décisions sans tenir compte des besoins et des désirs des consommateurs, toujours en quête de nouveaux produits et de plus en plus exigeants. C’est pourquoi le marketing se veut une démarche qui se rapproche le plus possible de ces nouvelles exigences. Cependant, la banque se trouve, de nos jours, contrainte de revoir son organisation de base et de l’intégrer très vite dans sa gestion. Il devient, dès lors, un outil indispensable à la survie, puis au développement d’une banque moderne. La banque du développement local, une banque publique algérienne, essaie d’introduire de plus en plus de nouveaux produits afin de satisfaire davantage de clients. C’est le cas de la carte interbancaire de retrait et de paiement. Ce produit, si mature ailleurs, est aujourd’hui une réalité tangible dans notre pays. Méconnu du grand public, ce produit connaît des débuts difficiles face à une population fortement résistante au changement. PREMIÉRE PARTIE : PARTIE THÉORIQUE 1 I. LE SYSTEME BANCA IRE EN ALGERIE : 1) La loi bancaire de 1990 : Le paysage bancaire algérien a été reconfiguré depuis la promulgation de la loi 90-10 du 14 avril 1990 relative à la monnaie et au crédit. Cette loi définit un cadre juridique global auquel sera astreinte l’activité bancaire en Algérie. La raison principale qui a conduit à ce nouveau cadre juridique est la série des réformes globales qui est survenue au début des années 90, au lendemain de la « mise à mort » de l’économie dite « socialiste ». En 2003, cette loi a été modifiée et complétée par un nouveau texte dénommé « Ordonnance N° 03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit ». Cette loi constitue désormais la nouvelle loi bancaire et s’applique à tous les acteurs de la place. 2) Le système bancaire : Le système bancaire algérien compte plus de 30 acteurs sur le marché. Plusieurs grandes banques nationales publiques et quelques banques internationales. Ces organismes sont assujettis à la réglementation édictée par le conseil de la monnaie et du crédit (CMC) et sont agréés en qualité de banques, établissements financiers et tout autre organisme (crédit-bail). a) Le secteur public : Le secteur bancaire algérien est dominé par les banques publiques qui détiennent plus de 90% des guichets d’agence bancaire en Algérie. On compte aujourd’hui six banques publiques et cinq établissements financiers. Originellement segmentés en fonction de l’activité de leurs clients. Les banques observent actuellement une tendance vers une vocation de plus en plus universelle en terme de clientèle. Ajouté à cela, Algérie Poste, qui n’est pas encore agréée en tant que banque postale ,fournit une gamme de plus en plus large de services financiers. Elle possède le premier réseau d’agences du pays avec ses 3271 guichets répartis sur les 48 willayas. Enfin un processus de privatisation des banques publiques a été engagé par les autorités algériennes. La loi bancaire de 1990, a permis la création de banques à capitaux privés nationaux et/ou étrangers. Ces nouvelles banques ont pour la plupart connu de graves difficultés, dont la plus notable est la faillite de la Banque Khalifa et BCIA. La décision du CMC de quintupler le montant du capital minimum, de 500 à 2.500 millions DZD, a contribué à assainir le secteur bancaire et a abouti au retrait d'agrément des cinq banques à capitaux privés algériens et une banque à capitaux privés mixtes entre 2003 et mars 2006. b) Le secteur privé : Le secteur bancaire privé commercial est récent mais en développement. Il est composé aujourd'hui de 10 banques. Assez peu développé en termes de guichets (environ 70 agences sur plus de 1.200 guichets bancaires), mais en progression. Il est entièrement constitué de filiales de grands groupes bancaires internationaux. Les 1 établissements de crédit privés visent d'abord une clientèle d'entreprises et de particuliers hauts de gamme, même si l'on constate depuis peu, la création d'établissements de crédit à la consommation, visant une clientèle plus large de particuliers1. Le système bancaire algérien est donc essentiellement public. Il est en mouvement mais il n’a pas encore atteint un niveau suffisant en ce qui concerne le nombre d’acteurs et de produits bancaires. Traditionnellement spécialisé dans la clientèle d’entreprise, il commence à s’ouvrir à la banque du détail. Ces dernières années, le système bancaire a connu quelques scandales financiers du fait de l’inadéquation des règles de supervision et de gouvernance. • J’ai eu la chance, donc, de voir se concrétiser ma demande de bénéficier d’un stage de reconnaissance au sein de La Banque De Développement Local à Staouéli, le stage est étalé du 01.08.2010au 15.08.2010 • Ce stage a été très enrichissant pour moi á plusieurs niveaux : culture générale, recherches et savoirs académiques, formation professionnelle et relationnelle en situation effective de terrain. • Enfin, le rapport qui en résulte,et que voici est le fruit de ressources diverses : recherches, lectures et synthèse de documents,questionnement,observation et consultation de site internet.il s’articule comme suit : - Présentation globale de la BDL - Présentation de l’activité - Informations financières relatives a la BDL II. HISTORIQUE de la BDL : 1) La BDL en bref : La Banque de Développement Local par abréviation BDL est un organisme financier, public, économique qui a été crée par décret n85/85 du 30 avril 1985. La BDL, qui été dotée d’un capital de 500 millions de dinars, a hérite au départ 39 agences, 1succursale, le siège social et un effectif de 700 agents, issus du Crédit Populaire d’Algérie, dans le cadre de la restructuration du secteur financier. Le démarrage de l’activité a eu lieu le 1er juillet 1985. Août de la même année, la banque a repris les activités des Caisses de Crédit Municipal d’Alger, d’Oran et de Constantine, regroupées en un réseau de huit (08) uploads/Finance/ rapport-de-stage-bdl.pdf
Documents similaires







-
39
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Mar 15, 2022
- Catégorie Business / Finance
- Langue French
- Taille du fichier 0.2361MB