La version complète des textes repris dans cet ouvrage peut être trouvée dans l
La version complète des textes repris dans cet ouvrage peut être trouvée dans la série « Opuscules du Cepremap » aux Éditions Rue d’Ulm. www.presses.ens.fr © Éditions Albin Michel, 2017 ISBN : 978-2-226-42273-6 Liste des auteurs Hippolyte d’ALBIS est directeur de recherche au CNRS et professeur à l’École d’économie de Paris. Il travaille sur les conséquences macroéconomiques des évolutions démographiques et sur la démographie du vieillissement. Bruno AMABLE est professeur de sciences économiques à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne et membre de l’Institut universitaire de France. Ses travaux portent sur l’économie politique comparée des modèles de capitalisme et sur le changement institutionnel. Il est l’auteur des Cinq capitalismes (Le Seuil, 2005), de L’économie politique n’est pas une science morale (avec S. Palombarini, Raisons d’Agir, 2005) et, dans la collection du Cepremap (n o 26), de L’économie politique du néolibéralisme. Le cas de la France et de l’Italie (avec E. Guillaud et S. Palombarini, Rue d’Ulm, 2012). Philippe ASKENAZY est directeur de recherche au CNRS et professeur à l’École normale supérieure. Il fut directeur adjoint du Cepremap jusqu’en 2015, assurant ainsi la coédition des précédents volumes des Économiques. Ses recherches portent sur les transformations du travail et l’innovation. Il vient de coéditer Productivity Puzzles Across Europe (Oxford University Press et Cepremap), et a publié récemment Tous rentiers ! Pour une autre distribution des richesses (Odile Jacob, 2016). Maya BACACHE-BEAUVALLET est professeur de sciences économiques à Telecom ParisTech, et membre du laboratoire UMR I3. Ses travaux portent d’une part sur le management public et l’emploi public et d’autre part sur la régulation de l’économie numérique. Elle est l’auteur des Stratégies absurdes (Le Seuil, 2009) et coauteur avec M. Bourreau et F. Moreau de Portrait des musiciens à l’heure du numérique (Cepremap, 2011). Christian BAUDELOT est professeur émérite à l’École normale supérieure. Luc BEHAGHEL est directeur de recherche INRA, directeur de l’UMR Paris- Jourdan Sciences économiques et membre associé à l’École d’économie de Paris. Il travaille sur l’évaluation d’impact de politiques publiques dans différents domaines : emploi, éducation, développement agricole. Antoine BOZIO est maître de conférences à l’EHESS, membre associé de l’École d’économie de Paris et directeur de l’Institut des politiques publiques. Ses recherches portent sur les systèmes de retraite et les politiques fiscales et sociales. Ève CAROLI est professeure de sciences économiques à PSL-Université Paris-Dauphine, chercheuse au LEDa-LEGOS et chercheuse associée à l’École d’économie de Paris et à l’IZA. Ses travaux portent sur la santé au travail et l’impact de la gouvernance d’entreprise sur les pratiques de gestion des ressources humaines. Elle est membre du groupe d’experts sur le SMIC. Damien CARTRON est ingénieur de recherche au CNRS. Sociologue du travail, ses recherches portent notamment sur les effets des nouvelles formes d’organisation (et l’une de leurs conséquences principales : l’intensification du travail sur les conditions de travail et la satisfaction des salariés). Daniel COHEN est directeur du Centre pour la recherche économique et ses applications (Cepremap), directeur du département d’économie de l’École normale supérieure et professeur et membre fondateur de l’École d’économie de Paris. Dernier ouvrage paru : Le monde est clos et le désir infini (Albin Michel, 2015). Brigitte DORMONT est professeur de sciences économiques à l’université Paris-Dauphine, où elle est titulaire de la chaire Santé Dauphine. Elle codirige le programme « Économie publique et redistribution » du Cepremap. Elle est l’auteure du chapitre « Dépenses de santé : une augmentation salutaire ? » dans le volume Économiques 2. Anthony EDO est économiste au Centre d’Études prospectives et d’informations internationales (Cepii) au sein du programme étudiant les migrations internationales. Il est spécialisé en économie du travail et dans le domaine des migrations. Ces travaux portent notamment sur les effets de l’immigration sur le marché du travail des pays d’accueil. Fabrice ÉTILÉ est directeur de recherche à l’INRA et chercheur associé à l’École d’économie de Paris. Il travaille sur la consommation alimentaire, les comportements à risques, le bien-être et les politiques de santé publique. Gabrielle FACK est maître de conférences à l’université Paris-I Panthéon- Sorbonne, membre associé de l’École d’économie de Paris et affiliée à l’Institut des politiques publiques. Spécialiste de l’économie publique et de l’économie du logement, elle a publié plusieurs études sur le fonctionnement des marchés immobiliers et les politiques du logement. Jérôme GAUTIÉ est professeur à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre d’économie de la Sorbonne. Spécialiste d’économie du travail, il a notamment publié Le Chômage (La Découverte, nouvelle édition 2015), et codirigé (avec John Schmidt) Low Wage Work in the Wealthy World (Russell Sage Foundation, New York, 2010), et (avec Ève Caroli), Bas salaires et qualité de l’emploi : l’exception française ?, Cepremap-Éditions Rue d’Ulm (2009). Olivier GODECHOT, est sociologue et professeur à Sciences Po, codirecteur du centre MaxPo et directeur de recherche au CNRS, Observatoire sociologique du changement. Ses travaux portent sur les salaires, les réseaux et le recrutement sur le marché du travail, en particulier sur les marchés du travail financier et académique. Il est l’auteur de Wages, Bonuses and Appropriation of Profit in the Financial Industry (Routledge, 2016), Working Rich (La Découverte, 2007), Travailler pour être heureux ? (Fayard, 2003, avec C. Baudelot, M. Gollac, C. Bessière, I. Coutant, D. Serre, F. Viguier) et Les Traders (La Découverte, 2001). Michel GOLLAC est sociologue et administrateur honoraire de l’Insee. Julien GRENET est chargé de recherche au CNRS, membre associé de l’École d’économie de Paris et directeur adjoint de l’Institut des politiques publiques. Ses travaux portent sur l’économie de l’éducation et sur les politiques fiscales et sociales. Angela GREULICH est maîtresse de conférences à l’université Paris-I. Elle est spécialisée en économie démographique et a notamment travaillé sur le rebond de la fécondité dans les pays développés et sur les effets comparés des politiques familiales. Malka GUILLOT est économiste à l’IPP et doctorante en sciences économiques au Centre de recherche en économie et statistique (Crest) et à l’École d’économie de Paris. Spécialiste de la fiscalité, elle travaille sur l’analyse du système social et fiscal français. Nicolas JACQUEMET est professeur à l’université Paris-I et professeur associé à l’École d’économie de Paris. Ses travaux portent sur l’économie du travail et l’économie comportementale. Il dirige également le master en économie et psychologie (cohabilité entre l’université Paris-I et l’université Paris-Descartes). Ivan LEDEZMA est professeur d’économie à l’université de Bourgogne (laboratoire d’économie de Dijon-LEDi UMR 6307). Ses recherches portent sur le commerce international, le changement technique et l’économie industrielle. Mathieu LEFEBVRE est maître de conférences et responsable du master en Économie de l’assurance et gestion du risque à l’université de Strasbourg. Dominique MEURS est professeure des universités en sciences économiques, chercheuse à EconomiX-Paris Ouest-Nanterre-La Défense (UMR7235) et chercheuse associée à l’Ined (UR09). Marion MONNET est économiste à l’Institut des politiques publiques. Ses recherches portent surtout sur les politiques d’éducation et sur l’analyse du système socio-fiscal français. Pierre PESTIEAU est professeur d’économie à l’université de Liège et membre du CORE-UCL (Université catholique de Louvain). Ses recherches portent sur l’économie publique, la protection sociale et l’économie de la population. Grégory PONTHIÈRE est professeur à l’université Paris-Est et à l’École d’économie de Paris, et membre de l’Institut universitaire de France. Ses recherches portent sur les interactions entre les variables économiques et les variables démographiques. Lucile ROMANELLO est économiste à l’Institut des politiques publiques. Ses travaux portent sur l’évaluation des politiques fiscales et sociales. Gilles SAINt-PAUL est professeur à l’École normale supérieure et à l’École d’économie de Paris. Claudia SENIK est professeur à l’université Paris-Sorbonne et à l’École d’économie de Paris et membre de l’Institut universitaire de France. Ses travaux portent sur l’économie du bien-être subjectif, en particulier sur le lien entre revenu, croissance, inégalités et bonheur. Elle est l’auteur de L’Économie du bonheur, récemment paru au Seuil/République des Idées. Le volume compte également les contributions de Hédi BRAHIMI et de Martin CHEVALIER, étudiants au moment de la rédaction des études concernées. Les auteurs remercient Thibaut Derudder pour son aide précieuse à l’édition de cet ouvrage. Introduction Cette quatrième édition des Économiques reprend, comme les précédentes, les publications récentes du Centre pour la recherche économique et ses applications (Cepremap). Trois thèmes majeurs en ressortent : travailler en France, vivre en France, organiser la complémentarité des marchés et de la protection sociale. La diversité des thèmes retenus témoigne à la fois de la curiosité des chercheurs et de la variété des questions que la France doit aborder pour se réformer. Les inégalités hommes/femmes, la discrimination à l’embauche, l’écart privé-public, la nouvelle fécondité féminine, l’obésité, le logement, l’organisation des marchés et la question de l’État-providence : ces aspects essentiels de la vie privée et professionnelle méritent un nouvel examen. Les textes rassemblés dans cet ouvrage ne se contentent pas de proposer un état des lieux, ils font également des propositions concrètes à destination des pouvoirs publics en général et des citoyens en particulier. Les inégalités hommes/femmes La France, pays attaché au principe d’égalité et de méritocratie, reste un pays où les salaires des femmes demeurent en deçà de ceux des hommes. Malgré un certain rattrapage des niveaux de salaire et d’études, leurs carrières sont marquées par les trop fameux « plafonds uploads/Finance/ repenser-le-modele-social-pdfdrive.pdf
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- Publié le Oct 16, 2022
- Catégorie Business / Finance
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