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Plagiarism Checker X Originality Report Similarity Found: 1% Date: vendredi, mai 21, 2021 Statistics: 129 words Plagiarized / 10219 Total words Remarks: Low Plagiarism Detected - Your Document needs Optional Improvement. ------------------------------------------------------------------------------------------- Plan PARTIE I : CADRE THEORIQUE Chapitre 1 : Généralités sur l’organisation bancaire et les types des crédits et risques liés Section 1 : Présentation de la banque Section 2 : Les types de crédit bancaires. Section 3 : Les types des risques bancaires Chapitre 2 : Réglementation prudentielle et la gestion de risque de crédit Section 1 : Les dispositions réglementaires relatives à la gestion du risque de crédit Section 2 : Les principaux acteurs de la gestion des risques bancaires Section 3 : Technique de couverture des risques de crédit Chapitre 3 : La gestion du risque de crédit Section 1 : La méthode analyse financière classique Section 2 : l’analyse par les ratios Section 3 : les différentes méthodes d’évaluation du risque de crédit PARTIE II : CADRE PRATIQUE Chapitre 1 : Prise de connaissance de l’organisme d’accueil Section 1 : CPM Section 2 : Banque populaire Région de Rabat –Kenitra Section 3 : Direction Gestion des risques Chapitre 2 : Description du processus d’octroi de crédit à la BPR-K et la les techniques de collecte de données Section 1 : Méthodologie de recherche Section 2 : Description du processus d’octroi de crédit à la banque populaire régionale « rabat-Kenitra » Section 3 : La gestion des risques de crédit à la banque populaire régionale de « rabat-kénitra » Chapitre 3 : Etude de cas Analyses et recommandations conclusion I : CADRE THEORIQUE Chapitre 1 : Généralités sur l’organisation bancaire et les types des crédits et risques liés Section 1 : Présentation de la banque I - Définition de la banque : La définition de la banque diffère selon les conceptions Marketing ou financier ; En Marketing, la mission de la banque consiste à l’achat et à la revente de l’argent, alors qu’en finance, il s’agit d’un établissement financier qui a pour fonction la collecte des dépôts en vue de financer des opérations de crédits et d’escompte. Au Maroc, la loi relative aux établissements de crédit et organismes assimilés révèle que : « Sont considérés comme établissement de crédit les personnes morales qui exercent leur activité au Maroc, quels que soient le leu de leur siège social, la nationalité des apporteurs de leur capital social ou de leur dotation ou celle de leur dirigeants et qui effectuent, à titre de profession habituelle, une ou plusieurs des activités suivantes ». II –Historique du système bancaire au Maroc La première banque installée au Maroc a vu le jour en 1844 à Tanger, mais en réalité, l’activité bancaire n’a commencé qu’au début du 20ème siècle avec l’établissement de la Banque d’Etat du Maroc et des succursales de banques étrangères en zone internationales de Tanger et dans les territoires sous protectorat, et ce, suite à la décision prise lors de la conférence d’Algesiras en 1906. Après l’indépendance, et en vue de développer son système bancaire, le Maroc a commencé d’abord par la création de La BANQUE DU MAROC en juin 1959 pour remplacer la Banque d’Etat du Maroc et la réglementation en vigueur, et ce, selon le Dahir n° 1-59-233 du 23 hija 1378 (30 juin 1959). Ensuite, et afin de développer son économie naissante, le Maroc a opté d’une part pour la création des institutions financières telles que la Caisse de Dépôt et de Gestion (la CDG), la Banque Nationale pour le Développement Economique (la BNDE), et d’autre part, la réforme du Crédit Populaire, du Crédit Immobilier et Hôtelier, Crédit Agricole etc. … Le cadre juridique et réglementaire a été refondu par le Décret Royal du 21 Avril 1967, qui avait pour objet la précision des contours de la profession bancaire, en renforçant le pouvoir des autorités monétaires en matière de politique monétaire et de contrôle du système bancaire. En 1974, la marocanisation du système bancaire marocain couvre aussi bien le capital que les organes de gestion. Depuis le début des années 80, le système bancaire marocain a connu une importante évolution concernant l’activité, la restructuration ainsi que l’ouverture sur l’étranger. A partir de 1993, la législation applicable aux établissements de crédits a été renforcée avec la mise en place d’un nouveau texte portant réforme de la loi bancaire, il s’agit de la loi bancaire du 6 juillet 1993, revue et complétée par la loi bancaire 2006. III - La typologie de la banque Deux types de classement se présentent. Selon l’article 11 de la loi bancaire 2006, on distingue trois catégories d’établissements bancaires Les établissements bancaires à caractère public ou semi-public Ceux-ci sont créés par l’Etat afin de promouvoir des activités économiques spécifiques. Actuellement, l’activité de ces établissements s’est convergée vers la banque universelle, en marquant de plus en plus leur présence dans le secteur des banques privées. Parmi les établissements les plus importants, on peut citer : la Banque centrale populaire (BCP), la CDG capital, le Crédit Agricole du Maroc (CAM) et le Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH) Les banques privées ou commerciales Ces établissements se caractérisent par la vocation universelle, leur capital est pratiquement constitué d’une participation étrangère, ils s’organisent dans un réseau développé des correspondants et des succursales implantées à l’extérieur. Parmi les établissements les plus importantes se trouvent : Attijariwafa Bank , la BMCE, la BMCI, la Société Générale (SG) et le Crédit du Maroc (CDM). 3- Les banques off-shore Il s’agit des établissements qui ont été créés dans le but de la modernisation du système financier et bancaire et de promotion des investissements étrangers. Leur engagement réside dans la collecte des ressources en monnaie étrangères convertibles, la réalisation des opérations de placement financier, l’émission des emprunts obligataires en monnaies étrangères convertibles... Parmi les banques offshores, on peut citer : Attijari international Bank (Attijari I.B-BOS). Banque International de Tanger (BIT-BOS). BMCI-Groupe BNP (BMCI-BOS). Chaâbi International Bank. Société Générale Tanger Offshore (SGT-OS). Succursale Offshore de la BMCE (SUCC.OS.BMCE). Section 2 : les types de crédits bancaires : Selon Bernard & al « le crédit est un acte de confiance comportant l'échange de deux prestations dissociées dans le temps, biens ou moyens de paiement contre promesse ou perspectif de paiement ou de remboursement ». Cette définition relève principalement trois notions essentielles dans l'octroi des crédits : La confiance qui doit exister entre les parties contractantes ; Le facteur temps qui est extrêmement important dans ce genre d'opération ; La promesse de remboursement du bien prêté. 1- Les crédits accordés aux entreprises: Les crédits accordés aux entreprises se distinguent en deux catégories : A - Les crédits de fonctionnement ou crédit court terme Les crédits à court terme de distinguent des crédits à moyen et long terme par : Leur durée : En effet contrairement aux crédits à moyen terme et long termes dont la durée peut aller jusqu’à 15 ans les crédits à court terme portent généralement sur une durée d’une année, sachant toutefois qu’ils peuvent dans certains cas atteindre 2 ans. Leur destination : Si les crédits à moyen et long terme financent des investissements et se remboursent sur les résultats secrétés, les crédits à court termes financent quant à eux les dépenses d’exploitation (constitution de stock mobilisation de créances détenues sur les clients) et se remboursent généralement par le dénouement de l’opération qu’il a servi à financer. Ainsi les crédits à court terme servent généralement à financer le cycle d’exploitation d’une entreprise depuis l’achat de la matière première jusqu’à la vente du produit fini. On peut distinguer deux catégories principales de crédit à court termes : Les crédits à court terme donnant lieu à des décaissements d’argent Les crédits par signature qui donne lieu à un engagement écrit de la banque vis-à-vis d’un tiers et ce en garantie d’une opération liant ce dernier et son client. 1 - Crédit de fonctionnement par décaissement 1.1- Les crédits finançant les cycles de production et de stockage. a. Le crédit de compagne Le crédit de compagne est accordé au titre du financement d’un stock dont l’écoulement s’effectue en grande partie à certains moments de l’année. Il est également destiné à financer des cycles de productions saisonnières : Crédit de compagne agricole, Crédit d’engraissement ou d’embauche. Généralement, le plafond des crédit ne doit pas dépasser 50 à 60% des besoins de trésorerie prévisionnels déduction faîte des autres financement dont bénéficie l’entreprise .Quant à la durée du crédit correspond à celle de la compagne sans toutefois dépasser 12 mois. Le crédit compagne est mis en place par la création de plusieurs billets dont les échéances correspondent aux périodes habituelles des rentrées. b. Les avances sur marchandise (ASM) Il s’agit d’avances données pour la constitution d’un stock de marchandises bien déterminées et qui sont remboursées par la vente de ces marchandises .Ces avances sont garanties par le nantissement des marchandises qui peut se faire soit, avec dessaisissement soit sans dessaisissement de la marchandise. Parmi les ASM on peut citer 2 types les plus couramment utilisés au Maroc : Le uploads/Finance/ salma-palgiat.pdf

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  • Publié le Dec 03, 2022
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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