THEORIE DES INCITATIONS QCM DEFI PHOTO 2 S’intéresse au comportement individuel

THEORIE DES INCITATIONS QCM DEFI PHOTO 2 S’intéresse au comportement individuel par opposition à la macroéconomie. L’économie des incitations est : - Une branche de l’économie (microéconomie) - S’intéresse aux comportements (programme de décision, d’optimisation) des agents économiques - Dans un contexte d’asymétries d’information (face a é individus qui réagissent de manière stratégique et l’un des deux à plus d’informations que l’autre) et d’incertitude - Qui a pour objectif de définir des mécanismes (règles et institutions) inciter les agents économiques à maximiser leurs effort (la théorie) - Ces mécanismes cherchent à inciter les agents économiques à exercer des niveaux d’effort plus élevés (inciter les agents économiques à maximiser leurs effort (la théorie)) - Il existe une approche de la firme par des incitations. Le modèle de base de la théorie des incitations : La question la plus élémentaire de la théorie des incitations consiste pour le principal à choisir des règles de jeu que l’autre joueur, l’agent doit accepter. Ces règles de jeu maximisent l’espérance d’utilités (du principal) étant donné le comportement stratégique de l’agent. Il faut noter que ce comportement stratégique reste possible parce que l’agent possède de l’information privée. Ce modèle de base peut ensuite être étendu au cas de plusieurs agents et au-delà. CHAPITRE 1 : LA THEORIE DES COUTS DE TRANSACTIONS (PREALABLE) On suppose que les couts de transaction son nul (dans toutes les théories) CPP revoir définition - Atomicité : aucune entreprise a le pouvoir de déterminer à elle seul le prix. - Homogénéité des marchés : les produits échangés sur le marché sont homogènes - Libre entré et libre sortie, pas de barrières à l’entrée et à la sortie - La libre circulation des facteurs de production (capital et travail) - Transparence de l’information : l’info est disponible et gratuite Avant les couts de transaction, ont raisonné avec cette théorie-là. Sauf que l’information n’est pas toujours disponible et gratuite. On se retrouve avec une asymétrie d’information. Cette théorie met fin à ce raisonnement. Deux acteurs : La théorie des CDT est née avec Coase et Williamson. Coase dit que les CDT s » ont des couts de découvertes des prix adéquats » Il y a donc des couts a supporté pour accéder à l’information. Il existe également des couts liés a la négociation et à la conclusion des contrats pour chaque transaction. Trois composantes (des couts de transactions): la recherche de l’information, comment on va négocier le contrat et prendre la décision ainsi du respect des règles du contrat et quelle institution protège en cas de litiges. Section 1 : Pourquoi la firme existe (Coase) ? Selon Coase : la raison d’être de la firme est du à la volonté d’éliminer les couts du système de prix. - Il nous dit qu’il y a une main (théorie de la main invisible) - En effet la coopération des agents économiques se fait de manière inconsciente par le système de prix. - A l’intérieur de la firme, la coordination se fait de manière consciente par l’autorité de l’entrepreneur. On a une organisation avec un employeur qui décide tous. Valorisation qui se fait de manière consciente par l’employeur. - La firme et le marché constituent deux formes alternatives de coordinations économiques. (Consciente et inconsciente) - La firme se caractérise par une coordination administrative par la hiérarchie - Le caractère distinctif de la firme est celui de la suppression des couts liés au système de prix. L’entreprise mode de coordination plus efficace que le marché car elle réduit les couts de transaction. La coordination par les prix à travers le recours au marché entraine des couts. La coordination en interne à la firme s’impose dans la mesure où elle permet de faire l’économie de ces couts. La taille de la firme selon Coase : On définit la taille de l’entreprise par sa capacité à intégrer en interne le nombre de transaction (échange entre partie qui impliquent un flux réelle passe à un flux financier AB) Par conséquent, ils existent toujours des transactions pour lesquelles le mécanisme de marché restera le meilleur mode d’allocations des ressources. Avec la croissance de la firme, « Les rendements de la fonction de l’entrepreneur peuvent être décroissante cad le cout d’organisation de transaction additionnelles au sein de la firme peuvent augmenter. » Les rendements sont décroissants = l’utilité marginale est décroissante. La satisfaction obtenue par la première utilité sera toujours supérieure à la seconde. A chaque fois qu’on à une transaction supplémentaire, le cout marginal de gestion interne augmente. CAD = Permet de déterminer la taille de l’entreprise. PHOTO COURBE Obligation = titre de créance qui matérialise une dette. Celui qui l’a détient ne fais pas partie du K de l’entreprise qui donne le droit seulement à des intérêts. Action : (def) Section 2 : La théorie des couts de transactions et la nouvelle économie institutionnelle (William) (ratio et data) C’est une synthèse de plusieurs courants de pensée (Coase, Commons, Simon, Arrow, Chandler et l’influence du droit et l’analyse des contrats) Ce qu’on dégage : rationalité limitée, équilibre pas toujours stable sur le marché, important de regarder les organisations car elles peuvent avoir un impact déterminé. Première hypothèse : principe de la rationalité limité (Herbert Simon) Définition (chercher) : (logique d’optimisation pour trouver la situation idéale) Definition : notre comportement ne peut pas être optimisant mais satisfaisant Jamais d’information complète Conduite soumise à l’environnement organisationnel Conséquences = L’incomplétude des contrats. Toutes les situations possibles ne sont pas anticipées dans le contrat. Les contrats sont par nature incomplets - Conditions de déroulement ex-post d’une relation contractuelle prennent une grande importance - Adaptabilité et efficacité du processus de décision et d’interaction avec les agents Il faut qu’au sein d’une organisation savoir faire face à ces situations (protéger l’employeur et le salarié) 3 types de limite à la rationalité (Simon) : - Le cout de traitements de l’information et la complexité des calculs qui interviennent dans la détermination de la décision optimale - Les couts qu’entraine la collecte de l’information - L’incertitude (ne peut anticiper les actions de l’agents économique) inhérente à la vie économique : le résultat de la décision dépend des décisions des autres agents. Deuxième hypothèse : Comportement opportuniste des agents économique (agir pour son propre intérêt au dépend de ceux d’autrui (principal vers agents)) - L’incomplétude des contrats conduit à la possibilité des comportements opportunistes - Un comportement O consiste à rechercher son intérêt personnel Repose sur une révélation incomplète, déformé ou falsifiée de l’information par un agent notamment sur ses capacités et préférences. Le comportement opportuniste : 2 types Ex-ante : - Il se présente avant passation de contrat entre parties - Possible à cause de l’asymétries d’information due à la spécificité des actifs humains (mauvaise sélection) - Il renvoie au problème d’anti-sélection (théorie de l’agence) dites aussi sélection adverse Ex-post : Il y a tricherie dans l’exécution du contrat ou à la fin du contrat (évaluation de partie, reconduction du contrat) -lié à l’incomplétude des contrats, à la rationalité limitée et à la spécificité des actifs - pb d’aléa moral = on ne maitrise pas ce qu’il va se passer). L’analyse des transactions : la spécificité des actifs : 3 Dimensions permettent de différencier les transactions : - La spécificité des actifs La distinction de plusieurs actifs (matériel, humains, dédiés) change radicalement les relations entre agents économiques. La transaction ne peut plus être ni anonyme ni purement instantanée : il se crée un lien de dépendance personnelle durable entre les parties  d’où la nécessité de contrôle des comportements et du respect des engagements, définition des règles de partage des résultats de la coopération - L’incertitude - L’incertitude qui ne peut être traitée par les techniques de calcul économique : l’incertitude non probabilisable. - Incertitude objective et incertitude comportementale - Incertitude et opportunisme sont étroitement liés - La fréquence de la transaction. Elle est unique, occasionnelle ou récurrente) agit sur la forme d’organisation choisie (internalisation ou externalisation  Le choix d’une structure organisationnelle répond avant tout à un critère d’efficacité (capacité de l’organisation à atteindre ses objectifs, peu importe la nature). Il s’agit donc de choisir l’arrangement institutionnel qui minimise les couts (couts de transaction et couts de production) L’efficience : capacité de l’entreprise à atteindre ses objectifs à moindre couts, optimisant les moyens disponibles. 3 types de contrats selon les couts de transaction (William) - Le contrat classique Caractérisé selon l’analyse traditionnelle du marché, transaction ponctuelle (qui ne se répète pas dans le temps), l’objet est parfaitement délimité, la relation est impersonnelle et l’identité des partis importe peu. Toute transaction sur le marché constitue ce type de contrat. - Le contrat néoclassique Il s’agit d’une relation de long terme = incertitude augmente, possibilité de comportement opportunités de la part des agents économique (ex (pb anti-sélection) ou post (pb aléa morale)) (conflits entre parties) car relation de longs terme, contrat incomplet et implique un degré de confiance  recours à l’arbitrage d’un tiers (car incertitude forte, pb d’interprétation) permet de définir les droits et les devoirs des deux parties, résoudre uploads/Finance/ theorie-des-incitations.pdf

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  • Publié le Mai 08, 2022
  • Catégorie Business / Finance
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