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Christ the Christ the King Secretarial School TECHNIQUES DE RECHERCHES Classe d

Christ the Christ the King Secretarial School TECHNIQUES DE RECHERCHES Classe de Junior Article tiré du journal Le Nouvelliste: Incendie au marché de la gare McDonald (17 juillet 2003) Vendredi, 27 mai 2022 Préparé par : Schnaïka CHERFILS Sudelyne LARTIGUE Kaïra POINT DU JOUR Keith Nahela FRANCISQUE Rhode France Antoine JOSEPH Tashie Sakina PLANTO Princia Acause SAINTERVE Professeur : Monsieur Mick Robert Arisma Énoncé : Représentation de la violence à Port-au-Prince : cas de l’Incendie au marché de la gare Mc Donald. Question de recherche : Comment la presse écrite présente-t-elle la violence en Haïti et quelle est son étendue dans la ville de Port-au-Prince. Hypothèse : L’incendie relève d’un acte criminel préparé plusieurs jours à l’avance afin de diminuer les soupçons sur les vrais coupables. Méthode utilisée : Vu que l’on ne s’est pas rendu sur les lieux du crime mais que nous nous sommes contentées d’exploiter les informations fournies dans le journal, la méthode utilisée est indirecte. Méthodologie :  Procuration de l'article grâce au journal que le professeur nous a prêté.  Prise de photos de l’article.  Envoi sur le groupe whatsapp créé afin que le groupe discute et prépare tout ce qui a rapport au groupe de recherche, spécialement pour la réalisation de travaux de recherche.  Réunion du groupe aux heures libres dans la classe.  Énonciation du but de la réunion.  Lecture à haute voix par Cherfils.  Partage des idées de chaque fille sur la manière de procéder pour accomplir correctement le travail.  Recherche des termes importants relatifs à la question de recherche sur internet.  Partage de connaissance sur les faits énumérés dans l’article par rapport aux expériences des filles sur des incendies.  Utilisation du laptop de Rhode pour la rédaction pendant que Kaïra établissait le plan, Rhode rédigeait l’introduction, Princia défininissait les mots relatifs à la violence, Sudelyne relevait les passages où se trouvent ces mots dans l’article, Tashie établissait la comparaison entre les deux articles et Keith faisait la conclusion.  Lecture et vérification du document final par les membres du groupe.  Envoi du devoir au cours de la semaine du 25 avril 2022.  Présentation devant la classe par Kaïra, Tashie et Rhode.  Abandon du Power point comme support suite à une panne d’électricité.  Prise de notes des directives du professeur par rapport aux données manquantes du travail.  Réunion du groupe sur les points à améliorer.  Renvoi du travail au professeur le 20 mai 2022. Matériaux utilisés :  Journal : Le Nouvelliste  Ordinateur portable  Téléphones  Tables de travail  Chaises  Application Whatsapp  Cahiers de notes  Plumes Objectifs du travail à faire : Objectif global :  Soulever les actes de violence à travers la presse Haïtienne Objectifs spécifiques :  Présenter le corpus  Relever les indices linguistiques de la violence  Établir une comparaison étroite entre deux articles.  Montrer les points de ressemblance et de divergence.  Rédiger une conclusion. Objet d'étude : la violence Terrain d’observation et d'expérimentation : Port-au-Prince PLAN Introduction Définition de violence, d’incendie et de crime Les différents passages relatifs à la violence Analyse contextuelle de l’article Les types de violences évoquées et leur définition en s’accentuant sur le type de violence dominant. Dénombrement des mots relatifs à la violence dominante relevée dans le journal Comparaison des articles « La thèse des coups d’état résolument écartée » publiée dans le journal Haïti Observateur du 3 au 10 juillet 2002 et « Incendie au marché de la gare Mc Donald » publiée dans le journal Le Nouvelliste du 17 juillet 2003. Conclusion INTRODUCTION En Haïti, la violence fait partie de notre quotidien sous tous types de formes. Un regard lancé, une parole dite et même une blague proférée peuvent être considérés comme signes de violence. La violence peut-être à caractère moral, d’état, criminel… L’on en subit, l’on en voit, l’on en pratique ! Mais comment définit-on la violence ? Malgré le peu de fiabilité qu’on peut lui accorder, selon Wikipédia, la violence est l’utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l’encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté. Mais dans un sens plus large, elle englobe les dommages psychologiques ; on parle dans ce cas de violences psychiques. Elle peut entrainer un traumatisme, des dommages psychologiques, des problèmes de développement ou même un décès. La violence est donc l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Elle fait référence aux comportements et actions physiques et consiste dans l’emploi de la force contre quelqu’un avec les dommages physiques que cela entraîne. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance, ou encore la destruction de biens humains ou d'éléments naturels. L’article que l’on va traiter porte à croire qu’il s’agirait d’une violence criminelle. Du latin « crimen » qui signifie l’accusation ou le chef d’accusation ou encore faute ou souillure, un crime désigne la catégorie de toute infraction grave que la loi punit d’une peine afflictive ou infamante. C’est l’infraction pénale la plus grave contre une personne physique ou morale. On peut citer par exemple : meurtre, viol, torture, génocide, homicide, pillage, incendie… Les médias qui ont la responsabilité de porter à la connaissance du public des informations, sont des acteurs importants de la communication. Et étant donné que la violence fait partie de notre quotidien, les journaux, l’un des principaux moyens de diffusion d’informations des médias, ne pourraient faire abstraction de ce fléau qui gangrène la société haïtienne. Dans le journal Le Nouvelliste, du 17 juillet 2003, un article intitulé : « Incendie au marché de la gare Mc Donald » a été publiée. Il serait bon de se demander en quoi un incendie peut-il avoir rapport avec la violence ? Un incendie peut être définit de plusieurs manières selon les sites de recherche: Un grand feu se propageant en causant des dégâts Embrasement total ou partiel d’un édifice. Feu non maitrisé, ni dans le temps ni dans l’espace L’une des caractéristiques d’un incendie est le pouvoir de s’étendre rapidement et d’occasionner des dégâts généralement importants. Ces conséquences sont destructives tant sur l’environnement dans lequel il évolue que sur les êtres vivants qu’il rencontre. Il existe trois grandes familles de cause d’incendie. La première est technique : électricité, machines, mélange de produits… La deuxième, humaine, concerne les négligences, les imprudences ou encore la malveillance. La troisième cause est naturelle, comme la foudre ou la sècheresse. Malgré les éléments rendant chacune de ses définitions uniques, on peut toutefois remarquer qu’ils soulignent un certain niveau de violence criminelle. De même, à travers les écrits du journaliste, on a pu remarquer des mots faisant référence à la violence, d’où ce travail à partir duquel on comprendra mieux dans quels contextes ils ont été employés. Peut- on qualifier cet Incendie de violence ? Qu’est-ce qui prouve que la violence en est l’élément déclencheur? Peut-on parler de l’ampleur de cet Incendie simplement en mesurant le degré de violence illustré par le journaliste ? Dans les lignes subséquentes, il est évident que grâce aux faits relevés on sera en mesure répondre à cette spirale de questionnement. Différents passages relatifs à la violence 1. Les incendies provoqués par des « inconnus armés » dans la nuit de mercredi à jeudi au Marché de la « gare Mc Donald », près de la mairie de Port-au-Prince, ont causé des dégâts considérables. 2. Des marchandises évaluées à plusieurs milliers de dollars sont parties en fumée selon les premières estimations faites par des victimes. 3. L’un des agents chargés de la sécurité de ce lieu public relève qu’il a été “contraint de se retirer sous fortes pressions d’individus lourdement armés, avant l’exécution du forfait”. 4. Le chef du gouvernement qui s’exprimait en la circonstance a pointé du doigt un certain secteur qui entend maintenant un climat de violence dans le pays. 5. Le Maire Yves Médard qui s’était rendu lui aussi sur les lieux n’est pas encore en mesure de faire une évaluation des dégâts. 6. Fritzner Pierre, a pour sa part, fait remarquer que depuis le début de la semaine un climat de tension régnait dans les parages du Marché de la gare. 7. Des résidents de la Rue Neuf et de Fort Trou Rond, dit-il, exprimaient le vœu de détruire ce centre commercial. Analyse Après une lecture soutenue de l’article « Incendie au marché de la gare » tiré du journal « Le Nouvelliste », ces passages nous permettent de déduire la perception de l’auteur. Bien qu’il ait été impartial cela n’affirme en rien sa position. Le journaliste nous a permis de constater des points importants:  L’Incendie provoqué par des individus armés au marché de la gare, a causé des dégâts importants.  Selon les premières estimations faites par les victimes, plusieurs marchandises évaluées à des milliers de dollars sont parties en fumée.  Quelques parlementaires se sont rendus sur les lieux pour recueillir les éléments d’information nécessaires et exprimer du uploads/Finance/ travail-research.pdf