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cours par correspondance © AGEAC - Association Gnostique d’études anthropologique, culturelles et scientifiques. http:/ /www.ageac.org L’ATLANTIDE ET LA RACE ARYENNE L’Atlantide et la race Aryenne -3- « L’existence de l’Atlantide a été dûment démontrée de façon concluante par les véritables Sages qui, de temps à autre, sont apparus sur la Terre. » Samael Aun Weor Les enseignements contenus dans cette brochure sont intégralement tirés de l’œuvre orale et écrite du Dr. Samael Aun Weor, anthropologue et philosophe contemporain qui a su réunir et dévoiler les plus précieux trésors de la Sagesse Universelle. OUI, L’ATLANTIDE A EXISTÉ « Les peuples et les cultures de l’Âge de la Pierre ne sont ni le début ni la fin du monde ; ils sont uniquement le déclin et la dégénérescence de richissimes civilisations antérieures et cela est démontré par les restes des cultures préhisto- riques, par les données de la philologie comparée, qui démontrent la surprenante richesse psychologique des langues archaïques, par les documents irréfutables de littérature et d’art anciens ». « Les peuples véritablement sauvages ou demi-sauvages trouvés par les explo- rateurs modernes sont, sans aucun doute, des descendants dégénérés de peuples extraordinairement cultivés qui ont existé avant l’Âge de la Pierre ». « Tous les peuples sauvages ou demi-sauvages ont des légendes et des tra- ditions issues d’un Âge d’Or ou d’une étape héroïque, mais, en réalité, ces tra- ditions, ces légendes, parlent de leur propre passé, de leur propre et ancienne civilisation ». « Le même fait explique, avec une clarté méridienne, la supériorité incontes- table des dessins paléolithiques, c’est-à-dire les plus anciens trouvés dans les pro- fondes cavernes de la terre, par rapport aux dessins néolithiques, c’est-à-dire les plus récents ». Samael Aun Weor : « Message de Noël 67-68 ». Il y a, dans le Codex Borgia, une figure représentant Atlanteotl qui porte sur ses épaules les eaux célestes, exactement comme l’Atlas grec auquel nous avons l’habitude de donner la priorité pour ce symbole. Il va de soi, disons-le franchement et sans vain détour, que le légendaire Atlas grec est une copie fidèle de l’héroïque Atlanteotl maya et aztèque. En supprimant, avec un délicat raffinement de l’intellect, la désinence « otl » de ce nom lumineux cité plus haut, ressort alors le mot Atlante. Atlante-otl : ce mot ayant été expliqué par ses racines, il ne nous reste plus qu’à affirmer catégoriquement qu’il n’est pas question ici de vaine étymologie empiri- que, arbitrairement sélectionnée, ni de pure coïncidence, comme le supposent tou- Samael Aun Weor -4- L’Atlantide et la race Aryenne -5- jours les ignorants instruits. Extraordinaire et légitime concordance linguistique, explicable seulement grâce au tronc Atlante commun aux peuples Américains et Méditérranéo-Sémites. Les uns et les autres ont incontestablement leur racine dans la terre enchantée d’Olisis, l’Atlantide, submergée à présent dans la mer des ténèbres, dans l’obscur brouillard de légendes d’horreur, de naufrages effrayants et de voyages sans retour. Mer immense, à Gibraltar, au-delà des colonnes d’Hercule, se tient, orageuse, ton onde infinie, aux mystères infranchissables pour les navigateurs... La légende tragique remplit ton étendue avec le pouvoir collectif des géné- rations qui t’ont ainsi contemplée, et le poète écoute, dans la voix de tes vagues immenses, la rumeur de tes tragédies et la clameur de tes mondes ensevelis !... L’Atlantide, ce vaste continent disparu qu’on a considéré comme une rêverie de poète, comme une création du Mental Divin de Platon, l’Initié, et rien de plus, a réellement existé. L’Intuition du poète est la vision du génie ; celui qui la nie, c’est parce qu’il ne peut voir avec le pouvoir immense du poète. Les Sages ne sont grands que lorsqu’ils parviennent à être poètes ; lorsque, se mettant au-dessus des détails, ils sentent les harmonies latentes au fond de tout ce qui existe, et qu’ils peuvent nous emporter dans des sphères supérieures. C’est ainsi que l’auteur des « Métamorphoses des plantes » a pu écrire son « Faust », et celui de la Philogénie donner son Credo ; ainsi encore que Humboldt a pu réaliser son Cosmos, et le divin Platon son Timée et son Critias, et Poe son Eurêka, tous poèmes de la Vie Universelle qui n’est autre que le Souffle de l’Oc- culte... « Vois-tu cette mer qui embrasse la terre d’un pôle à l’autre ? disait son Maître à Christophe Colomb ; elle fut, un jour, le Jardin des Hespérides. Le Téide régur- gite encore ses restes, en mugissant de manière effroyable, tel un monstre gardien du terrain d’un massacre ! » « Ici ont lutté les Titans ; là fleurissaient de populeuses citées… Aujourd’hui, dans les palais marmoréens, ce sont les phoques qui se rassemblent, et dans les prairies où paissaient les agneaux on voit des algues »… H.P. Blavatsky, dans les stances anthropologiques, stances 10, 11 et 12, dit tex- tuellement ce qui suit : « Ainsi, deux par deux, dans les sept zones, la Troisième Race (les Lémuriens), donna naissance à la Quatrième (les Atlantes) ». « Les Suras ou Dieux (Hommes parfaits) se convertirent en Asuras ou NON- DIEUX (la gent pécheresse) ». « La Première (sous-race) dans chaque zone était de la couleur de la lune ; la Seconde, jaune comme l’or ; la Troisième, rouge, et la quatrième, de couleur brune, devint noire par le péché ». « Ils crûrent en orgueil, ceux de la Troisième et de la Quatrième (sous-races Atlantes), disant : nous sommes les Rois ; nous sommes les Dieux ». « Ils prirent des épouses de belle apparence dans la race de ceux qui étaient encore sans mental, ou de « tête étroite », engendrant des monstres, des démons maléfiques, mâles et femelles, et également des KHADOS au mental pauvre ». « Ils construirent d’énormes cités ; ils taillèrent leurs propres images, de leur taille et à leur ressemblance, et les adorèrent ». « Des feux intérieurs avaient déjà détruit la Terre de leurs Pères (la Lémurie), et l’eau menaçait la Quatrième Race (l’Atlantide) ». « Les Premières Grandes Eaux vinrent et submergèrent les Sept Grandes Iles. Tous les Bons furent sauvés et les mauvais détruits... » « Il resta peu d’hommes : quelques-uns de couleur jaune, quelques bruns et noirs, et quelques rouges. Ceux de la couleur de la lune (les Tuatha) avaient dis- paru pour toujours ». « La Cinquième Race (l’humanité qui peuple actuellement la surface de la terre, en incluant les Mayas, Incas, Quichés, Toltèques, Nahuas, Aztèques de l’Amériques pré-colombienne), tout entière issue du Tronc Saint (le Peuple Élu Sauvé des Eaux), resta et fut gouvernée par les premiers Rois Divins ». « Les Serpents (Dragons de Sagesse ou Rishis) redescendirent et firent la paix avec les hommes de la Cinquième Race qu’ils éduquèrent et instruisirent… » Dans la vieille Égypte de Pharaons, les prêtres de SAÏS dirent à Solon que l’Atlantide avait été détruite 9 000 ans avant leur conversation. Le célèbre docteur Paul Schliemann, qui eut le grand honneur de découvrir les ruines de la vieille Troie, a trouvé dans le trésor de Priam un étrange vase de forme Samael Aun Weor -6- L’Atlantide et la race Aryenne -7- très particulière, sur lequel était gravée une phrase en caractères phéniciens qui dit textuellement : « Du roi Chronos de l’Atlantide ». Il s’avère intéressant de savoir que, parmi les objets déterrés à Tlahuanaca, en Amérique centrale, on a trouvé des vases très semblables à ceux du trésor de Priam. Quand ces vases mystérieux furent intentionnellement brisés dans des buts scientifiques, on y trouva certaines pièces de monnaie sur lesquelles on pouvait lire, avec une entière clarté, une phrase qui disait : « Émis dans le Temple aux Murs Transparents ». Ce Temple, mentionné sur les vases mystérieux, était sans nul doute la Tréso- rerie Nationale Atlante. Certainement, l’Atlantide de Platon a cessé d’être un simple mythe et s’est converti en un fait concret, réel et effectif. Il y a peu de temps, en Espagne, un groupe de scientifiques se préparait pour l’exploration de l’Atlantide. Les experts en matière maritime savent bien qu’il existe une grande plate-forme au fond de la mer, entre l’Amérique et l’Europe. Incontestablement, cette plate-forme appartient à l’Atlantide. En face des côtes du Pérou, à 1 500 mètres de profondeur, on a pu observer des colonnes très bien façonnées, très bien taillées, d’édifices atlantes, et on a pu en faire de magnifiques photographies. Avec tout cela, l’existence de l’Atlantide est démontrée. Mais les scientifiques stupides continuent, comme toujours à nier… En plus de tout cela, la question raciale s’avère en elle-même un important témoignage de l’Atlantide. Si nous nous transportions, ne serait-ce qu’un instant, à Toluca (Mexique), nous rencontrerions l’œil bridé, propre à la race japonaise et à la Chine orientale. Cela est plus que suffisant pour nous indiquer un tronc commun entre l’Est et l’Ouest. Mais poursuivons l’étude de quelques preuves significatives. Dans ce but, je vais transcrire la traduction d’un manuscrit Maya qui fait partie de la fameuse collection « Le Plongeon », les manuscrits de Troano que l’on peut voir au British uploads/Geographie/ a18-l-x27-atlantide-et-la-race-aryenne.pdf

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