ISSN : 2111-4307 Livres géopolitiques 2010 vendredi 31 décembre 2010, Citer cet
ISSN : 2111-4307 Livres géopolitiques 2010 vendredi 31 décembre 2010, Citer cet article / To cite this version : , Livres géopolitiques 2010, Diploweb.com : la revue géopolitique, 31 décembre 2010. Hum... Vous semblez apprécier le DIPLOWEB.COM. Nous vous en remercions et vous invitons à participer à sa construction. Le DIPLOWEB.COM est LE media géopolitique indépendant en accès gratuit, fondé en l'an 2000. Nous vous proposons de participer concrètement à cette réalisation francophone de qualité, lu dans 190 pays. Comment faire ? Nous vous invitons à verser un "pourboire" (tip) à votre convenance via le site https://fr.tipeee.com/diploweb . Vous pouvez aussi rédiger un chèque à l'ordre du DIPLOWEB.COM et l'adresser à Diploweb.com, Pierre Verluise, 1 avenue Lamartine, 94300, Vincennes, France. Ou bien encore faire un virement bancaire en demandant un RIB à l'adresse expertise.geopolitique@gmail.com. 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Le temps long du monde, Paris, Armand Colin, 2010. 288 pages, 16 x 24 cm, broché. 26,03 € Avec la prise de contrôle de l’Amérique par une poignée d’Européens commence la construction d’un Monde qui s’achève au xxe siècle. Il aurait certainement pu en être autrement. Gengis Khan ou Sheng He initièrent des mondialisations bien diff érentes. Ces logiques géographiques très anciennes n’ont jamais totalement disparu sous l’aventure européenne et ressurgissent vigoureusement maintenant. Si le Monde nous parait si évolutif aujourd’hui, c’est parce que le récit unique de l’Occident n’était pas sans amnésie. En situant la mondialisation contemporaine dans le temps long, Christian Grataloup remet en perspective les questions posées par l’invention du Monde : pourquoi l’Europe en fut-elle l’initiatrice ? Quelle est l’origine de l’opposition Nord/Sud ? Pourquoi le long silence de la Chine ? Cet ouvrage montre la nécessité de prendre en compte la géographie pour répondre aujourd’hui au besoin d’histoire globale. Il analyse pourquoi « mondial » n’est pas synonyme d’« universel » et pourquoi il est urgent de réduire la distance entre les deux. Christian Grataloup est professeur de géohistoire à l’université Paris Diderot et chercheur de l’équipe Géographie-Cités. Prix Ptolémée du Festival international de géographie de Saint-Dié-des-Vosges et prix Jean Sainteny de l’académie des sciences morales et politiques. Faire connaître la page facebook.com/geopolitique animée par la revue Diploweb en imprimant une affiche couleur au format A3. Vous pouvez la télécharger facilement sur une clé USB (pdf, 14 Mo) puis la faire imprimer dans un service de photocopies. Voir. Par avance merci. . Chris Schüler, Dessiner le monde. Atlas de la cartographie du 14e siècle à 1914, Paris, Place des Victoires, 2010. 383 pages, 35,2 x 40,9 cm, broché. 65,55 € Un splendide recueil de cartes anciennes issues de la collection exceptionnelle de la Royal Geographical Society. Comment et quand avons-nous compris notre planète ? Les quelque trois cents cartes, les plus belles et significatives de la collection exceptionnelle de la Royal Geographical Society, nous montrent comment l’Homme a imaginé, puis cerné le monde, de mieux en mieux. Tous les peuples, à tout moment de l’Histoire de l’humanité, ont cherché à se repérer pour se déplacer. L’émouvante carte mélanésienne schématisant le Pacifique nous rappelle le courage de ces marins capables de parcourir des milliers de kilomètres sur des coquilles de noix, sans autres repères que la taille des vagues, le sens des vents et des courants. Les cartes arabes, chinoises ou japonaises nous étonnent par leurs conceptions, étrangères aux projections occidentales. À partir de la Renaissance, les cartes se vendent à prix d’or, promesses de découvertes fructueuses, de métaux et pierres précieux, mais aussi de sécurité de navigation. Si les cartes « nous permettent de voyager en restant au chaud, chez soi », ce livre nous entraîne dansla peau et les songes des aventuriers comme Stanley qui cartographie une partie de l’Afrique et trouve les sources du Nil. . Sous la direction de Mikael Bodlore-Penlaez, Atlas des Nations sans État en Europe. Peuples minoritaires en quête de reconnaissance. Fouesnant, Yoran Embanner, 2010. 160 pages, 19,2 x 24 cm, broché. 23,75 €. Une Nation sans État est un peuple non souverain. Hier, c’était le cas de l’Irlande, de la Pologne ou de la Lettonie, lorsqu’elles vivaient sous la coupe d’autres États. Aujourd’hui, ces peuples ont retrouvé leur liberté. Mais l’Europe du XXIe siècle connaît encore de nombreux cas de Nations sans État. Leurs noms : Alsaciens, Basques, Bretons, Catalans, Corses, Écossais, Frisons, Gallois, Sorabes... Ces peuples ont toujours défendu leur forte identité. Marqués par des traits culturels particuliers, ils savent exprimer leur sentiment d’appartenance à une communauté soudée par l’histoire. Mais qui connaît réellement leurs aspirations, à savoir leur quête de reconnaissance ou de liberté, le désir de maîtriser leur destin, de pratiquer leur langue, d’être reconnus officiellement ? L’histoire récente nous montre que de nombreux peuples minoritaires ont réussi, par le dialogue, à disposer d’un statut d’autonomie ou à obtenir leur indépendance. Ces droits acquis à force de ténacité leur permettent de décider de leur avenir plus sereinement et de préserver leur identité, souvent mise à mal par le centralisme étatique. A travers soixante cartes inédites, cet atlas invite le lecteur à un tour d’horizon des Nations sans État qui peuplent l’Europe. Il permet ainsi de prendre la mesure d’un des enjeux géopolitiques majeurs du XXIe siècle. La mosaïque européenne sera toujours faite de diversité et de contrastes. . Olivier Kempf, L’Otan au XXIe siècle, Artège, 2010. Sommet de Lisbonne, novembre 2010. La décision des chefs d’État et de gouvernement alliés d’adopter un nouveau concept stratégique et une réforme de la structure de l’Otan projette l’Alliance Atlantique dans la prochaine décennie. Depuis vingt ans, l’Alliance n’a en réalité cessé de s’adapter à son environnement : opérations menées sur trois continents, accueil des pays de l’ancien bloc de l’Est, invention d’un dialogue avec l’Union Européenne ou les Nations- Unies, nouvelles procédures opérationnelles, modification radicale de son organisation ou réponses aux questions nouvelles comme la cyberdéfense, le terrorisme ou la défense anti- missile… En mutation permanente, le domaine d’action de l’Alliance Atlantique va bien au-delà de la relation entretenue avec la France. Les enjeux liés à l’OTAN sont bien plus intéressants que ce prisme réducteur, et il est temps de comprendre enfin comment s’est transformé ce qui n’était encore récemment qu’un héritage de la guerre froide. Cet ouvrage novateur et rigoureux décrit précisément cette formidable adaptation. Il trouve le ton juste qui permet sans complaisance de comprendre les permanences, de distinguer les évolutions, de pointer les lacunes et de situer les perspectives. C’est la synthèse la plus complète à ce jour sur l’OTAN, cet acteur incontournable des relations internationales contemporaines. L’auteur, spécialiste reconnu de la question, adopte un ton pédagogique qui répondra aux attentes et aux interrogations du citoyen comme du professionnel. Auteur : Olivier Kempf est maître de conférences à Sciences Po Paris (PSIA, master de « sécurité internationale »), et conseiller éditorial de la Revue Défense Nationale. . Alain Guillemoles, Sur les traces du Yiddishland. Un pays sans frontières. Paris, Les Petits Matins, 2010. 190 pages, 16,5 x 22 cm, broché. 25,65 € On l’appelait le Yiddishland. Au centre de l’Europe, à cheval sur la Pologne, la Lituanie, l’Ukraine, la Roumanie et la Hongrie, ce continent n’ayant ni centre ni vrais contours était peuplé de plus de onze millions de Juifs. Avant la Seconde Guerre mondiale, ils formaient des minorités importantes et bien établies. Puis ce continent à disparu, comme l’Atlantide. Aujourd’hui, que reste-t-il des communautés juives dans ces pays ? Comment y conserve-t-on le souvenir de leur présence ? Quel regard porte-t-on sur leur disparition ? Si des résidus d’antisémitisme subsistent, on ressent aussi de la nostalgie, de la curiosité et même une certaine idéalisation de ce passé. Ce livre est le récit d’un voyage sur les routes du Yiddishland d’aujourd’hui, à la recherche de ce qu’il en reste et de ceux qui tentent de le faire renaître ou, tout au moins, d’en perpétuer la mémoire. Journaliste au quotidien La Croix, Alain Guillemoles est spécialiste de l’Europe centrale et de l’ex-URSS. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont, aux éditions Les petits matins, Même la neige était orange. La révolution ukrainienne (2005) et Gazprom, le nouvel empire (2008), avec Alla Lazareva. . Daniel Haber & Lu-Nian Zheng, Chine-Occident. Le grand malentendu du XXIe siècle. Paris, L’Harmattan, 2010. 222 pages, 13,7 x 21,5 cm, broché. 19,95 € L’avènement de la Chine en tant que grande puissance, uploads/Geographie/ article-563.pdf
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- Publié le Oct 28, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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