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Zinder, le 20 janvier 2018 HABOU MATO Moussa Université de Zinder Institut univ

Zinder, le 20 janvier 2018 HABOU MATO Moussa Université de Zinder Institut universitaire de technologie ARTICLE « SOCLE D’AVANCEMENT » L’Afrique un continent recouvrant 26% de la surface terrestre, émergée y comprise contiens en 2016 une population d’environ 1,216 milliard avec une superficie de 30.415.873 km2.Ce continent fut sous la domination occidentale des siècles durant, mais marque le point du départ de son indépendance vers les années 60 appelées années de l’Afrique même si par ailleurs d’autres pays eurent leurs indépendances avant, notamment certains pays anglophones. L’Afrique étant le verseau de l’humanité possède depuis la nuit de temps toute sorte de richesse (ressources humaines, du sol et sous sol …), nonobstant cela ce continent est en générale aux yeux de tous non développé. Pour quoi le sous-développement est toujours chanté au nom de L’Afrique ? Pour répondre à cette question nous pouvons primo dire que les raisons sont multiples et multidimensionnelles, cependant les Africains sont unanimes pour dire que la mauvaise gouvernance est l’élément justificatif de leur situation. D’une part certains ajoutent la page historique que vécurent les Africains (colonisation, esclavagisme …) et qui, à l’heure actuelle existent sous une forme sournoise connue par les intellectuels au nom du néocolonialisme. « Personne ne peut modifier son passé et nul ne connait son futur, mais chacun peut changer ses attitudes vis-à-vis de son destin! » Si l’Afrique est toujours claquemurer dans un couloir embrumé par la misère, la précarité, la pauvreté…que cela soit pour des raisons de la mauvaise gouvernance ou historique, il n’est point une excuse pour que les Africains d’aujourd’hui vivent dans des versatilités agonisantes et laisser aussi la situation intacte si non invivable sans espoir du progrès aux générations futures. Que faire ? Pour éradiquer et combattre une bonne fois pour toute les maux dont souffre l’Afrique et ses enfants, il est impératif pour tout les Africains sans négliger aucune couche sociale ni écarter tel ou tel membre de la société d’œuvrer et de suivre toutes les procédures pour créer et laisser un continent pourvu d’un environnement de paix et de la prospérité dépourvu de toute discrimination, domination et moins encore de misanthropie. Cela est bien possible car il ne s’agit plus d’une utopie, ni d’une rédaction pour plaire les lecteurs. En effet pour pouvoir faire de cela une réalité, l’Afrique doit dans un premier temps interrompre radicalement avec les puissances coloniales, l’Afrique est obligée d’avoir des relations(commerciales…) avec d’autres continent, mais cela doit être sous la base et respect strict des critères définit par l’Afrique elle même sans intervention d’un étranger. Pour en plus faire le premier pat vers la concrétisation de l’Afrique tant souhaité par ses enfants, ces derniers doivent s’embarrasser de tout complexe d’infériorité, tribalisme, communautarisme, xénophobie, hypocrisie, trahison au sein des différentes sociétés autrement dit il faut un changement théorique et pratique de mentalité. Pour quoi un changement de mentalité ? « A chaque peuple les dirigeants qu’il mérite !» Critiquer, stigmatiser insulter et maudire toujours les dirigeants n’est guerre un moyen adéquat pour atteindre nos butes d’avoir des autorités dotées d’un comportement humain. Il est donc indispensable comme disait l’historien Africain J.Kizerbo que «les Africains doivent apprendre à ne pas être ce qu’ils ne sont pas », et Dieu même ne change pas ce qu’il y’a au sein de la société jusqu’à ce que les membres de la société changent eux même ce qu’il y’a entre eux. Pour donc mettre en place un climat du développement et d’avancement en Afrique ,il nous revient du devoir de bannir l’égoïsme, la haine, transgression des lois, corruption, l’injustice quel qu’en soit sa minorité mais aussi et surtout arrêter de voir le monde selon l’image donner par les occidentaux et ne plus les imiter aveuglement car « lorsque sur une personne on prétend se régler c’est par ces bons cotés qu’il lui faut ressembler »et cela est peut être un chemin qui coutera la vie à certains parmi nous enfants d’Afrique, mais sachons que :Celui qui a peur de sang n’est pas capable d’égorger et quand on veux de la viande il faut égorger ! uploads/Geographie/ article-moussa.pdf