1. De nouvelles règles pour de nouveau territoire, La mise en valeur des Océans

1. De nouvelles règles pour de nouveau territoire, La mise en valeur des Océans et de l'espaces obliges les Etats a créer de nouvelles règles juridique. A. Organiser la souveraineté des Etats. En 1609 sont posé les premières base du droit de la mer par le Philosophe Hugo Grotius qui écrit Mare liberum. Objectif garantir la liberté sur les mers. Au XXème siècle l’exploitation des ressource (pêche Hauturière, hydrocarbure), rend nécéssaire l’approfondissement du Droit de la Mer. Quelque dates clés : 1924 : 1er tentative de codification du droit de la mer, échec en raison des divergence entre Etat sur certains points. 1945 revendication des EUA sur les ressources situés aux larges de leur côtes 1952 déclaration de san tiago mise en place des 200milles 1958 : méthode de délimitation des espaces maritimes nationaux (ONU 1er conférence) 1970 : haute mer = patrimoine mondiale 1982 : convention de Montego bay Des tensions croissante sur l’appropriation des ressources a cause des progrès technique et du nombre d’Etat. Montego bay créé des zones où les Etats ont une souveraineté décroissante Voir aussi : https://www.youtube.com/watch?v=XaYNpgX15Gk&ab_channel=Lemondeencartes L’exemple de clipperton : Clipperton c’est un îlot français dont la ZEE est riche en ressource mais son éloignement de la métropole rend difficile la protection des intérêts français. Cela montre que malgré les règles clairs fixée par la convention, le droit de la mer est faillible. Il ne prévoit pas de sanction en cas de manquement aux règles c’est donc à l’etat de faire valoir ses intérêts. La souveraineté dans l'espace Quelque dates clés : 1967 traité de l'espaces absences de propriété et de souveraineté dans l'espace pour les Etats. Signataire : RU URSS EUA France et d’autres. 1979 le traité sur la lune et l'espace il stipule que les objets spatiaux sont patrimoine commun de l'humanité. Cependant aucune puissance spatial n’a ratifié le traité. B. Garantir la libre circulation  Le droit de la mer garantit la libre circulation des Navires+ liberté de poser câbles et conduites : Le passage ne doit pas menacer la sécurité de l'Etat ni enfreindre les lois de l'Etat.  La circulation dans l'espaces est libre et assurée à tous. Le traité de l’espace garantie le sauvetage des astronautes qqe soit leur nationalité.  Les satellites peuvent survoler n’importe quel Etat à condition d’être immatriculé en cas de dégat c’est le propriétaire du satelite qui prend.  Point némo = endroit ou les vieilles structures spatial sont envoyé pcq il n’y a rien. C. Encadrer l'exploitation des ressource. Océans : Nach montego Bay l’exploitation des ZEE sont gérée par les Etats propriétaires, ils ont des droits souverains. En Haute mer, l’exploitation des ressources est gérée par l’AIFM. Espace : Une exploitation des ressources plus flou pour l’espace : D’après le traité de l’espace, Un Etat ne peut exploiter l’espace qu’à des fins scientifique. Mais rien n’est dit concernant les entreprise privée, certains pays créés donc des lois pour s’approprier de manière indirecte l’espace en le privatisant. (space act) l'union internationale des Télécomunication gère les orbites qui sont considéré comme une ressource limitée à laquelle tous les Etat ont droit. 2. Une ccopération en construction Les coopérations internationales se développent aussi bien sur les Océans que dans l'espace. A. Les océans Un reflet des relations internationales. Les coops internationales se sont longtemps limitées à des questions de sécurité, comme pendant la 1GM avec la coopération entre les marines de l’entente. Aujourd'hui les coopérations portent sur la lutte contre la piraterie (détroit de malaca) ou l'immigration clandestine (manche). La manche un espace approprié La manche est un espace partagé entre la France et le Royaume Uni, c’est un point de passage très important pour les flux commerciaux et de migrants. De fait la France et le Royaume Uni coopèrent pour par exemple faciliter la circulation des navires, ou part exemple pour les questions migratoires. Deuxième exemple de coopération régionale c'est le conseil de l'arctique (1996) qui a pour but d’encouragé la coopération entre Etat en Arctique mais aussi une gestion plus durable des ressource. On peut aussi citer La CNUDM qui tente de régler des conflits en les arbitrant ex : Costa Rica vs équateur. L’espace un espace de coopération A l’instar de la compétition, la coopération dans l’espace était le reflet des blocs pendant la guerre froide par exemple la mission Apollo Soyouz. La SSI est le résultat d’une coopération entre Russe et américain nécessaire car seul les Russe dispose d’une assez grande expérience dans le domaine spatial pour ça. b. La régulations des activités en mer . d’après l’article 56 de la convention de Montego Bay l’exploitation économique des ressource d’une ZEE relève de la souveraineté de l’Etat. La ZEE française est riche en ressource, elle contient hydrocarbure ressources halieutique nodules polymétallique. Le conflit de la baie de piran : c'est la délimitation de la bai qui pose problème la bai est étroite et la croatie comme la slovénie peuvent prétendre à une même zone. Comme la ZEE est riche en ressource Hallieutique cela créé un conflit aux enjeux économique. Le conflit des îles senkaku/diaoyu : les îles senkaku/diaoyu sont des îles japonaises en mer de chine méridionale, revendiqués par la chine pour leur ZEE. L’enjeu est double pour Beijing puisqu’en récupérant ces îles la chine obtiendrait non seulement de nouvelle ressource, mais également la possibilité de remettre en cause la suprématie américaine dans la zone. Le conflit en arctique : L’arctique est riche en ressource et est un potentiel nouveau lieu de passage pour le commerce international. A cela il faut ajouter l’enchevêtrement des ZEE qui créé des conflits pour savoir à qui appartiendront les ressources, créant un double enjeu celui de la souveraineté. Par exemple pour la Russie l’Arctique représente une surface maritime très importante qui pourrait être exploiter à des fins militaire par exemple. Bilan Les ZEE sont au cœurs des rivalités stratégique et millitaire, la Zee est un espace ou l'etat fait démonstration de son autorité de sa souveraineté et sa capacité de projection maritime. cela peut déboucher sur des conflits comme on l’a vu plutôt. La coopération environnementale : La coopération environnementale entre Etat prend la forme de l’AIFM (autorité internationale des fonds marins). L’AIFM est une branche de l’ONU dédiée à la gestion des ressources marines, elle met en place des lois qui régule l’exploitation de la haute mer espérant ainsi limiter la surpêche. Toute ces règles sont respectées de manière inégales. La coop envi est donc peu efficace. Les routes maritimes : La coopération internationale est plus efficace dès lors qu’elle présente des intérêts économiques. Notamment dans le détroit de Malaka où elle prend la forme de la lutte contre la piraterie, la piraterie a d’ailleurs baissé de 50% depuis 2014. A l’inverse en Afrique de l’Ouest dans le golfe de guinée la piraterie à progresser de 70% puisqu’il n’y a aucune lutte contre la piraterie. C. Des coopérations spatiales en recomposition. Les coopérations spatiales sont nombreuses et se renforcent permettant même à de nouveaux Etat d’accéder à l’espaces. elles ont différent but et différentes causes : D’abord économique, les grandes puissances cherchent à diminuer les coûts d’envoie d’homme dans l’espace et collabore donc a cette effet. l’utilisation de matérielle français dans les sondes américaines et chinoises en est un bon exemple. D’autre ont parfois des causes plus politiques comme la coopération des 22 pays de l’UE au sein de l’A.S.E. (Agence spatial européenne ou ESA) extension directe du projet Européen, qui fait depuis 1975 de l’UE un leader dans le lancement de satellites. L’ISS L’ISS symbolise une forme de coopération a bute principalement scientifique. Cette coopération se voit dans différentes phases de l’histoire de l’ISS : - D’abord la construction fruit d’une coopération Russo américaine, 2/3 américain 1/3 russe et une partie européenne et japonaise mais c’est peu. - Dans son entretien plusieurs agences spatiales participent à l'entretiens du projet russe américaine européenne. - Coopération sur le ravitaillement et le transport des cosmonautes, sachant que la Russie a prêté pendant longtemps son centre d'entrainement pour les cosmonautes de l'ISS. - une coopération inédite sur le plan scientifique les expériences sont menée de façon collaborative : le diagnostic de l'eau l'échographie à distance surface intelligente sur le plan diplomatique l’ISS permet de forcer les puissance à collaborer et a négocier pacifiquement pour éviter des problèmes. Un projet limité : L’annoncement par la Nasa de l’arret du renouvellement du projet montre les limites du projet. N’ayant pas eu les retombées scientifiques espérée, l’ISS devient un projet très couteux dont les Etats souhaite se débarrasser. L’iSS représentant 15% des dépense de la nasa. En outre l’évolution des objectif spatiaux des Etats, rend l’ISS obsolète accentuant cette envie des Etats de se délester de ce fardeau. 3)Les limites de la coopération A. La persistance des intérêts nationaux La coopération à des limites, l’une de ses limites est la persistance des intérêts nationaux qui limites voir annule les coopération. La gestion des ressources sur les Mers source de conflit : - Un bon exemple est le conflit entre uploads/Geographie/ axe-2-resume.pdf

  • 34
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager