des prix bien plus attractifs ont aussi d’excellents produits, mais comme souve

des prix bien plus attractifs ont aussi d’excellents produits, mais comme souvent ce ne sont pas des fabricants, selon leur fournisseur du moment on peut trouver des qualités très différentes sous une même référence. Les caractéristiques (vitesse d’écriture) sont aussi quelquefois en retrait par rapport à celles annoncées. Le critère le plus important est la rapidité d’enregistrement et de lecture de la carte. Si elle est notée, par exemple, ×100, cette carte est 100 fois plus rapide que la base minimale, donnée pour 150 Ko/s (kilo-octets par seconde). C’est la vitesse à laquelle cette carte est capable d’écrire les données qui lui sont transmises par le buffer de l’appareil ; le buffer est une mémoire tampon rapide qui permet de stocker provisoirement les données pendant l’écriture sur la carte, afin de ne pas perdre de données si la carte utilisée n’est pas capable d’écrire en temps réel. Plus la performance en écriture de la carte utilisée est importante, plus vite elle libérera le buffer et plus l’appareil pourra effectuer des rafales longues sans le saturer. Cette rapidité a aussi un impact positif sur la consommation d’énergie de la batterie. Mais la performance en rapidité d’écriture et de lecture sera aussi importante pour l’enregistrement vidéo. N’utilisez donc que des cartes de hautes performances. En mode vidéo des cartes réellement capables de 40 Mo/s seront suffisantes, de même en mode photo si l’on ne fait pas, ou rarement, des rafales longues. En revanche en photo de type sport où les rafales sont plus courantes, les cartes de 60 Mo/s ou plus seront indispensables. En effet il faut être conscient que les valeurs indiquées par les fabricants sont en fait plus souvent des valeurs de lecture ; en écriture les cartes sont fréquemment un peu moins rapides, il faut donc prendre une marge de sécurité par rapport à ces données affichées. D’autre part avec une carte peu performante l’affichage des images sera plus lent à l’écran de l’appareil. Avec les cartes performantes il sera aussi beaucoup plus rapide de décharger ses images ou ses vidéos par l’intermédiaire d’un lecteur de carte USB 3. Un fichier RAW 12 bits compressé sans pertes (le mode le plus intéressant) pèse environ 21 Mo, donc pour simplifier il suffit de diviser la capacité de sa carte (en Mo) par 20 pour connaître le nombre approximatif d’images enregistrables (exemple : carte 8 Go = 8 000 Mo/20 = 400 images environ). De même pour un fichier JPEG Fine de valeur moyenne (12,4 Mo), en divisant rapidement par 10 la capacité de la carte. Les valeurs supérieures de compression réduisant de moitié chacune le poids de l’image doublent donc la capacité de la carte. Le D750 enregistre les images dans des dossiers qu’il crée dans la carte SD. Chaque dossier peut contenir 999 images. Au-delà de cette capacité il crée automatiquement un nouveau dossier et ainsi de suite jusqu’au maximum de 999 dossiers par carte, quelle que soit sa capacité. Lorsque le 999e dossier contient 999 images il devient nécessaire de formater la carte pour pouvoir continuer à l’utiliser. Dans le menu Prise de vue > Dossier de stockage vous pouvez créer un nouveau dossier à tout moment, si vous souhaitez séparer des prises de vue par exemple. Par défaut l’appareil est paramétré (d6) pour conserver en mémoire de l’appareil la numérotation de la dernière image réalisée ; ainsi il pourra reprendre à partir de ce numéro au lieu de repartir de 0 si la carte a été formatée ou si un nouveau dossier est créé par l’appareil ou par l’utilisateur. Mais à partir de l’image n° 9999 la numérotation repart de toute manière de 0. Si vous voulez éviter de devoir faire cohabiter dans vos stockages des images portant les mêmes références, il convient de penser uploads/Geographie/ des-prix-bien-plus-attractifs-ont-aussi-d.pdf

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