Gabrielle Fortier-Cofsky gfort099@iuottawa.ca VP aux affaires académiques : Dia
Gabrielle Fortier-Cofsky gfort099@iuottawa.ca VP aux affaires académiques : Diane Lafleur Après une campagne mouvementée entre les candidats, Diane Lafleur a remporté le poste de vice-prési- dente aux affaires académiques par 5 votes. La course sʼest terminée de façon plutôt serrée, à 129 votes contre 124. La nouvelle VP acadé- mique soutient avoir livré bataille en convaincant les indécis. Elle a solli- cité les votes à la bibliothèque jus- quʼà la dernière minute. À propos de son adversaire Jean-René Roy, elle le félicite dʼavoir mené «une cam- pagne exceptionnelle». Diane est très confiante de sa future performance en tant que représen- tante de la Faculté auprès des em- ployeurs. Lors de la présentation de sa plate-forme électorale, elle a de- mandé aux étudiants dʼexiger sa dé- mission si elle ne livre pas la marchandise. Présidente : Alik Angaladian Lʼancienne vice-présidente aux af- faires externes, Alik Angaladian, a décidé de prendre les choses en main pour la prochaine année en se présentant à la présidence de lʼAEEDCO. Nʼayant comme opposi- tion que la chaise, elle sʼest fait élire à la majorité des voix. Sa campagne a été marquée par des opposants mettant en doute la réussite de son mandat en tant que VP aux affaires externes, et par conséquent de ses aptitudes de présidente. Ces re- mous lʼont fait douter de sa victoire contre la chaise. En entrevue au Flagrant, elle a avoué avoir eu très peur. «Je pensais à cela tantôt, et je me demandais comment je pourrais me remontrer la face à la Faculté si la chaise gagnait». LE FLAGRANT DÉLIT AVRIL 2010 VOL. 3 NO 6 Le nouvel exécutif de lʼAEEDCO Quand lʼappétit va, tout va Suite en page 2 Crédits: Philippe Cordisco flagrant avril 2010:Layout 1 4/1/10 5:36 PM Page 1 Page 2 Le Flagrant délit Avril, 2010 Suite de la Une Pour lʼannée à suivre, la dorénavant Très Honorable Alik a plusieurs ob- jectifs visant à améliorer la commu- nication entre lʼAEEDCO et le Sénat de lʼUniversité. Elle souhaite intro- duire les changements de la consti- tution de lʼasso tout en allant chercher plusieurs commandites. Elle est catégorique à propos de la première chose quʼelle fera en tant que présidente. «Je vais nettoyer le local de lʼasso». Le temps dʼune règlementation? Plusieurs éléments de la campagne électorale ont fait lʼobjet dʼopinions mitigées de la part des étudiants. Il semblerait que les méthodes électo- rales des candidats nʼaient pas été appréciées de tous. Même si un pourcentage estudiantin a apprécié pouvoir manger gratuitement entre ses cours, dʼautres remettent en question ces pratiques. Ces der- niers se demandent si les élections sont depuis quelques années deve- nues une sorte de course où lʼob- jectif est dʼacheter les votes. Lʼex-VP aux communications Sa- bine Uwitonze se demande si les candidats ont été élus pour les fonds investis dans la campagne plutôt que pour leurs idées et leur compé- tence. Cette année, la campagne ne sʼest pas limitée à des pancartes et à la présentation de leur plate- forme. En effet, plusieurs candidats ont opté pour de la sollicitation di- recte aux étudiants, accompagnée de biens consomptibles comme des muffins et des breuvages. À ce sujet, lʼex-VP aux communications affirme quʼ«on ne sait pas sʼils se- ront bons, mais ce que lʼon peut pré- dire pour lʼannée prochaine, cʼest quʼils seront capables de nous nour- rir». De lʼautre côté, dʼautres étudiants croient que les efforts déployés pour la campagne électorale seront re- présentatifs des efforts déployés lors de leur futur mandat. Il est dit quʼun candidat qui sera prêt à prendre tous les moyens néces- saires et à donner une grande partie de son temps lors de la campagne fera la même chose lors de son mandat. En ce qui concerne ses méthodes électorales, la nouvelle vice-prési- dente aux affaires externes Lyla Bradley sʼest défendue. «Je voulais rencontrer les gens de façon convi- viale avec ce que jʼaime beaucoup : lʼexpresso et le fromage». Elle a donc voulu montrer sa personnalité aux électeurs, pour que ceux-ci ap- prennent à la connaître de façon in- formelle. Cela avait aussi comme objectif de démontrer un aspect de sa plate-forme, soit lʼorganisation des dégustations de vin dans lʼan- née à venir. Il semble également quʼune ques- tion persiste en rapport aux moyens financiers nécessaires pour gagner un poste au sein de lʼAEEDCO. Les coûts de la campagne sont assu- més en totalité par les candidats. Certains proposent ainsi dʼétablir des balises dans le but dʼétablir une certaine égalité des chances. Le candidat défait aux affaires acadé- miques, Jean-René Roy a été déçu de constater lʼinégalité des chances. Dans un courriel envoyé à bon nombre dʼétudiants, il mentionne «quʼil est injuste envers les étudiants et les étudiantes moins bien nantis de laisser aller de façon si aléatoire les dépenses des candidats et des candidates». Ce dernier souhaite faire changer les choses en se re- présentant lʼannée prochaine. Dʼici là, un recomptage devrait avoir lieu. Pour lʼinstant, il sera du ressort de nos nouveaux élus de décider si de nouvelles règles électorales sont né- cessaires. Quant au président sortant Bruno Gélinas-Faucher, il est très fier du taux de participation aux élections. «Cʼest une participation historique, M.Thibault mʼa dit quʼil était très im- pressionné. En plus, je me moque bien de la FÉUO quand ils disent que droit civil ne participe pas. Presque 50% de nos membres ont exercé leur droit de vote». Le pres- quʼex-président se dit également très satisfait de lʼintensité de la cam- pagne. Par contre, il demeure sou- cieux à propos de la nouvelle équipe. «Je suis ambivalent face au mélange de personnalités, mais jʼai confiance quʼils feront une bonne job». Carbon Markets A Genesis Dan Michaud-Shields dmich062@uottawa.ca What is A Carbon Market? In a not so distant future, there will be another batch of freshly minted law students, willing to hone their abilities and apply their legal skills. At the same time, a carbon market in Canada is being developed. Car- bon is one of the many greenhouse gases that are emitted in the air. Currently, carbon markets are in a state of flux, making it hard to say how they will eventually manifest themselves, but it may end up help- ing with your mortgage payments in the future. So what is a carbon market? In a nutshell, it is a pricing framework set up by government regulations that impose on emitters of greenhouse gases a fee for emitting these gases into the air. A carbon market is where these carbon credits or per- mits are traded. For example, a manufacturer as part of his produc- tion operations emits a certain amount of carbon; this manufacturer would have to buy these carbon credits from a carbon market. In other words, it is a market-based ap- proach to limit air pollution by adding a cost to emitting carbon, ultimately incentivizing producers to limit their carbon emissions. The more effi- cient an emitter is, the more com- petitive he becomes by lowering his operation costs since he would have to buy less of these carbon credits. Will Canada Be Part of A Carbon Market? So who is currently taking the lead in implementing this type of system? According to Professor Sophie Thériault, it would appear that provinces are taking the lead and the same seems to be happening in the United-States. The leadership role on this issue is being taken by local governments. More specifically, a system called the “Western Climate Initiative” is being set up between California, New-Mexico, British Colombia, On- tario and Québec and states and provinces. The tentative date for trading activities should be at the be- ginning of 2012. The federal gov- ernment of Canada also has a system called the “Canadian Offset System” but it has been moving along more slowly. Specialized Expertise Required? Me Philippe Labelle of Montréal, for- merly a corporate lawyer turned en- trepreneur, who also taught a class in corporate finance last semester at the faculty, points out that the legal skills one would need to function in this sector would be similar to that used in any commodity and finance related sectors. Skill sets learned here would be applicable both lo- cally and internationally. From draft- ing contracts, harmonizing interna- tional standards, administrative issues, securities law questions, de- rivative legal situations and obvi- ously environmental issues are all but a few of the legal fields that would come into play in carbon mar- kets. On a cautionary note, Me Labelle points out that speculative capital can wreak havoc in markets such as the recent events that took place in Greece. It would likely be a “Wild West” for a certain time until these markets can show that they can function rationally. Carbon markets could be the next “Tulip Crisis”, ref- ereeing to the worldʼs first recorded speculative bubble of 1637 in what is today the Netherlands. Having had one too many bubbles recently, one must proceed with caution. But the more you know, the easier it be- comes to mitigate the risks. Nouveles flagrant uploads/Geographie/ flagrant-delit-avril-2010.pdf
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- Publié le Jui 22, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
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