L’enseignement français en pandémie MARIA MIHAELA AUSTRIANA BACIU SILVIU-ȘTEFAN

L’enseignement français en pandémie MARIA MIHAELA AUSTRIANA BACIU SILVIU-ȘTEFAN COJOCARU MIHAIL ALEXANDRU CEPOIU IRINA-MARIA RENȚEA ALESSIA IOANA NEACŞU L'enseignement en pandémie dans le monde par rapport à l'enseignement pandémique française. -Le problème des écoles a été extraordinairement compliqué pendant la pandémie, et divers pays ont traité ou. -Les écoles ont été fermées en République tchèque, 4 fois plus longtemps qu'en France. En France, les écoles ont été fermées pour la durée la plus courte. Les élèves de France sont allés à l'école comme ceux de Roumanie, selon les scénarios. La pandémie de COVID-19 a fait subir aux systèmes éducatifs un choc sans précédent dans l’histoire, bouleversant la vie de près de 1,6 milliard d’élèves et d’étudiants dans plus de 190 pays sur tous les continents. Les fermetures d’écoles et d’autres lieux d’apprentissage ont concerné 94 % de la population scolarisée mondiale, et jusqu’à 99 % dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire inférieur.Quelque 23,8 millions d’enfants et de jeunes (du préscolaire au tertiaire) pourraient par ailleurs abandonner leur scolarité ou se voir priver d’un accès à l’éducation l’année prochaine du seul fait de l’impact économique de la pandémie.L’éducation n’est pas seulement un droit humain fondamental. C’est un droit dont la réalisation influe directement sur l’exercice de tous les autres droits. Bien commun mondial, elle contribue à la bonne mise en œuvre des 17 objectifs de développement durable et est au fondement de sociétés pacifiques, justes, égales et inclusives. Lorsque les systèmes éducatifs s’effondrent, la paix, la prospérité et le bon fonctionnement des sociétés ne sont plus assurées. Les enseignants ont un emploi du temps beaucoup plus chargé et les étudiants ont du mal à comprendre le sujet. En raison de la pandémie et de la fermeture des écoles, de nombreux parents ont été contraints de quitter leur emploi pour rester à la maison avec leurs enfants. À quel point c'est difficile pour les professeurs et les parents Les lycées français sont autorisés, au programme de cette semaine, à déplacer jusqu'à 50% de l'activité d'enseignement en ligne, selon une annonce faite la semaine dernière par le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer, cité par l'édition française de La Locale. Les élèves doivent continuer à passer au moins la moitié de leur temps scolaire en classe, et les autorités ont insisté sur le fait qu'elles préféraient une "assiduité à 100%" en face à face . Mais chaque lycée a la possibilité de décider lui-même dans quelle proportion le muet enseigne en ligne, jusqu'à 50%, selon la situation de la communauté locale, comme mesure de lutte contre la pandémie de Covid- 19. Les élèves plus jeunes doivent encore aller à l'école, car jusqu'à présent, selon l'argument du gouvernement, la fermeture de l'école affecte gravement l'éducation des enfants, en particulier ceux issus de milieux défavorisés. L'option lycée a été décidée dans un contexte dans lequel, la semaine dernière, le gouvernement a décidé de prolonger jusqu'au 1er décembre les restrictions sévères actuelles, dans lesquelles une grande liberté de mouvement était limitée, et la plus grande localité toujours à la. La semaine dernière également, les autorités ont également annoncé que le baccalauréat ne sera pas organisé cette année scolaire non plus, et que seuls des tests de spécialisation et une évaluation de l'activité auront lieu chaque année. Source:Edupedu.eu Malgré l'augmentation des infections au coronavirus ces dernières semaines, le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, écarte la possibilité de reporter les écoles, affirmant que « l'éducation est plus importante que toute autre chose ». Il décide qu'à partir du 1er septembre, les cours reprendront sous des règles d'hygiène strictes. Il a été décidé qu'en matière de port de masques, si cet accessoire sera un obstacle pour les enseignants à performer dans de bonnes conditions, il pourrait être supprimé, dans le contexte où les enseignants ont du mal à parler pendant des heures avec un masque sur le visage. Au lieu de cela, le masque était obligatoire pour les élèves des écoles générales et secondaires dans tous les espaces clos. Source: wall-street.ro Eric Pierre fait partie des millions d'étudiants en France qui, après la fin des vacances de Noël, ne peuvent pas retourner à l'école. A 15 ans et élève en 10e, Eric essaie d'étudier la matière chez lui, loin de ses collègues et professeurs. Il le fera au plus tard fin janvier, date à laquelle le "confinement" actuel expirera. "Maintenant, je devrais avoir le français", nous a dit Eric au téléphone. "Je suis assis devant l'ordinateur. Mais rien d'autre ne fonctionne sur la plate-forme d'apprentissage de mon école », explique Eric, qui fait partie du conseil des élèves (la branche de l'état de Rhénanie-Palatinat), qui considère que la fermeture de l'école est une bonne décision." Mais maintenant, vous ne pouvez pas continuer, dit-il. "Les problèmes de serveur doivent être résolus pour que l'enseignement en ligne fonctionne. Nous ne savons pas si nous pourrons retourner à l'école en février. Je ne sais même pas si je pourrai passer les examens finaux cette année". L'école d'Eric, située dans le sud-ouest de la ville de Kaiserslautern, n'est pas la seule à rencontrer des problèmes de transition vers l'enseignement à distance. Dans de nombreuses régions du pays, les élèves et les enseignants signalent des difficultés similaires. Source: dw.com La pandémie a entraîné son lot de retards scolaires, mais au primaire, c’est surtout la maîtrise de la grammaire et de l’écriture qui en a pris un coup, selon une enquête réalisée auprès d’enseignants québécois. Ces résultats sont tirés d’une étude sur l’impact de la COVID-19 dans le milieu scolaire, réalisée par une équipe de chercheurs de l’UQAM en partenariat avec le ministère de l’Éducation.Près de 500 enseignants provenant de trois centres de services de la grande région de Montréal y ont participé en décembre et en janvier.Les effets négatifs de la pandémie chez les élèves du primaire se font d’abord sentir au niveau de la grammaire et de l’écriture, selon les profs interrogés. «Pour le primaire, il semble que la discipline qui ait été la plus impactée soit le français», a affirmé le chercheur principal de cette étude, Patrick Charland, lors d’un colloque visant à faire le bilan de cette année scolaire en contexte de pandémie. Au secondaire, la pandémie a surtout eu des effets négatifs au niveau de la capacité d’attention et d’organisation des élèves, selon les enseignants interrogés. Ces résultats démontrant l’impact négatif de la pandémie sur la maîtrise du français écrit au primaire concordent avec les conclusions d’une autre étude réalisée en janvier par Catherine Turcotte, Marie- Hélène Giguère et Nathalie Prévost. Source:journaldequebec.com uploads/Geographie/ l-x27-enseignement-francais-en-pandemie.pdf

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