COMPTE RENDU: LE RÔLE DE LA LANGUE MATERNELLE ET LA LANGUE ÉTRANGÈRE DANS LE CO

COMPTE RENDU: LE RÔLE DE LA LANGUE MATERNELLE ET LA LANGUE ÉTRANGÈRE DANS LE COURS DE PHONÉTIQUE ET PHONOLOGIE ANGLAISE, NIVEAU A1. Gabriel Londoño Villegas Cours de linguistique appliquée à l'enseignement des langues étrangères, Licence en langues étrangères Anglais et Français, Université de Pamplona. INTRODUCTION À travers plusieurs études concentré sur l’utilisation de la langue maternelle et la langue cible dans un espace d’apprentissage des langues, on a pu constater que la langue maternelle autant que la langue cible ont des rôles vraiment importants dans le processus et la consolidation de l’apprentissage. D’après chaque niveau, la langue maternelle va avoir des impacts, soient positives ou négatives au moment d’établir une interaction, assurer la compréhension et exprimer les idées. Pour développer mon observation concernant a l’utilisation et le rôle de la langue maternelle et la langue étrangère dans la salle de classe, je me suis appuyé sur le cours de phonétique et phonologie Anglaise, niveau A1, ce cours étant composé par 22 étudiants. Pendent cet observation pour constater l’utilisation de la langue maternelle et la langue étrangère, je me suis concentré sur deux aspects, d’une partie les attitudes des étudiants et celles du professeur, et de l’autre côté leur usage des deux langues. Quant à les attitudes du professeur, j’ai pu observer que celui-ci faisait un bon usage de la langue maternelle au moment d’expliquer et développer la classe; étant donné que ce cours est un niveau élémentaire A1 et que les étudiants ont juste commencé à se plonger dans l’acquisition d’un vocabulaire inconnu et quelques termes complexes comprenant l’anatomie vocal, les système sonores et la phonétique , c’est évident que le professeur veille à garantir une compréhension totale de termes et des expressions chez les étudiants. « Le professeur a recours à la langue première pour assurer de la bonne compréhension des apprenants, pour infirmer ou confirmer leurs hypothèse et contrôler leur interprétation » (Castelloti, 2001 : 50, tel que cité dans Giroux 2016). D’une partie j’ai pu constater que pendant toute la séance vers 30% s’est développé en utilisant la langue maternelle, et l’autre pourcentage comprenant le 70% dans la langue étrangère. Pour expliquer l’anatomie de la zone vocale qui permet le son de quelques mots, le professeur s’est appuyé dans la langue maternelle pour faire référence à ces termes si complexes, quant aux mots inconnus, il les écrivait dans le tableau donnant une explication précise. Au moment de demande et poser de questions, il le faisait en utilisant la langue étrangère, ainsi j’ai pu voir que les étudiants tentant de se faire comprendre dans la langue étrangère faisant de poses quelques fois pour penser dans ce qu’ils allaient dire et ils utilisaient la langue maternelle pour faire référence aux expressions inconnues. En ce qui concerne aux attitudes des étudiants et leur usage des deux langues, je fais référence à un fait si remarquable, au milieu d’un exposé sur les différences entre la phonétique et la phonologie une étudiante qui abordait l’explication a eu un lapsus, elle s’est bloquée totalement et même si elle a essayé de reprendre ses arguments, elle n’a pas pu réussir à le faire, donc, elle n’a pas eu une autre option que se réfugier dans langue maternelle pour compléter son explication. On peut penser qu’en premier lieu, le manque de compétence dans la langue à apprendre pousse les apprenants à se réfugier, à la moindre difficulté, derrière la « valeur sûre » d’une langue sécurisante parce que suffisant maitrisée, qui permet d’exprimer des idées de manière plus subtile et d’argumenter de façon plus convaincante. (Castelloti, 2001 : 50, tel que cité dans Giroux 2016).Après la présentation et pendent que le professeur donnait la rétroaction, il a eu une bonne attitude, malgré avoir donné des observations générales sur la présentation, il a dit seulement qu’il ne pénalisait pas l’usage de la langue maternelle dans ces situations, mais de toute façon les étudiants devait au maximum essayer de maitriser l’improvisation et aborder les explications en Anglais car celle-ci était la langue du cours. D’une manière général, j’ai pu observer que les étudiants de ce cours essayaient de se communiquer tout le temps en Anglais même s’ils faisant des erreurs. Dans ce cas, dans ce niveau élémentaire comme il est évident, on trouve que ces étudiants viennent juste de commencer à s’adapter à un contexte différent, un nouveau environnement que leur demande plus d’effort, où ces étudiants doivent acquérir un répertoire des expressions spécifiques et un vocabulaire vraiment ponctuel et inconnu, ici la langue maternelle est indispensable pour établir une l’interaction et assurer la bonne compréhension, d’un côté, j’ai pu constater que le professeur garantie la bonne compréhension des différents thématiques ceci en se servant de la langue maternelle pour expliquer plus clairement , d’autre part, le professeur donne la liberté aux étudiants d’aller à la langue maternelle pour raffermir ses arguments et se faire comprendre quand ils ne peuvent pas le faire en Anglais. Quant aux étudiants, ils font usage de la langue maternelle quand ils se sentent dangereux, même s’ils tentaient tout le temps de se communiquer dans la langue étrangère, il faisant l’alternance codique avec l’Espagnol pour faire référence aux mots qu’ils ne connaissaient pas. CONCLUSION En guise de conclusion, je peux constater que la langue maternelle se pose comme un besoin impératif dans le niveau A1 de la part des étudiants et du professeur du cours de phonétique et phonologie., tenant compte le caractère inconnu et complexe de ce cours, j’ai trouvé que le professeur veille à garantir l’utilisation de la langue maternelle pour permettre à ses étudiants de pouvoir comprendre et exprimer leurs idées, de la même manière il fait appel à utiliser la langue étrangère la plupart du temps car celle-ci est la langue cible du cours. Quant aux étudiants, ils se servent de la langue maternelle pour raffermir ses arguments et réaliser l’alternance codique afin d’utiliser les mots qu’ils ne connaissent pas. REFERENCES Lydie Giroux, « La place et le (s) rôle (e) de la langue maternelle des apprenants en cours de langue étrangère», Gerflint, Synergies France n°10 - 2016 p. 55-68. uploads/Geographie/ le-role-de-la-langue-maternelle-dans-la-salle-de-classe.pdf

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