L'AFRIQUE DU NORD TERRE D' HISTOIRE , , EN PRÉPARATION: • L'ENFANT DU BLED, rom

L'AFRIQUE DU NORD TERRE D' HISTOIRE , , EN PRÉPARATION: • L'ENFANT DU BLED, roman . " Tous droils réservés pour tous pays . IL A ÉTÉ TIRÉ DE CET OUVRAGE 500 EXEMPLAIRES SUR P APIER SPÉC I AL NUl\IÉM ROTÉS DE 1 A 500 ET 1 0 EXEMPLAIRES HORS COMMERCE N UMÉROTÉS DE I A X. .. , / Mohained EL MAADI L'AFRIQUE DU NORD Terre d'histoire. ÉDITIONS FRANCE- EMPIRE 110, boulevard Saint·Germain PARIS-6° 1 1 A mon Père, le Caïd Mahfoud EL MAADI, Qui m'a appris à aimer et à défendre ma race. In memoriam . . AVANT-PROPOS FAIRE connaîtj'e la vé?'ité au plus' grand nombTe, telle est l'ambition de ce petit ouvrage de vulgarisation, . Les Arabo-Be-rbèj'es qui occupèmnt l'Es- pagne et le midi de la France prndant des / siècles sont, sans contestation possible, à l' oTigine de la civilisation eu?'Opéenne mo- deme, S'ils sui'ent se montTeT généreuœ et tolérants enveTS les peuples vaincus, auœ- quels ils enseignaient leuT science en leur laissant l ~ s biens, la j'eligion, les lois et la plupaj't des dj'oits civiqttes, comme en témoigne l'Histoù'e, leuj's descendants, les mauvais iOUj'S venus, ne j'encontTèTent que haine, - 9- i , -- contminte et eœploitation inhumaine, le tout camouflé sous des fleu1' S, des mensonges et des in JUTes, Les pages qui suivent pmvoqueront de magnifiqttes homélies SUT mon ingmtitude et 1'enloTcemnt dans ceTtains cœU1'S la haine nou1Tie cl mon égaTd, Soldat et révolution- naiTe, 1'ai PTévu le combat; je sattmi déjendTe le passé et l'avenù' de ma 1'ace et paT la même occasion me défendTe moi-même, A l'encontTB de nos détmcteuTs, je ne 1wu1Tis aucun vil sentiment; je veux simplement faire connaîtTe la vérité aux hommes de bonne volonté pOU1' tenteT de SOTtù' de l'abîme où nous ont PTécipités le mauvais sort et la cupi- dité, On n'admet pas que je Tevendique l'éman- cipation sociale de not1'e peuple, je le sais, Ma volonté gène considémblement, mais l'Eu1'ope nmtvelle exige des hommes et non des seTfs, il lui faut de la bmvouTe, des talents, des Ce11JeaUX et non des iérémiades et de b1'illants aTticles de iournaux, De la bmvouTe, nous en avons cl TBvendre; quant aux talents et aux ceTveaux, qu'elle nous y aide .. nous - 10- l 1'epmndmns la 1Jlace laissée vide paT nos ancêt1'es, A leuT exemple, nous saumns pmduiTB tous les t1'és01'S de l'intelligence, dispaTus avec leuT , puissance, N o u . ~ saU1'ons êtTe les dignes descendants des sujets des A bdemme et des Almanz01', Un ' fanatisme aveugle et" stupide a voulu dep1ûs des siècles' détruiTe iusqu'au souvenù' d'un peuple contTe lequel s'étaient élevées les h'aines politiques et Teligieuses, Ce peuple a sU1'vécu; cette vitalité seule, devmit lui valoiT le droit cl l'envol ve1'S la dignité humaine aux côtés de l'Eumpe unie, / 11 - " LORSQUE nous nous penchons sur un pla- nisphère, l'immense Continent Africain, que nous savons peu peuplé et quasiment . inexploité, nous apparaît comme le champ d'expansion fatal de l'Europe. Aucune loi, aucune force n'arrêteront ce destin. L'Histoire, comme les· événements actuels - qui s'achèveront pâr l'Unité Européenne ardemment souhaitée par les hommes de ma génération - le confirment. Son exploitation rationnellè s'offre comme un puissant dérivatif aux haines et aux rivalités provoquées par l'étroitesse des territoires européens. Tous les hommes sensés, convaincus de la nécessité d'une paix très longue, doivent - 18- / • - faire triompher ce principe. Vue dans son ensemble, cette exploitation peut s'envisager sous la forme d'une coopération des puis- sances intéressées. On imagine pm'faitement un organisme européen permanent, décidant des problèmes économiques, le Gouverne- ment intérieur étant laissé aux autochtones \,!n ce qui concerne l'Afrique du Nord. Cette formule révolutiOlmaire blessera certains concepts bourgeois de la propriété, je le sais. Je rappellerai à ceux que ma proposition choquerait, qu'il ne s'agit pas de quelques hectares, ni même de milliers, mais bien d'un Continent plus grand que l' Europe et plus riche qu'elle. Ce Continent, aux richesses incalculables, il faudra le conquérir mètre par mètre. Les hommes - les Européens qui se sentent à l'étroit sur leur vieux sol surpeuplé - auront à déployer toutes leurs ressources physiques et morales pour vaincre les savanes et les forêts tropicales. Ils auront à fouiller les terres vierges, à construire des routes, des ports; à dompter des fleuves géants, tel le Congo. - 14 - Les vies qu' ils sacrifient aujourd'hui sur les champs de bataille - parce qu'Israël veut conserver pour son seul usage le bénéfice des riçhesses naturelles ·- leur paraîtront trop courtes, en comparaison du combat aussi pacifique que gigantesque qu'ils livreront. Avant-guerre et ce, parce que le monde adorait le veau d'or des judéo-démocraties, certains pays détruisaient des récoltes · en- tières, alors que d'autres souffraient terri- blement de leur pénurie. Qui ne se rappelle . ces fameuses batailles : Du caoutehouc, qui finit par la création du Comité International de la Réglemen- tation du Caoutchouc, limitant la plantation de l'hévéa. Du blé, opposant ses producteurs aux producteurs du riz. Du café du Brésil, opposant ses planteurs aux planteurs d'autres contrées. Du sucre de canne, dres- sant ses planteurs contre ceux produisant le sucre de betterave. Quelques hommes - les judéo-anglais de la City et ceux de Wall-Street - pour que leur or immonde sue un autre or dégou- linant de sang et de sueur, privaient le reste - 15 - des hommcs de tout ce que Dieu; dans sa bonté, a mis à notre disposition. L'Afrique est quasi inexploitée, parce qu'il fallait beaucoup d'argent à nos maîtres. Ils enrôlèrent des nuées de prétendus éco- nomistes pour nous convaincre, par la plume et la parole, que leur malthusiahisme était néceSsaire selon les circonstances, et surtout les . cours de la Bourse, soit à la prospérité de la Métropole, soit à celle de la Cl'llonie. Le «bourrage de crânes» était savamment orchestré et, pendant ce temps, des millions de kilomètres carrés restaient en friche. Ces temps sont révolus. L'Europe de demain, cette Europe dont la jeunesse ardente construit avec sa chair et avec son sang l'ordre nouveau, organisera et exploi- tera l'Afrique de telle sorte que chacun de ses enfants soit ' bénéficiaire de richesses immenses. Tout y pousse. Tout y vit. Tout y gît en cette Afrique. Ce Continent offre l'universalité des ri- chesses connues. Cela provient de ce qu'il dispose de zones équidistantes de chaque -IG - côté de l'Equateur ayant les mêmes carac- téristiques végétales, animales et clima- tiques. C'est ainsi que si nous prenons les deux extrêmes : l'Afrique du Nord et l'Afrique du Sud, constatons que _ climats, produits agricoles et même cer- taines matières premières : charbon, fer, plomb, manganèse, molybdène, phos- phate, sel gemme, etc ... , sont identiques. Quand en Afrique du Nord la récolte mûrit, en Mrique du Sud elle s'achève et réciproquement. Cette ressemblance se pour- suit même dans la pauvreté: le désert de Ka- lahari correspond et ressemble au Sahara. L'Afl'ique est une terre d'abondance. Si l'Europe sait la mettre en valeur, non seule- ment elle libérera son économie de la tutelle des autres continents, mais elle trouvera le terrain d'entente qui procurera aux nations la composant des siècles de paix. J'invite les hommes de bonne volonté, désirant . sincèrement la fin des guerres extermina- trices profitables aux seuls capitalistes juifs, de venir à nous et, de toutes leurs forces, nous aider à bâtir cet avenir. . - 17- * * * L'Afrique nous apparaît donc comme le déversoir et ·le réservoir de l'Europe sur- peuplée. Mais, hormis les pays côtiers, c'est une terre redoutable à l'Européen. Dans l'état où elle se trouve actuellement, il lui sera difficile, sinon impossible, de s'y ins- taller définitivement. Il devra l'aménager, l'assainir. Il lui faudra livrer un formidable combat contre _son sol au riche humus, exhalant des émanations mortelles. Toutes les forces naturelles se ligueront contre lui' pour empêcher la conquête. Un seul blanc est capable de s'enfoncer dans l'humide et chaude forêt équatoriale; lui seul pourra défricher et préparer cette terre à la culture et à l'industrie européenne. Cet homme, c'est le Musulman NOl'd-Afl'i- cain. Cet Arabo-Berbère, dont tant d'écri- vains, de journalistes et de conférenciers 'ont écrit et parlé à toÙ et à travers, sans jamais le camper exactement; cet homme, que cha- cun de vous connaît tout au moins physi- - 18- r quement pour l'avoir vu sous l'uniforme du tirailleur ou sous le bleu de l'ouvrier; cet homme, méconnu et asservi: par les lois inexorables d'un destin marâtre, formera, qu'on le veuille ou non,-'l'avant-garde de la pénétratibn européenne en Afrique. Lui seul est physiologiquement conformé pour affronter avec succès les sylves équatoriales. Cet homme, il est , temps de le préparer à sa tâche de pionnier. Il est temps de le sortir du quasi-asserviss,ement auquel l'a réduit la colonisation judéo-maçonnique. Le but de ces lignes est d'appeler l'atten- tion sur l'Afrique du Nord. Cette Afrique du Nord douloureuse, qui a donné et donne chaque jour une magni- fique preuve de loyalisme, souffre d'erreurs, uploads/Geographie/ maadi.pdf

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