Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Science et psychologie
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Science et psychologie : nouvelles oeuvres inédites de Maine de Biran / publiées... par Alexis Bertrand,... Maine de Biran (1766-1824). Science et psychologie : nouvelles oeuvres inédites de Maine de Biran / publiées... par Alexis Bertrand,.... 1887. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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CenMM tmutttMM M~ZO.)!<H4 )tMsib)tMpatUe))e Valable pour tout ou partie du document reproduit RELIURE SERREE Absence de marges intérieures MbMt d'une ~ne <to <tMttnentt en cautew B~MOT~~ DE FA€~ L1'ON' '=. "OMiBM SCÏEN EE ET~ t~m~.MWKS MMtKS. .'r~~M" M, j" ~w~~ ..MAt~E;~B]~ p~<gM.A~C.MN&.)~oMCMeN' ,.AMXIS~~R~ ~;r~ .P<~w'~MU<~e~M~tMM~ j ~'s~ 'M se'lbbbi,lai r ~.Ji/SM. ERNEST ~EROU~ ËBiTEUR £ 9a,ttt!~Mo~y~TR,SR r; 'ï.M~i~s~1~ 'w: M~'tn~NS~CCTt~PWB~MR~MSB~A~~ 'ao~s:'a~oo~DB$'Mw 'h~80œNTnHQOE~ SiBMONOtM~BSMtt.OMmS 8SWMH B'ARCM~MMXë~ 8SN~t)&Ea~aAM)BtMMOM!QUBlM~8~tBNVR > $~MNP~M6~C~ËMNOMt()~~SOaA~ A'ROHtV'Eë'&.Ba'Mt~t6N~a~B! ~A! /(' ~a''T~M~ 'ï;r~ NSt~01!< PnhN6eMBeta~MeMm<tH.eB'BA'tv,~M~ /A~A~ `. '~J~(.t~t~ ~Mt~mBa'.p~ét~~ I~p t~~oaL ar~a~ 't~tBe'a~~i[~~ 0~j~a'~c.o~~ 'e- len~n'~b.r~snt~tlei~~iex. 'jM~rt~a~~ R~ ~1~W~$~ '& F~M~.B~ <"'4. s,. '~f't~t..'?.J~i-.<.4' C~j 4 li~ '?~ >, £ ( x.~ S ~o~.M. ~p~y~~ .t.-j~ sr ~t ;j.t'y' 't' -j~t'<=. -1 ANNUAIRE DE M FACULTÉ DES LETTRES DE LYON TABt.EDES TROtS PMEMN!MSS ANN&ES t883-iMS !A:MË&tMa KtWtMto t. B~MtM, pM~Mexr de ~eempMe: to ~Mat)<M, MatotM de t'AMMtb et de t'AM~ pttmMf. (httMdtMMon à t'M<t<t~de r~Mpe.) C)t.B~wr,pMt!i!SMMr(t'hMxiMetaBM~MBd)tmeyen~:ie je WeoMe<fMN<)M««M<mMN. )L. Cn~M, tt~MMw de tanetta et de MMmtaMtft-m~he do meye)tage:J~oCAMa(9Me<fe~a~m6eM. FnMk)tten.pAn.RM!<A)))).Sf<M)M<!taH~W~<a<HHM. E.Bt!MT.c<)irrMp<mdMtde)'tMUtut:P<M)fM<'WCeM~. Pa.!hwc&:t'tM'<MWe~<Mt, t..<Ma*T:~<M~M<fepA~a~e/~of«< C. M6)!mtM Nexfef<M'a<Mr.' FaMteuteN!.FbtMt:~<M<<<NM'/apA<y~pAte~)M~a<Mtw< !tBMt*Nt:B~Mt~MM<<? M~aM~e et ? MM ~M<«/<tt< met ~<' n'.M)N)SB.~Mt. FMctMte!. B.t~&m<:SM'M<~MeM~tt<!Aet)a~J~~)~. CH.tMBf:ta/!M<Me<<Mt<t<t<M<&CfM<fm<fn. LCt~t:~M~<eBMMae~M<~jr~<'&t.~W6-MM). RBa~T;J%M~~<;ttMde~tMdttetaMMrtMdehpM~~ ttMMjdmMtw.. A.BBnTes,êt&~dMMBMt~M~d~totM:fa&ataM&<feet!tmM. PeM*tt)B: Mt<~<MO' tm eptcea<!t M{-<N.M)tf<)~« <? BMtMtMM. Rtseitote! P.RBBMn<:S<9)tCMta)!~)<<a!<M&fHM. P.RBNfACB!j6<«<tMpAenN~et<<tHetyteA~ttM. 'è' <<~tM~<weMt~ Fin d'une série de documents en couteut BIBLIOTHÈQUE )<)i).A FACULTÉ DES LETTRES DE LÏON TOME DEUX!ÈME La Faculté des Lettresde Lyon a dedde, l'année dernière, de modifierles conditionset la formede la publication seientiNque qu'elle avait entreprise depuis <M3. Son ~iaatMtM,qui tio com- posait de &sctca!es d'Mato!ro, de Mt~mt~M. do philosophie, devtontune ~MtoM~tM analogue & celle que publierËeotedes Haatesétudes, formée de volumes eoUeFement iadëpondants les uns des autres.Le présent volume est le deuxième de cette publication. Le premier, ~eM~ad~ et la jPoMfaKej~ntM~aHe en FfaaeAe-C<MM~, par AI. E. BomMBMs, docteur ès-tettrea, chargé des cours & la Faculté des Lettres de Lyon, vient de paraître.Le troisième,La CAatMoade Roland, traduite en prose archaïque et rythmée par M. L. Ct&tAT,professeurà la Faculté des Lettresde Lyon, paraîtra très prochainement. MBUOTH~E DE LA FACUMË DES MmESDE MON TOMBtt SCJ~CE ET PSYCHOLOGIE ~WEUtS SUMMt~tHS t~ /< ~J ~~ÎNE DE BIRAN PPm.)~ A\KK UKE tNtMM!CH(M< han a ALEXIS BERTRAND ftefMMur do PMttMj~k t le Faculté de. LtttM!) de t.;m. Fae-ShnMe. tntMdncUen. Rapportade t'Meetegie et des Nathëmatiqaes. Observattem aBr le paterne de Gall. CemmenMMam' les NëditatieMde BeMarteB. Rapportsdes Menées naturelles avec la Psyeheteate. Notes mr t'abM de U9Me. Notes sor ndeeteeie de N. de 'Tmey. PARIS ERNEST LEROUX, ÉDITEUR 28, ME BONAPARTE, 28 1887 FM.strn~ d'w.aap~ed<t~snuaeptt ?* m~nuseril INTRODUCTION En <8N6. le programme de l'Agrégation de philosophie comprenait tes JM<~<~<MM M~e~A~~M~ de Deaoartpa. Je savais quo Maine de Biran avait laissé un CemtWH~~ inédit sur les J!M~f<t~<ttM, et je désirais vivement en fairp profiter nos étudiantset en profiter moi-même. Je me rendis donc à Gonbvo: M. E. Naville m'aeeuoittit avec «a henné graee accoutumée et mit a ma disposition tousles manuscrits de Maine de Biran. On est vite l'ami de t'émineutphilosophe génovoiaquand on est l'ami de la philosophie et l'admirateur de Maine de Bifan il voulut bien me dirigeret m'aiderà explorer ces volumineuxmanuscrits, qu'il connaît page par page, ligne par ligne, je devrais dire mot par mot. De ce pré. mier voyage je ne rapportai cependant que le CMMHCH~aw ~Mf les Jtf~tNita~MM, et il me parut si important que je résolus des lors de le publier dans notre ~MMtMM~, ou du moins d'en extraire les parties les plus nouvelles, et qui n'a- vaient pas leur équivalentdans les œuvres connues de notre philosophe. Quand t'~wMMH'e fut transformé, l'an dernier, en Bibliothèquede la Facultédes Lettres,mes projets s'agran- dirent et mon ambition augmenta j'étais vivement frappé dp cette idée qu'il ne s'agit pas ici d'ouvrages de peu d'im- portance, négligésà dessein par les premiers éditeurs, mais qu'an contraire, an témoignage de l'homme qui connatt le mieux la question, cinq ou six des manuscritsinédits sont désignés pourfaire partie de l'éditiondé6nitive que la France et la philosophie attendront peut-être longtemps eneore, tandisque plusieursdes piècespnbtiéea par V. Cousin seront évidemment éliminées de cette édition. C'est une anomalie, un fait étrange, et qui ne ae présente peut-êtrepour aucun antre auteur ancienou moderne, mais c'est on fait qui s'ex- plique le plus aisément du monde a! l'on se rappelle l'histoire bitiarre,devenue légendaire comme celle desécrits d'Aristete, de la publication des manuscrits de Maine de Biran Le traité des ~<~w<s <!fM'Hf<?<: FM<Mw~ a<~c la Psycho- ~M me parut surtout d'un intérêt si actuel et, soit par tt* sujet, soit par la matM~ra dont il est traité d'une utilité !:i indiscutable à cette époque surtout on nous voyons la phy- siologie envahir te domaine de la psychologie, trop mol- lement défendue, que jo n'hésitai pas à en proposeret & en entreprendre la publication. C'est, en etbt, une adm!rabh' défense de !a psychologie, et ceux qui voient avec dou- leur l'espèced'abandonet de délaissementtu semble s'étioïer aHJoard'huieetto science toutefrançaise et prononcentau fond du cœur t'~enafe a~MM/ 1 ceux-là, j'en suis sur, auront lieu d'être contents. Pas un des arguments de Maine d<' Biran n'a vieilli. Cet éioquent plaidoyer, bien qu'il date de soixante-dixans, semble écrit d'hier et s'adresser & des adversairesqui viventet conspirentau milieu de nous. Puisse- t-it convertir quelques néophytesintempérantsde la physioto- gie et les ramener au véritaMe objet de la psychologie; puisse-t-il aussi détourner quelques-uns de nos jeunes philo- sophes de ce coup de désespoir,qui consiste à abdiquerentiè- rement entre les mains de Kant et a s'incliner sans nécessité devantl'Allemagne.J'entends l'accusation étrangemanière, va-t-on dire, de défendre la philosophie, que d'en exclure la science et d'y introduire lè chauvinisme Eh 1 non Maine de Biran étaitun savant; il connaissaitles mathématiques,je ne dis pas autant qu'homme de France, mais autant qu'il fallait pourdiscuter avec Ampère sur maint sujetqui embarrasserait fort tel d'entre nous qui parle avec convictionet non sans une complaisancelégèrementemphatique,de la loi ~a~A~M~ de Fechner il était 61s de médecin, très versé dansles études it. NM&e A&<o~M et <tMM~<tpM}«e Mr <raeatt.E de NanM de Bt~m, eontEmmt i* rHbhtife des mamMtMainédite de ce philosophe; a' lé Cata- logue «abonné de Mttmweatant inédites que pnMieM; 3' le Catategae dee écrits relatifs à sa vie et a sa doctrine, pM M. E. Naville. Qenève, i8St. physiologiques, fondateuretprésidentd'une~<tf)Mf<fM~fM& l'ami intime de Cabanis, comme en témoigna Mac corres- pondance inédite quej'ai sous les yeux. Quant à t'AMomagne. il ne juraitpoint par elle, mais il laforçait de couronnerses tnémoires. M pensait d'aitteura que Biehat et Cabanisvalent bien les Allemands qui les pittent. Schopenhauor écrivait en <M2 « Biehat a vécu trente ana, il est mort il y aura bientôt soixante ans, et toute l'Europe honore aon nom et lit ses ouvrages. Sur cinquantemillions de bipèdes, on aurait peine & rencontrer une tête pensantetelle que Bichat. Assarétnent, depuis ses travaux, la physiologie a fait dea uploads/Geographie/ maine-de-biran-scienza-e-psicologia.pdf
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- Publié le Jui 30, 2022
- Catégorie Geography / Geogra...
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