Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Caractéristiques des s

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Caractéristiques des saints dans l'art populaire / énumérées et expliquées par le P. Ch. Cahier,... Cahier, Charles (1807-1882). Caractéristiques des saints dans l'art populaire / énumérées et expliquées par le P. Ch. Cahier,.... 1867. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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CARACTERISTIQUES DANS L'ART POPULAIRE CARACTÉRISTIQUES DANS L'ART POPULAIRE ÉNUMÉKÉES ET EXPLIQUÉES FAR. LE P. G H. CAHIER m; i.A «rosi l'Ai:NIE ni: .n;si:s. TOME PREMIER A —F. Pages 1 à 440 PARIS LIBRAIRIE P0USS1ELGUE FRÈRES Il U K CASSETTE, 27 1867 Tons droits réservés. « Sun! nomuilU quos ad amorcin patriie coeltistis plus exempta quam pnedicamuntu succumlunt. » Gregor. M. Dialog., lit). 1, prolog. AVANT-PROPOS 1. Krislliche Kunslsymbolilc und Ikonographic, ein Versuch, etc. 2. De hisloriu SS. imaginum.Avec l'édition de Paquot (Lovanii, 1771) on avait déjà la base d'un fort bon réper- toire, si ce n'était que la polémiquey occupe une place considérable, et que le nombre des saints mentionnésest trop réduit.Cela suffisait auxvues de l'auteurprimitif, qui ne voulait que venger le culte des saintes images contre le calvinisme. i. 3. GesammelleSchriflen, von J. v. Radowitz, I Band. Zi. Emblems of saints... by F. C. Husenbeth... provost of Northampton. 5. The calendar of tlie anglican churchilluslrated. 6. Sacred and legendaryArt, — Legends of tlie monor- stic Ordcrs, — Legends of Ihe Madonna, etc. 7. ChrisllichcSymbolik. Regensburg,1855. Je ne parlé pas de la prétendue Mythologiechrétienne, imprimée à' Berlin, par le Dr Piper. 1 ' 6 AVANT-PROPOS. son Dictionnaire iconographique, a réuni bien des recherchesqui ne sont pas à mépriser1. En somme, pourtant, il demeuraitbeaucoup a faire; et la raison en est fort simple. Que l'Allemagne et l'Angleterre nous aient précédés sur cette route, ce n'est pas de quoi surprendre. Tout en perdant les souvenirs catholiques du moyen âge, les peuples de ces contrées tenaient beaucoup-trop à l'art chrétien par le fond de leurs entrailles pour ne pas A'ouloir se remettre à comprendre ce qui nous en reste dans les musées et les églises. C'est sans doute ce qui dirigeait M. Th. .Grosse quand il attachait son nom aune édition de la Légende dorée publiée par un imprimeurde Dresde i. Je dis qu'il y a mis son nom, car il n'est pas aisé de croire qu'il ait pris la peine d'en revoir le texte, malgré la promesse du titre. Le livre est beaucoup trop criblé de fautes pour permettre de supposer la recension attentive d'un homme instruit. Toutefois, comme cette édition est d'une acquisition facile et comme les erreurs d'impression qui la déparent trop souvent sautent aux yeux presque toujours, ce sera le texte que nous suivrons communément quand il faudra renvoyer le lecteur à cette source populaire. On pourrait penser que les catholiques sont fort en relard dans celte branche de recher- ches historiques. Mais, outre que plusieurs des livres cités plus haut ne sont pas l'oeuvre de protestanls, faisons celle réflexion que les souvenirs et les pratiques de l'Egliseentretiennent encore chez nous une connaissance passable de certains faits qui semblent pouvoir au moins suffire dans les populations qu'ils intéressentparticulièrement; tandis que tout en ce genre est énigmalique et absolument neuf pour ceux qui ont été accoutumés depuis trois siècles à répudier le culte des saints. La curiosité devait donc s'éveiller d'abord là où la désuétude avait entièrement dépaysé les gens les plus attentifs. Et cependant il serait injuste de mécon- naître que l'Italie et les Flandres avaient déjà pris au sérieux dès le xvf siècle ces recher- ches iconographiques (puisqu'on a employé ce nom, qui ne me semble pas exact ici). Lais- sons de côté, si l'on veut, les grandes investigations dont les catacombes et Fart chrétien primitif ont été ou sont encore l'objet; Molanus et son éditeur du \vm° siècle (Paquot), ne peuvent être oubliés 3 dans un travail sur les images. Auprès de son livre, quelques autres opuscules, ou môme ouvrages du xvni0 siècle, méritent à peine de figurer. 2. Danslestravauxmodernes, dictés par la môme pensée, et jusque dans les mieux faits, une grande lacune apparaît presque toujours; ce sera notre justification pour avoir présumé qu'il restait quelque chose à faire sur un terrain parcouru avant nous par plusieurs hommes 1. Je n'ai pas voulu employer ici le mot iconographie parce qu'il m'aurait semblé irrévérencieux pour des hommesgraves dont nous devons tenir grand compte. Le docteE. Q. Visconti ayant adopté cette expressionpour ses recherchessur les portraits des personnagesillustres clans l'antiquitégrecque et romaine, il convient de ne pas dé- tournerle sens de ce mot à une autre acception.Or, je n'a- vais pas du tout en vue de recueillirles portraitsdessaints. 2. Jacobi a A'oragine Legenda aurca, Dresde, 18/|6. 3. Cetteédition, reproduitepar M. Migne dans l'un de ses Cours, y manque de table alphabétique; en sorte que l'usage en devient très-malaisési l'on n'étudiepas:le livre d'un bout à l'autre. La Légende dorée est souvent dans le môme cas par suite d'une distraction toute semblablechez ses éditeurs, y compris M. Graisse. L'ordre du calendrier n'est pas présent à toutes les mémoires 1. AVANT-PROPOS, 7 capables. On nous dit bien comment les grands serviteurs de Dieu ont été représentés, mais on n'explique guère pourquoi tel ou tel attribut les caractérisait aux yeux du peuple. Dès lors les meilleurs ouvrages ne ressemblentpas mal à une liste d'indicationssèches qui satis- font assez peu la curiosité légitime. Si je trouve, par exemple, que sainte Marie l'Égyptienne porte trois pains, j'éprouve immédiatementle désir de savoir quel en est le motif; et la plupart du temps l'auteur ne m'en donne pas l'explication. L'esprit humain est fait de telle sorte, qu'il ne s'arrange pas de réponses si sommaires. L'auteur peut trouverque ce lui est déjà bien assez de peines prises pour arriver à ce point, et se dégage volontiers du reste de la tâche; non pas qu'il ne poussât volontiers son entreprise jusqu'au bout, soupçonnant sans doute qu'il laisse encore une question ultériem*e à résoudre. Mais où trouver habituellement le mot de tant d'énigmes qui renaîtront à chaque ligne, si l'on se dévoue à les prendre pour autant de problèmes que le public vous propose? Il y faut des lectures presque sans nombre si l'on n'a pas été familiarisé de bonne heure avec les faits de l'hagiographie. Qui n'a pas fait un usage quotidien du bréviaire durant plusieurs années, ne saura où chercher ce que les bonnes gens d'autrefois connaissaient comme nous savons aujourd'hui l'A B C. Pour moi, il m'est arrivé d'entendre expliquer certains bas-reliefs sans pouvoir opposer à l'interprétation autre chose que des fins de non-recevoir. Puis, à quinze jours de là, lisant les leçons de mon bréviaire à Matines, je voyais clairementles faits qui avaient dirigé l'ar- tiste du xv1' siècle ou du xvi"1, et que l'on m'avait habillés d'une façon méconnaissable. Toutefois le bréviaire (du moins un bréviaire quelconque) ne dit pas tout. Chaque contrée a ses saints qui n'ont pas occupé beaucoup le reste de la chrétienté. Le bréviaire romain a beau signaler les serviteurs de Dieu les plus uploads/Geographie/ caracteristiques-des-saints-dans-l-x27-art-cahier-charles-bpt6k57844208.pdf

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