Résumé du texte numéro 2 sur la page numéro 11 : Soixante-quatre ans pour recev

Résumé du texte numéro 2 sur la page numéro 11 : Soixante-quatre ans pour recevoir une carte postale. Postée sur le front birman, elle est passée en 1945 en Arizona, puis sur les îles de Maui, et vient d’arriver enfin au Japon! (Postée en Birmanie, elle a traversée la ligne d’équateur avant d’être reçu au Japon 64 ans après !), Un militaire japonais de la deuxième guerre mondiale, reçoit une émouvante lettre de son compagnon de rang, soixante quatre ans après ! EN effet la lettre en question a été postée en Birmanie, prise par un soldat américain en Arizona, pour ensuite se retrouvée aux îles hawaïennes, avant d’être récupérée miraculeusement par un étudiant du pays du soleil levant. Deux ans de recherche on été nécessaire pour retrouvé son destinataire, un sénior de 80 ans, ému par les textes ainsi que la mort de son camarade. Page 26 texte 1 : Voila un livre qui explique finement comment la cellule familiale est devenue un sac de nœuds (Quand la famille s’emmêle Hachette Littératures), Son auteur le psychiatre Serge Hefez, ne traque pas les coupables, il ne donne pas de recette et se grade de céder à la nostalgie d’un ordre trop repassé. Il ne dénonce ni le carcan des règles ni l’absence de repères. Il énonce juste une vérité assez peu confortable : nous souffrons collectivement du « poids écrasant de l’amour et du bonheur ». Devenue un conglomérat d’individus sommés de s’épanouir de façon autonome, la famille n’est plus un cadre rigide, mais une machine à dispenser, Idée 1 : description du document (de quoi il s’agit). Idée 2 : explication sur la façon dont l’auteur traite le sujet. Idée 3 : clarification du contenu du livre paradoxalement, à la fois de l’amour et de la liberté. Mouvante, fragile, protéiforme, elle repose aujourd’hui presque exclusivement sur le lien affectif : on peut, ou on croit, pouvoir le rompre d’un claquement de doigts mais on peut aussi s’y retrouver ficelé, comme l’explique Serge Hefez. En réalité, cet amour fusion crée une dépendance déchirante, et toute rupture, souligne-t-il, prend des accents de tragédie ? Entre la famille institution et la famille désir, conclut le thérapeute, il faut inventer de nouveaux liens. Page 26 texte 2 : faire un résumé du texte suivant qui comporte 457 mots Le mouvement « Amoureux au ban public » organise ce 14 février la première Saint Valentin des couples mixtes : une journée de sensibilisation aux difficultés qu’ils rencontrent pour se marier et faire obtenir des papiers au conjoint étranger. Charlotte et Dany se sont rencontrés pendant leurs études à Saint-Pétersbourg. Lorsque la jeune lyonnaise et son ami syrien se fiancent au bord de la Neva, en trinquant à la Vodka, ils sont loin d’imaginer les épreuves qui les attendent. Arrivé en France en 2006 avec un visa touristique, Day patiente d’abord huit mois avant de pouvoir se marier avec Charlotte, Ils pensent alors que leur affaire est réglée. Mais il faut encore prouver six mois de vie commune pour obtenir un titre de séjour, et les délais de délivrance sont plusieurs fois repoussés. Après presque deux ans d’attente, d’incertitude et de crainte des contrôles policiers, Dany obtient finalement ses papiers. Des histoires comme celle-ci, la Cimade, association d’aide aux étrangers, en entend tous les jours. Idée 1 : Titre de l’article, en comprend bien que le sujet englobe les contraintes administratives liées aux mariages mixtes, qui ne sont pas connu du grand public. Idée 2 : témoignage d’un jeune couple qui illustre les complications que peuvent subir les étrangers durant leurs démarches civiques d’union, en vu de vivre en toute légalité en France. Idée 3 : les causes de création du mouvement amoureux au ban public, description des événements qui auront lieu dans différentes régions de France. D’où l’impulsion du mouvement « amoureux au ban public » en juin dernier, pour permettre aux couples mixtes de confronter leurs difficultés et les faire connaitre au grand public. Le premier collectif voit le jour à Montpellier. Six mois plus tard, huit cent couples sont mobilisés. Et Lancent demain leur première journée de sensibilisation, la « Saint Valentin des couples mixtes ». Au programme : célébration de vingt mariages fictifs à Lyon, bals populaires à Montpellier ou Béziers, banquet à Marseille, manif à Bobigny devant la préfecture de Seine-Saint-Denis. « Les couples mixtes sont confrontés à des difficultés croissantes », déplore Nicolas Ferran, coordinateur national du mouvement et salarié de la Cimade. La présomption du mariage blanc est quasi systématique. Les maires ou les consuls demandent, en effet, de plus en plus d’enquêtes administratives préalables au mariage. Des enquêtes initialement prévues pour vérifier le consentement mutuel. Des enquêtes qui durent souvent des mois, en laissant les couples dans des situations incertaines, comme Dany et Charlotte. Des enquêtes qui, lorsqu’elles sont menées en France, peuvent conduire à l’arrestation du conjoint sans papiers, et à son expulsion. Rien qu’au mois de Janvier, huit personnes placées en centre de rétention à Lyon étaient sur le point de se marier. Pour lutter contre ce qu’ils estiment être une atteinte à la liberté matrimoniale, plus de cent couples mixtes ont saisi le Conseil constitutionnel en novembre 2007. En avril prochain, le mouvement des Amoureux au ban public lancera des Etats Généraux pour regrouper les revendications des conjoints et changer la loi. Et si cela ne suffit pas, ces amants rebelles prévoient de saisir la Cour européenne des droits de l’homme dans le courant de l’année. Idée 4 : les justifications du retard et de la lenteur du traitement des dossiers de ces étrangers amoureux, parmi les raisons évoqués, la suspicion du mariage de complaisance figure en premier. Ainsi que les mesures prisent par l’état pour confirmer les réelles motivations de la relation de couple. Idée 5 : mesures prise par les couples rebelles pour saisir les autorités compétentes de leur situation embarrassante du fait du choix de leur partenaire Page 27 texte 3 : Un homme sur trois a un salaire inférieur à celui de sa femme. Dans 67 pour cent des couples, l’homme continue de dominer financièrement. « Il y a toujours un fossé entre le discours et le passage à l’acte », observe le sociologue Jean- Claude Kaufmann. Beaucoup d’hommes supportent encore mal l’idée de gagner moins que leur femme, a fortiori d’en dépendre. « En usurpant un avantage financier, précise l’historien André Rauch, auteur de l’Identité masculine à l’ombre des femmes (Hachette), non seulement elle le prive de son rôle protecteur et l’affecte dans son identité masculine, mais elle le discrédite vis-à-vis des ses pairs. » Aux yeux de beaucoup, l’argent reste majoritairement associé au pouvoir, et le pouvoir, à l’homme (…). « Un homme dépassé par la condition de sa femme aura l’impression de perdre son identité masculine et ses compétences sexuelles », déplore le sociologue Serge Chaumier (…). Nicolas a quitté son job de consultant pour créer sa PME. « Pour pouvoir développer son activité, il est obligé de réinvestir tout ce qu’il gagne dans la société », explique sa compagne, Sophie qui occupe un poste important dans l’administration. « Personnellement, ça ne me pose aucun problème. Ce qui importe, c’est que Nicolas s’épanouisse professionnellement. Mais mes parents s’imaginaient que j’allais épouser un polytechnicien ou un énarque … ». A les entendre, le problème vient toujours du regard des autres. Peu de ces couples différents acceptent de témoigner à visage découvert, Pourtant, les revenus ne sont Idée 1 : XXX pas le seul indicateur d’une réussite sociale ou personnelle (…) Paradoxalement, ce sont peut-être les femmes qui, dans ces nouveau couples, attachent le plus d’importance) à l’argent, gage de leur indépendance. Une enquête réalisée en 2002 par la caisse d’épargne démontre que, pour elles, l’exercice d’un métier rime, dans soixante pour cent des cas, avec l’indépendance. Dans la loi, l’autonomie financière des femmes, il est vrai, est une conquête récente. « Les hommes élevés sur le modèle patriarcal vivent généralement moins bien le différentiel de salaire que ceux qui sont imprégnés du discours d’égalité des sexes, explique Serge Chaumier. Tout dépend surtout du contrat que le couple passe au départ. » Sur ce sujet, Mercedes Erra, présidente d’Euro-RSCG, peut savourer sa chance, son compagnon, Jean-Paul Valz, est entièrement acquis à cause des femmes. « Jamais je n’ai regardé une femme de tête comme une bête curieuse. Pour moi, les femmes ont autant le droit de réussir que les hommes » Jean-Paul ne se contente pas de beaux discours. En 1995, il a décidé d’arrêter de travailler pour s’occuper de la maison, de ses cinq fistons … Et de sa superwoman. « Je ne me suis pas sacrifié, tient-il à préciser. J’ai vraiment eu la vie que je voulais. Pour moi, la famille vaut plus que tout le reste ». Un point de vue partagé par la grande majorité des Français, A une époque ou les couples sont devenus moins pérennes, 72 % des femmes et 63 % des hommes continent de considérer la famille comme une valeur centrale uploads/Geographie/ production-ecrite.pdf

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