Nom et prénom : chouki Zineb Option : TC Groupe : A Recherche du Développement

Nom et prénom : chouki Zineb Option : TC Groupe : A Recherche du Développement durable : Vocabulaire : La couche d’ozone : - D’abord, l'ozone est un gaz instable composé de molécules à trois atomes d'oxygène qui tendent à se décomposer en molécules à deux atomes d'oxygène, que nous respirons. L'ozone existe cependant dans la stratosphère parce que le rayonnement ultraviolet (dont nous sommes protégés par la couche d'ozone) crée de l'ozone en dissociant l'oxygène biatomique. Cet ozone retourne par la suite spontanément à sa configuration plus stable à deux atomes. Mais, à l'intérieur de ce cycle, apparaît une couche d'ozone résultante. Ce qui est d'une importance cruciale pour notre compréhension du phénomène, c'est le fait que la couche d'ozone agit comme un écran, même quand la concentration d'ozone n'est que de l'ordre d'une molécule sur 100 000. Autrement dit, la concentration d'ozone est si faible que les activités humaines sont capables de l'appauvrir. - La couche d’ozone se trouve dans la partie supérieure de la stratosphère. Cette couche se trouve entre 20 et 50 km d’altitude. Elle absorbe la plupart des rayonnements ultraviolets en provenance du soleil. Dans cette couche les rayons ultraviolets (UV) issus du spectre solaire viennent exciter les molécules de dioxygène (O2) qui en se combinant avec un atome d’oxygène (O), forment de l’ozone (O3) en grande quantité. Indispensable à la vie sur Terre, la couche d’O3 agit comme un filtre naturel. Trou de la couche d’ozone : - Depuis plus d'une dizaine d'années, ces cycles naturels de l'ozone sont altérés dans le sens d'une diminution progressive de la concentration d’ozone dans la stratosphère. - Cette destruction est due a l’émission de composes chimiques artificiels qui peuvent atteindre la stratosphère. Heureusement, dans la troposphère, la plupart de ces substances sont détruits ou renvoyées au sol par les pluies. Parmi les coupables potentiels qui échappent a ces mécanismes, les chlorofluorocarbones, encore appels CFC ou fréons, sont en première ligne. Leur durée de la vie varie de 50 à 250 ans. Le mécanisme de destruction de l’ozone par ces substances est analogue, mais beaucoup plus puissant que celui de l'eau ou de l'hémioxyde d'azote. C’est de la que réussite vraisemblablement le " trou d'ozone" Gaz à l’effet de serre (GES) : - L’effet de serre est un phénomène qui intervient de façon naturelle dans l’atmosphère de la Terre, du fait de la présence, à des concentrations relativement faibles, de gaz comme le dioxyde de carbone, la vapeur d’eau et le méthane. - Les deux principaux gaz responsables de l'effet de serre sont la vapeur d'eau (H20) et le gaz carbonique (CO2). - Les principaux autres gaz à effet de serre « naturels » sont le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) et l'ozone (O3). Leur présence est bénéfique car, sans eux, la température à la surface de la Terre ne dépasserait pas les - 18 ° C. Biodiversité : - La biodiversité est devenue un enjeu majeur des relations internationales. - La Convention sur la diversité biologique définit la diversité biologique comme étant la « variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres systèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes ». Un langage quelque peu ésotérique qui mérite d’être explicité… - Le terme « biodiversité », contraction de « diversité biologique », a été introduit au milieu des années 1980 par des naturalistes s’inquiétant de la destruction rapide des milieux naturels et des forêts humides tropicales en particulier. Ils ont été entendus, en apparence, puisqu’une convention internationale sur la diversité biologique a été discutée et signée par de nombreux États en 1992, dans le cadre de la conférence sur le développement durable de Rio de Janeiro. Ce terme qui n’a pas plus de 20 ans a donc connu, il faut le reconnaître, un succès fabuleux puisqu’il fait maintenant partie du langage populaire, au même titre d’ailleurs que le développement durable. Comme d’autres expressions, on l’utilise à tout propos, sans que son contenu en ait été bien défini. Et pour cause : la biodiversité c’est un peu l’auberge espagnole dans laquelle se mêlent différents courants de pensée. En outre, elle constitue un enjeu économique et un enjeu de pouvoir, dans un grand jeu d’acteurs où se retrouvent à la même table scientifiques et politiques, industriels et citoyens. - La biodiversité est par excellence le domaine des représentations de la nature que nous avons, les uns et les autres. Ces représentations sont le fruit de notre culture et de nos expériences. - Ce terme désigne l'intégralité de tous les organismes vivants de la terre. Ceci inclut la variabilité génétique à l'intérieur des espèces et de leurs populations, la variabilité des espèces et de leurs formes de vie, la diversité des complexes d'espèces associées et de leurs interactions, et celle des processus écologiques qu'ils influencent ou dont ils sont les acteurs (dite diversité éco systémique). Ecosystème : - Une Odum (1958) définit l'écosystème comme « entité ou unité naturelle qui inclut les parties vivantes et non vivantes pour produire un système stable dans lequel les échanges entre les deux parties s'inscrivent dans des cheminements circulaires ». - Un écosystème désigne un ensemble d’acteurs entretenant des relations de coopétition » (Koenig, 2012, p. 210) qui décident de former « une communauté stratégique d’intérêts ou de valeurs structurée en réseau autour d’un leader », celui-ci étant capable de « faire partager sa conception commerciale ou son standard technologique » (Torres-Blay, 2000, cité par Pellegrin-Boucher et Gueguen, 2005, p. 110). - La notion d'écosystème est apparue très récemment dans l'histoire puisque l'on doit à l'écologue britannique Tansley la première utilisation de ce mot en 1935. Il définit ce concept comme « un ensemble construit par les relations qu'entretiennent les espèces vivantes et l'habitat physique qui leur permet de se développer. » Il insiste en outre sur le caractère mouvant de cet ensemble : « Il dépend de facteurs exogènes ou externes comme la température, l'ensoleillement, l'humidité, etc., et de facteurs internes comme la taille des populations d'êtres vivants qui l'occupent. L'écosystème se modifie donc en fonction de ces facteurs. » [DUR 99, p. 488] - En écologie, un écosystème désigne l'ensemble formé par une association ou communauté d'êtres vivants (ou biocénose), et son environnement géologique, pédologique et atmosphérique le biotope). Les éléments constituant un écosystème développent un réseau d'inter- dépendances permettant le maintien et le développement de la vie. Arctique : - La définition astronomique des régions polaires est simple: c'est la zone qui se situe au nord du cercle polaire, soit à 66 degrés et 34 minutes de latitude. Le cercle polaire est parallèle à l'équateur et représente la limite au-delà de laquelle on compte au moins un jour pendant lequel le soleil ne se couche pas en été (et donc ne se lève pas en hiver). On ne verra le soleil que le 21 juin sur le cercle polaire, mais du 21 mars au 21 septembre au pôle. Pour un astronome, les régions polaires sont les endroits d'où on peut voir le soleil de minuit au moins une fois an. - Les banquises polaires, arctique comme antarctique, évoluent naturellement de manière saisonnière: elles fondent en été et se reconstituent en hiver. Dans l'Arctique, la super- ficie moyenne de la banquise en hiver était d'environ 15 millions de km2; en été, la fonte la réduisait à environ 6,74 millions de km? (moyenne sur la période 1979- 2000), avec bien entendu des variations interannuelles (figure 1.1). Antarctique : - L'Antarctique est un des continents de la Terre. Il est principalement recouvert de glace appelée inlandsis. C'est le continent le plus froid et en conséquence, il accueille une faune et une flore peu abondante. - L'Antarctique est un continent qui se situe au pôle Sud. Sa superficie est d'environ 14 millions de kilomètres carrés en comptant les prolongements de glace qui flottent sur l'océan, les iceshelves ce qui en fait le quatrième continent. Il est entouré par l'océan Austral. uploads/Geographie/ recherche-du-developpement-durable-vocabulaire.pdf

  • 30
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager