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SOMMAIRE SOMMAIRE……………………………………………………………………………………………………………………………… …………i DEDICACE……………………………………………………………………………………………………………………………… …………..ii REMERCIEMENTS…………………………………………………………………………………………………………………… …………iii LISTES DES SIGLES ET ABREVIATIONS…………………………………………………………………………………………........iv RESUME………………………………………………………………………………………………………………………………… …………..v ABSTRACT……………………………………………………………………………………………………………………………… ………….vi INTRODUCTION GENERALE PARTIE I : LE RISQUE DE CREDIT, PRESENTATION DU CONCEPT CHAPITRE I : HISTORIQUE ET EVOLUTION DU RISQUE DE CREDIT SECTION 1 : HISTORIQUE SECTION 2 : EVOLUTION DE LA GESTION DU RISQUE DE CREDIT CHAPITRE II : ENJEUX ET PERSPECTIVE DE L’ETUDE DU RISQUE DE CREDIT SECTION 1 : ENJEUX SECTION 2 : PERSPECTIVE PARTIE II : GESTION DU RISQUE DE CREDIT ; CAS D’ACEP CHAPITRE III : PRESENTATION D’ACEP ET COMPOSANTES DE RISQUE DE CREDIT SECTION 1 : PRESENTATION D’ACEP SECTION 2 : CONDITIONS D’OCTROI DE CREDIT A ACEP ETCOMPOSANTE DU RISQUE DE CREDIT CHAPITRE IV : GESTION DU RISQUE DE CREDIT SECTION 1 : ANALYDE DU RISQUE SECTION 2 : ETUDE DE CAS ET APPLICATION DE RISQUE DE CREDIT A ACEP DEDICACE C’est à toi, ma mère: MBALLA CELESTINE trop tôt rappelée à Dieu que je dédie cette modeste oeuvre. Sans toi rien n’aurait été possible. Du séjour que le Seigneur t’a réservé, continue de bénir ton fils, pour qui, sur terre, tu as consenti tant de sacrifices. Tu demeureras toujours pour moi cette femme exceptionnelle dont la remarquable intelligence était admirablement secondée par ton cœur maternel Merci Maman! Que Dieu lui-même dans son amour infini soit ta récompense REMERCIEMENTS La réalisation de ce mémoire de fin d’études n’aurait pu aboutir sans une réelle collaboration et un échange d’idées entre tous ceux qui y ont participe ; nous tenons donc a les remercier. Tout d’abord nous tenons a remercier notre encadreur Dr Miamo pour sa disponibilité, ses observations et ses critiques constructives ainsi que sa simplicité qui ont permis la rédaction de ce mémoire. Nous adressons ensuite un merci collectif a l’ensemble de la communauté académique de l’Ecole supérieure de Commerce et de Gestion des Entreprises Sup de Co de Yaoundé, personnel enseignant et administratif pour leur contribution tout au long de notre formation académique. Nos remerciements vont également a l’endroit de toute l’équipe d’ACEP Cameroun pour l’expérience enrichissante qu’elle a rendu possible et la disponibilité dont elle a fait part a notre endroit tout au long de notre séjour au sein de cette illustre structure en particulier notre parrain monsieur Fadjeu chef de région du département de crédit pour tous ses conseils précieux et sa disponibilité. Nous tenons également a remercier notre famille qui nous a mis dans des conditions idoines, nos amis et connaissances qui de près ou de loin ont contribué a la réalisation de ce mémoire LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS EMF : établissement de micro finance CEMAC : communauté économique et monétaire des états de l’Afrique centrale BEAC : banque des Etats de l’Afrique centrale LISTE DES TABLEAUX ET GRAPHIQUES I-TABLEAUX Tableau 1 : le risque le plus important Tableau 2 : connaissance risque crédit par la clientèle II-GRAPHIQUES Graphique 1 : l’approche du risque Graphique 2 : la gestion du risque de crédit Graphique 3 : processus de gestion du risque de crédit Graphique 4 : le risque le plus important Graphique 5 : connaissance risque de crédit par la clientèle RESUME Dans l’industrie bancaire, à l’aube du XXIe siècle, le risque majeur demeure toujours et encore le risque de crédit. Il est important de garder à l’esprit que c’est l’absence de diversification et pire encore, l’illusion de la diversification, qui est à l’origine des problèmes éprouvés par les banques. Un certain nombre de mesures devraient permettre à l’avenir de minimiser l’impact des crises financières sur la stabilité des banques et d’éviter tout risque systémique, c’est-à-dire le risque de faillites en cascade : tout d’abord, la réforme de la réglementation du capital qui fait actuellement l’objet d’une discussion entre les banques, les régulateurs et le Comité de Bâle; ensuite, les techniques modernes de mesure des risques comme l’approche « valeur à risque » (VaR) et les modèles de gestion du risque de crédit; à diversité du risque est un concept de base dans l’activité des établissements de crédit ABSTRACT INTRODUCTION GENERALE La mutation fulgurante du système financier mondial amène de plus en plus les institutions et autorités œuvrant dans ce secteur d’activité a mettre l’accent sur les risques en générale et sur les risques de crédit en particulier faisant l’objet de notre étude. D’une façon générale, le risque de crédit est le risque qu’un emprunteur ne rembourse pas tout ou une partie de son crédit aux échéances prévues par le contrat signe entre lui et l’organisme prêteur. Classiquement, le risque de crédit correspond à une situation on où le débiteur se trouve incapable d’honorer ses engagements. Il est également possible de considérer un cas intermédiaire où la situation financière de l’emprunteur se dégrade (augmentant la probabilité d’une crise de trésorerie), voire lorsque la valeur de l’entreprise baisse fortement. Problématique Au vu des divers risque présentés, ii est claire que dans notre contexte camerounais l’activité des établissements de crédit fait face plusieurs aléas. Des lors dans quelles mesures les EMF gèrent les risques associes aux clients ? Objectif de la recherche A la fin de cette étude, nous devrions avoir pu apporter quelque de plus en ce qui concerne la notion de risque de crédit ainsi que ses caractéristiques. En outre, desceller les zones d’ombre sur la gestion du risque de crédit a ACEP afin de mettre en place un système pour pouvoir l’améliorer et enfin nous devrions également être capable de proposer aux EMF notamment a ACEP des solutions permettant la réduction du risque de crédit . Méthodologie de l’étude D’entrée de jeu, la méthodologie que nous allons adapter tout au long de notre travail s’articulera d’abord autour d’une étude théorique qui reprendra la synthèse de la littérature économique et financière du concept de risque de crédit, nous mettrons en relief une analyse pratique sur un modèle qui permettra la maitrise du risque applique aux produits d’ACEP. Méthodiquement, nous exploiteront le questionnaire comme outil de collecte des données et a l’aide d’outil statistique nous traiterons ces données. Intérêt de la recherche L’intérêt pour nous d’étudier le concept de risque de crédit est a plusieurs niveaux : - Sur le plan académique ; il s’agira pour nous de bâtir une argumentation solide pour pouvoir permettre aux promotions futures d’avoir des informations nécessaires en terme de gestion du risque de crédit - Sur le plan professionnel ; au terme de cette recherche, apporter au secteur de la micro finance des solutions adaptées a l’environnement dans lequel nous nous trouvons en ce qui concerne le risque de crédit au Cameroun - Sur le plan personnel : le souhait de vouloir apporter notre pierre a l’édifice dans la construction de notre pays en apportant des solutions aux entreprises et pouvant égalementêtre utile dans l’orientation de notre future carrière. De plus clôturer la fin de notre second cycle académique par la rédaction d’un mémoire ainsi que la présentation et la validation de notre travail de recherche. Plan et structure du travail Notre travail intitule le risque de crédit dans les EMF : cas d’ACEP sera fait en deux grandes parties étalées sur quatre chapitres. La première partie (phase théorique ou revue de la littérature) portera sur la présentation du concept risque de crédit subdivisée en deux chapitres, le premier parlera de l’historique et l’évolution, le second des enjeux et perspectives ; la seconde partie (phase empirique) consistera en une analyse beaucoup plus critique d’une part au vue de la conception faite par le risque de crédit par le grand public dans notre contexte camerounais et d’autre part plus pratique en terme d’évaluation et de maitrise du risque de crédit tout en présentant la structure qui nous a accueilli. Elle se fera en deux chapitres PARTIE I : PRESENTATION DU CONCEPT RISQUE DE CREDIT L’activité bancaire demeure fortement réglementée du fait du rôle particulier joue par les établissements financiers dans l’´economie. Deux raisons principales sont `a l’origine du contrôle de l’activité bancaire. D’une part, les liens ´etroits qu’entretiennent les établissements financiers sont `a l’origine d’un risquesystemique : la faillite d’une banque peut entrainer, par effet de contamination, celle d’autres ´etablissements. D’autre part, l’Etat demeure le principal garant des d´epˆots bancaires : l’activit´e de contrˆole permet de maintenir la confiance dans le système bancaire et d’en assurer la perennite. Les premi`eres dispositions reglementaires concernant l’activite de credit des banques ont ´ete ´emisespar le Comit´e de Bˆale. Elles r ´epondent `a une logique d’ad´équation des capitaux propres des banques aux risques qu’elles prennent : les fonds propres doivent ˆetre suffisants pour couvrir les pertes que les banques sont susceptibles d’enregistrer. L’Accord de Bâle (15 juillet 1988) fixe le cadre réglementaire de l’activite de crédit de l’ensemble des banques des pays signataires. Le ratio Cooke impose notamment un niveau de fonds propres minimal : `a chaque actif détenu par la banque est associé´ un coefficient de pondération (0%, 20%, 50% ou 100%) en fonction du risque associe ; le capital total destiné a couvrir le risque doit atteindre au moins 8% de l’ensemble des actifs ainsi pond´er´es. La principale critique formulée à uploads/Geographie/ som-maire 2 .pdf

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