copyright ADUMMO & UMMO-SCIENCES 16/01/18 Site UMMO-SCIENCES Documents essentie
copyright ADUMMO & UMMO-SCIENCES 16/01/18 Site UMMO-SCIENCES Documents essentiels (FR) Volume 4 D112 – D117 – D176 – D357 – D539 – D540 – D541 – D731 – D791 – D792 © ummo-sciences et adummo Vente interdite. Le simple remboursement des coûts d'impression ou de photocopie est autorisé. http://www.ummo-sciences.org D 112 T1- 51/56 AJH corr: 09/05/04 II-II-146/156 Titre de la lettre:Pourquoi les Ummites avaient quitté la Terre. Analyses et conseils pour l'avenir. Date :08 janvier 1974 Destinataires :Monsieur Aguirre Notes :(1 lettre - 6 pages ) UMMOAELEWEE Nombre de copies ; 1 Langue : ESPAGNOL Adressée à JUAN AGUIRRE CEBERIO Espagne Date : 8 janvier 1974 Monsieur, Je désire me présenter à vous, car c'est mon premier contact avec votre personne : mon nom patronymique est en expression phonique approximative DEEII QUATRE VINGT DIX -HUIT ENGENDRÉ PAR DEEII QUATRE VINGT DIX-SEPT. Ce n'est pas la première fois que je foule cet astre solidifié de la TERRE et, avant ce retour, j'ai vécu dans votre gentille nation avec vos compatriotes, durant de longs et agréables mois consacrés, dans le pays Espagne et le pays Portugal, au processus d'étude commandé par mes supérieurs. C'est pourquoi, poussé par de beaux et émouvants souvenirs , permettez moi, en violant les usages habituels qui régissent votre milieu social en matière postale, de donner auparavant dans ces paragraphes un respectueux et affectueux souvenir à vos compatriotes que vous connaissez suivant l'information que j'en ai. Ce sont : Monsieur FERNANDO SESMA MANZANO, dont nous n'oublierons pas l'hospitalité spirituelle et la bonté malgré ses réserves postérieures envers nous, réserves éclairées par des schémas plus logiques que ceux soutenus par une attitude de crédulité émotionnelle. Monsieur DIONISIO GARRIDO BUENDIA, dont l'affection et le respect pour notre communauté nous a ému en ces jours où nous n'en finissions pas d'admettre que vous, êtres de la Terre, puissiez accepter notre témoignage seulement basé sur des affirmations exprimées par voie typographique. Ce frère a facilité ma difficile mission d'établir un noyau dans cette nation, ou microréseau qui puisse être capable de se transformer en réceptacle et conservatoire de nos documents. Pour cela, je vous prie Monsieur AGUIRRE CEBERIO, de lui faire parvenir mon salut chaleureux et ému. Faisaient partie, aux dates où j'étais sur Terre pour la dernière fois, de vos autres respectables frères: Monsieur ENRIQUE VILLAGRASA NOVOA, qui appuya, avec une claire vision du futur, la thèse de notre identité en collaborant à l'organisation du microréseau espagnol, entouré de ses très chers amis : Monsieur MARTINEZ ANDRES, Monsieur ANGEL DEL CAMPO, Monsieur BORRAS GABARRO, Monsieur FERNANDO VILLALBA et Monsieur FRANCISCO MEJORADA. Un salut ému pour la dame d'Espagne qui collabora le plus avec vous à cette période, ALICIA ARAUJO. Je désire aussi remettre mon message de respect à ceux de vos frères qui ont maintenu une attitude critique aiguë envers nous, attitude motivée par des schémas mentaux positifs dignes de respect, sachant équilibrer leur scepticisme avec une activité de recherche unie à un profond intérêt pour nos frères. C'est pourquoi je salue en particulier vos frères JUAN ANTONIO CEZON ALONSO, JOSE JORDAN PEÑA, FRANCO MUELA PEDRALA et VICENTE ORTUÑO BOIX. J'ai déjà transmis au moment voulu, à mes frères déplacés ici, mon agréable surprise quand on m'a informé que deux de vos frères avaient eu la gentillesse d'inclure une dédicace à mon nom dans un livre intitulé UN CAS PARFAIT. Faites parvenir de nouveau mon salut affable à MM. ANTONIO RIBERA JORDA et RAFAEL FARRIOLS CALVO. Je juge que son livre est un des rares spécimens bibliographiques qui traite de notre existence parmi vous sans violer le contrat de ne pas nous dénoncer explicitement. Pour l'attention exquise que 16/01/18 1 / 119 les auteurs mirent en ne nous évoquant pas clairement, ce qui aurait causé des troubles à mes frères expéditionnaires. Merci, mes amis. Je sais qu'après mon retour sur UMMO, beaucoup de vos frères perdirent tout intérêt pour nos frères et que d'autres, dont je connais les noms mais qui me sont inconnus, se polariserent avec une curiosité logique sur l'analyse de notre séjour parmi les hommes de la TERRE. A eux mon salut, puisque je vais vivre parmi eux quelques mois de plus dans la zone GRANDE-BRETAGNE, ESPAGNE-PORTUGAL, FRANCE-MONACO, IRLANDE. Ce n'est pas une tâche facile de m'acclimater de nouveau à vos coutumes si différentes des nôtres, mais au moins cela me réconforte de savoir que vos frères, qui un jour furent mes amis, continueront à tendre vers nous le lien désintéressé de l'alliance spirituelle, les deux parties conservant leur autonomie et leur indépendance idéologiques. Ces années passées vous auront peut-être convaincu que le contact avec vous n'obéissait pas à des mobiles prosélytistes ou à quelque autre type de pression sur vos encéphales en modifiant vos propres idées philosophiques, religieuses, éthiques et politiques, même si elles les ont nourri quelque peu. Si malgré tout, au travers de nos écrits , vos structures mentales se modifièrent, cela est la conséquence de tout un processus d'information et, en cela de tels changements ne pourront s'évaluer comme négatifs. Ceux qui ont pensé que vous pourriez vous transformer en membres d'une organisation sectaire ou en coreligionnaires d'une nouvelle doctrine, se trompèrent ostensiblement, puisqu'il n'a jamais été dans l'intention de mes frères, ni quand j'étais sur la TERRE antérieurement, ni dans celle de ceux qui nous succédèrent ensuite, de vous convertir en agents de notre cause laquelle n'a jamais été plus qu'une opération d'étude de la biosphère et de la sociosphère de la TERRE. ! ----------------------------------------------- ! Un long processus sociologique s'est déroulé dans le réseau humain de la Terre depuis que mes frères, auxquels je suis soumis, m'ordonnèrent l'abandon de votre astre froid. Et vous avez sans doute accusé, dans vos organismes et mémoire, les avatars de ce sociodynamisme. Mes frères explorateurs qui restèrent ici durent aussi s'adapter aux circonstances, en modifiant les critères dans la planification de nos études. Notre départ de la planète Terre fut inévitable. Les marges de sécurité imposées par nos supérieurs, marges que d'autre part nous évaluons au moyen de l'assistance en une fonction de sécurité, par de multiples paramètres que nous quantifions au moyen de processus complexes de calcul, (ces marges, donc,) furent atteintes et même dépassées dans les mois critiques que vous avez traversé à la fin de l'année 1973. Nous avions violé, pour une fois, notre régle de ne pas vous apporter des preuves de notre identité, quand mes frères vous ont prévenu d'avance qu'ils partaient. Symptôme, pour ceux qui nous connaissaient, qu'une guerre aux conséquences imprévisibles était proche avec un fort degré de probabilité. Ils décidèrent de violer la régle d'une manière encore plus grave quand, peu de jours avant, on vous communiqua que les plus grandes puissances préparaient une guerre nucléaire dans le cas où la partie la plus faible, ou la plus raisonnable, n'acceptait pas la pression que supposait une mobilisation logistique des armes dissuasives d'attaque atomique. Vous-mêmes avez pu vous rendre compte que notre information était tristement véridique. On me dit que mes frères avaient soutenu un sérieux débat sur le problème suscité par la situation. Ne pas vous aviser du péril et omettre l'aide que nous pouvions vous offrir modestement en vous donnant l'opportunité de vous réfugier dans nos bases souterraines aurait été une option cruelle et injuste pour les quelques amis répartis sur la planète Terre, même en considérant que beaucoup n'auraient pas pu en bénéficier, aussi bien par l'impossibilité de se déplacer jusqu'à elles que par une attitude logique d'inhibition, induite par la méfiance, la peur, l'imprévision ou des motifs intimes de caractère moral. En contrepartie, révéler le secret jalousement gardé par quelques chancelleries entraînait de sérieux risques pour vous si une inévitable imprudence diffusait ces données et qu'elles arrivent jusqu'à quelque ambassade ou organisme gouvernemental qui aurait sans doute été surprise au plus haut point en constatant comment un secret d'État arrivait à des niveaux habituellement incapables d'accéder à des données qualifiées de" très secrètes ". Ce n'est pas un secret pour vous que des moyens de pression existent entre les êtres de la Terre pour obtenir des profanes l'information sur leurs sources, ainsi que pour éliminer physiquement ceux qui la possèdent. 16/01/18 2 / 119 Mais c'est que, pour mes frères, vous révéler ceci supposait vous donner une preuve très solide de notre existence comme groupe capable de traiter une information, à l'encontre de nos efforts réitérés pour rester dans l'ombre. Nous avons cependant détruit une de nos bases stratégiques utilisée lors de notre séjour sur Terre, base qui nous permettait de communiquer avec vous sans que cela ne constitue une preuve certaine de notre origine. Pour cela, amis d'Espagne, nous osons vous demander quelque chose en échange de la bonne volonté que nous vous avions porté à cette heure amère. Heure amère qui heureusement ne se changea pas en tragique réalité. Efforcez-vous "d'oublier" que nous vous avons donné ces preuves. Exprimé autrement: ne les invoquez jamais pour tenter de démontrer aux sceptiques que nous ne sommes pas ce qu'ils croient; une organisation de farceurs ou uploads/Geographie/ volume-4.pdf
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- Publié le Sep 14, 2022
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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