Le Secret du 3e millénaire. La Bible a-t-elle été écrite par des hommes et non

Le Secret du 3e millénaire. La Bible a-t-elle été écrite par des hommes et non par Dieu ? Le pharaon Ptolémée Philadelphe : l’auteur de l’Ancien Testament… L’égyptologie a-t-elle fait fausse route, a-t-elle trompé l’humanité? La Bible est-elle un texte entièrement crypté de l’ancienne Égypte comme l’avait découvert Jean-François Champollion ? Les Enfants d’Israël de l’Ancien Testament sont-ils les héritiers de la civilisation d’Osiris, dite des pharaons, sont-ils les vrais anciens Égyptiens dissimulés derrière les Hébreux de la Bible ? Sont-ils les bâtisseurs des pyramides, des temples, de la ville sainte d’Héliopolis? Après plus de vingt années de recherches et plusieurs ouvrages polémiques publiés, Roger Sabbah fait des découvertes stupéfiantes. Au début du 20e siècle, les archéologues ont découvert à Éléphantine au sud de l’Égypte, des débris de poteries (ostraca) où était recopiée la correspondance des Juifs et des Égyptiens des 6e et 5e siècles av. J.-C. Les traducteurs y ont constaté que les Juifs pratiquaient le culte d’Osiris (cf. Documents Araméens d’Égypte, p. 347). Pourquoi une découverte aussi considérable a-t-elle été enterrée, frappée d’omerta ? Roger Sabbah, publie Le Secret du 3e Millénaire. Il démontre avec preuves historiques, linguistiques, phonétiques, que LE HIÉROGLYPHE D’OSIRIS ÉTAIT LE HIÉROGLYPHE D’ISRAËL, il se lisait ISRA-DIEU (Dieu = ËL). Les anciens Égyptiens, les bâtisseurs de pyramides étaient avant tout les Fils d’Osiris/Israël, les ancêtres des Juifs et des futurs judéo- chrétiens. Le nom Israël serait, selon l’égyptologue Sir Flinders Pietri gravé sur la stèle du pharaon Merenptah, petit-fils de Ramsès II. Cette soi-disant découverte scientifique est fondée sur une énorme erreur de lecture des hiéroglyphes, une imposture orchestrée avec l’Église. Sir Flinders Pietri avait d’ailleurs déclaré : « Les révérends seront-ils satisfaits ?... Cette stèle sera plus connue dans le monde que tout ce que j’ai découvert » (cf. Wikipedia). Roger Sabbah prouve par la lecture phonétique des hiéroglyphes, que sur la stèle de Mernptah exposée au musée du Caire, on ne lit pas « Israël est anéanti », mais «ASSYRYARI est anéanti », nom à l’origine de l’ancienne Assyrie. Et cela change tout. Faux nom d’Israël, stèle de Merenptah (musée du Caire). Toutankhamon = Osiris Nom phonétique d’Osiris : IS-RÂ-DIEU = Israël (Egyptian hiéroglyphic dictionary. Wallis Budge, tome 1, p 83 a.) Toutan khamon = Isra-EL Car la terre dite des pharaons portait historiquement le nom d’Osiris, qui se lit Israël. Jamais elle n’a porté le nom « Égypte » qui est le nom d’un dieu grec. Roger Sabbah prouve par les écrits secrets de la tradition juive qu’Israël est le nom du dieu de la vallée du Nil. Israël possède les mêmes attributs divins et spirituels qu’Osiris. D’après l’égyptologue Christiane Desroches Noblecourt, la religion de l’ancienne Égypte n’a jamais été esclavagiste. S’appuyant sur les conclusions des égyptologues les plus réputés, Roger Sabbah confirme que la religion des pharaons était un judaïsme antique, universel, ayant Osiris pour dieu unique, profondément silencieux, avec 42 commandements, la circoncision, l’équivalent de la Bar-Mitvah et de la prière du Kaddish des morts (cf. Jan Assmann, Desroches Noblecourt), des nourritures prescrites et interdites, des jours de repos, de fêtes, de jeûnes, etc. (Herman, Ranke). Les noms « pharaon » et « Égypte » désignent en réalité deux dieux grecs fils de Zeus, Pharos et Ægyptos. Depuis Champollion, le mot « pharaon » s’écrit en hiéroglyphes SA-RÂ (fils de Râ) ou YAHOUDS (l’héritier). Les Égyptiens et leurs rois sont avant tout des YODS, des roseaux sortis du Nil. Leur Dieu est un YOD originel, le roseau primordial émergé des eaux célestes. Les noms de Dieu, Horus, Osiris, Isis, Nephtys, Anubis, etc., ont été «grécisés» en plusieurs dieux, alors que les textes affirment qu’ils sont les émanations du Corps de Dieu, l’Unique. L’égyptologie a été piégée par la grille de lecture grecque, qui éloigne la vérité historique restituée par les hiéroglyphes. Comment les Juifs (YOD, Youdaïos), prêtres d’Osiris, sont-ils devenus dans la Bible des étrangers en Égypte, les esclaves hébreux chassés à travers la mer Rouge, tout en conservant une partie des traditions dites égyptiennes? Les écrits de la Cabale (le Zohar), le Talmud, Rachi, les commentaires rabbiniques affirment qu’au 3e siècle avant notre ère, le pharaon grec Ptolémée Philadelphe est intervenu pour modifier le texte de la Torah. La Lettre d’Aristée à Philocrate (3e siècle av. J.-C.) rapporte que son père Ptolémée Sôter avait mis les Juifs en esclavage. Entretemps, Philadelphe ordonne à son armée de recueillir la totalité des livres du monde (cf. tradition judéo-chrétienne). Le roi détruira des ouvrages par milliers et ne restituera que des copies falsifiées, « grécisées », des historiens comme le prouve l’Histoire II d’Hérodote. Dans cet ouvrage, § 42, Hérodote prétendra avoir vu la statue de Zeus dans le temple de Zeus à Thèbes, alors qu’il s’agit du temple d’Amon ! L’histoire de la vallée du Nil et de ses rois sera usurpée, contrefaite, transformée en histoire des « pharaons d’Égypte ». L’objectif de Ptolémée était d’inverser l’Histoire, inventer les pharaons et les anciens Égyptiens afin de faire des dieux grecs les Pères de la civilisation d’Ægyptos. La dynastie Lagide des Ptolémées pouvait revendiquer la vallée du Nil comme la terre ancestrale des Grecs. Ptolémée fera ainsi disparaître le passé des Juifs «Youdaïos» et des rois SA-RÂ. L’analyse des documents judéo-araméens d’Égypte et de la Lettre d’Aristée établit que le judaïsme antique était radicalement différent du judaïsme actuel. Il est dit que les Juifs sont les HOMMES DE DIEU pour les prêtres égyptiens… Avec le concours de 72 savants juifs emprisonnés dans la tour de Pharos à Alexandrie, PTOLÉMÉE PHILADELPHE VA DIRIGER L’ÉCRITURE DE L’ANCIEN TESTAMENT. Le roi a inventé « le dieu politique de la sortie d’Égypte », le Dieu qui parle dans la Bible... Le texte biblique va ainsi obscurcir la mémoire collective des Juifs, qui étaient jusqu’alors les prêtres d’Héliopolis. La libération des Juifs de l’esclavage par Ptolémée sera le prétexte pour leur faire accepter le miracle de la Septante, la Bible grecque traduite sous la dictée de Dieu, « l’invisible souffleur » aux 72 savants en 72 jours (Lettre d’Aristée). L’auteur prouve par de nombreux exemples de la Bible et par les textes de la Cabale, qu’il ne s’agit pas d’une traduction comme cela a été enseigné, mais de la contrefaçon d’un autre texte, une « Torah perdue » qui n’est autre que le « Livre de la Résurrection des morts vers la lumière divine » des anciens Égyptiens (faussement nommé Livre des Morts). La Septante grecque a été vénérée par les Juifs durant quatre siècles. Elle n’en est pas moins une création imposée par Ptolémée. Roger Sabbah montre par la Cabale comment les 72 scribes de Ptolémée ont crypté la vérité historique dans la Septante, comme dans le texte hébraïque. Nos Bibles peuvent être décodées à la lumière des écrits de la Cabale et des hiéroglyphes, comme l’avait souhaité Jean- François Champollion en réclamant la Critique Sacrée de la Bible (Grammaire Égyptienne, SOLIN 1997, page xix). Il est écrit dans la Septante, Exodos 1, 11, que les Enfants d’Israël ont bâti la ville de « On’ », la cité sainte des Pyramides (Héliopolis en grec). Ce court passage, trop révélateur, a disparu de nos Bibles actuelles et a même été effacé de la Torah hébraïque… Dans la Bible grecque, Joseph est vendu par ses frères pour 20 drachmes d’or. Abraham achète la tombe de Sarah pour 400 doubles drachmes... Mieux : les Enfants d’Israël paient le tribut à Dieu en drachmes via Moïse (Exodos 30, 13), et font offrande de la monnaie de Dieu : « LA SAINTE DRACHME DU SANCTUAIRE » (Exodos 30, 15). Or la drachme est la monnaie de l’époque grecque, frappée à l’effigie de Ptolémée... Ces passages trahissent le rôle capital de Ptolémée dans la rédaction de la Septante. Raison pour laquelle ils ont été méticuleusement modifiés dans nos Bibles. Et pour cause, la vérité historique devait disparaître de l’Ancien Testament. Ptolémée a exploité la crédulité des Juifs de l’époque, qui ont eu foi dans le miracle de la Septante, le Livre saint révélé par Dieu dans la tour de Pharos. Ainsi les Juifs, les futurs judéo-chrétiens, sont-ils devenus des étrangers en Égypte, venus de l’ancienne Mésopotamie. Ainsi perdront-ils leur terre ancestrale, la vallée du Nil. D’après la Cabale, les trois religions monothéistes ont rendu les hommes « esclaves d’Égypte », donc esclaves de Ptolémée, le dieu de la Bible… L’auteur décrypte et dénonce la plus gigantesque mystification de tous les temps. Sa conclusion est énorme : LA TERRE DES PHARAONS ETAIT LA TERRE D’ISRAËL, UNIVERSELLE... LE DIEU QUI PARLE DANS LA BIBLE SE NOMME PTOLÉMÉE PHILADELPHE... Roger Sabbah nous ouvre les portes d’une découverte qui bouleverse la conscience collective de l’humanité. Il est l’auteur de l’ouvrage Les Secrets de l’Exode, qualifié de « bouleversement pour notre civilisation » par le Figaro (Jean-Marie Tasset, 22 oct. 2000). Le Secret du 3e millénaire aux éditions Mystères & Découvertes CONTACT PRESSE : mysteresdecouvertes@yahoo.fr 06 16 48 09 58 AGENCE PRESS° STATION SYLVIA ABITBOL 17 A VENUE DE SEGUR 75007 PARIS TEL : 01 47 uploads/Histoire/ dp-press1-2.pdf

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  • Publié le Fev 03, 2022
  • Catégorie History / Histoire
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