L’objectif des travaux industriels : fournir la caractérisation de marché. ↗l’a

L’objectif des travaux industriels : fournir la caractérisation de marché. ↗l’augmentation ; ↘ la baisse ; D - demande ; O – offre ; CT – court terme ; LT- long terme Condition de base L’élasticité de la demande : c’est un concept, qui permet de mesurer la variation de la demande à la suite de la variation des prix. (la D↘ si les prix↗) ↘↗ Théoriquement, un bien de Giffen se définit par les conditions suivantes : 1. c'est un bien inférieur, 2. il n'existe pas de bien de substitution disponible, 3. il représente un pourcentage considérable du revenu de l'acheteur. C’est un bien de première nécessité. (ex. pain, lait) La demande inélastique – si le P↗, la D reste la même -1<e<0 Si P↗1% la D↘<1% Inélastique = faible élasticité Elasticité est faible si e<-1 : La demande est élastique si Si P↗1% la D↘>1% ex< Si P↗1% la D↘15% « La loi des élasticités faibles » ou la « loi de King » Quand on a un bien avec l’élasticité forte ; Si on veut ↗ la recette, il faut ↘ les prix. Ex. Si je P↘ de 1%, la D↗15%. Ici l’effet positive l’emport sur l’effet négative. Elasticité forte : P↘ , je continue a les vendre à un prix plus faible ; donc recette ↘ Comme les prix↘, j’attire les gens qui n’achetaient pas avant, donc l’effet positive. Elasticité de la demande faible : Si je P↘ de 1% ; la D va ↗de 0.5% Donc un effet négative sur la recette Je continue vendre les unités mais à un prix plus faible. L’effet positif est tout petit, et il ne compense pas l’effet négatif. Donc il faut augmenter les prix. Loi de King : j↗ les prix, je vends un peu moins, mais j’ai plus de recette. FAUT CONNAITRE la DEMANDE (la nature d’élasticité de la D) grâce à une étude de marche. A CT l’élasticité de la D est faible (les habitudes) à LT l’élasticité deviens plus forte (changements). EX. de la politique gouvernementale Dans les années 70’ on a mis en place les quotas laitier (qté fixé). On a imposé aux producteurs de ↘ leurs prod° du lait. La demande du lait est Faible (bien de première nécessité). Si l’O↘ pour une demande que est cst., alors les prix ↗ L’ajustement se fait par le prix. Un quota pour rassurer l’offre. L’élasticité de la demande et la substitue. 1. le facteur saisonnier (tourisme) 2. le taux de la croissance (tél. portables) 3. La position géographique (la demande est la même dans la zone rurale / urbaine) L’OFFRE Y1 = F1(K,L) Y2 = F2(K,L) Avec les mêmes K et L la production est pas la même. Y1 = L1 αK1 β α + β = 1 dY/Y = α* dK/K + (1- α)* dL/L dY/Y tx de croissance de la Prod° , dK/K tx du K, dL/L tx du travail Il y a aussi le résidu de Solow qui participe dans la croissance : c’est le A , PROGRES TECHNIQUE Y = ALαKβ • Les matières premières : la localisation, la proximité, la facilité d’approvisionnement • La durée de vie de produit • Le degré de syndicalisation Ex. Si je produis un bien important il y a des syndicats. Les salaires sont négociés. Donc pas concurrentiel. Et Offre<Dem Offre = offre de travail : Demande de travail Travail est un bien non particulier. Offre de travail est croissante. L’intersection de O et D = P* prix concurrentiel avec Q* d’équilibre. Pas de chômage, mais en réalité le prix de travail est négocié et fixé. (ex. ↗au prix VS) PAS DE SYNDICATS = PAS DE PATRONAT = PRIX VS Y=KaLb isoquant – toutes les combinaisons de K et de L avec le même niv. De Prod° B=wL+rK K= (B-wL)/r = B/r – wL/r K=f(L) droit d’isocoût Si L=0 , K=B/r K=O ; B/r=wL/r d’où B=wL et L=B/w ON MIN le coût s.c. de Production à l’optimum le droit de coût est une tangente de l’isoquant r= prix du K , w = prix du L ; On va introduire le budget, K=B/r et L=B/w B=wL+rK Ex. La combinaison du L et du K en dépensant le moins possible. J’ai une commande pour 10000 TMST = de combien de dois ↘ le K et ↗ le L pour avoir le même niveau de production (TMST = rapport des prix = w/r) MAX Y (la production) s.c. de coût Je maximise la production s.c. de budget, coût. La notion de l’économie d’échelle. Lorsqu’on a que des coûts variables dans l’entreprise : CV : ce qu’on a besoin, varie en prod° CF : ne varie pas en fonction de la quantité produite. A très LT on peut utiliser aux mieux, donc plus de CF à LT. Le CF c’est le réseau (ex. SNCF). Pour certaines le CF est trop important. Le rendement d’échelle permet de lier la ↗ de production consécutive à l↗ des facteurs de production. • Si l↗ de prod° est proportionnel : Rendement Constant • Si la prod° ↗ moins que les facteurs : Rdt décroissant. • Si la prod° ↗ plus que les facteurs : Rdt croissant. Avec un CF important : + on produit + la parte de CF dans chaque produit est faible. L’éco d’échelle conditionne l’offre : Croissant-monopole, décroissant ou contant = secteur concurrentiel Structure Le nombre d’acheteur et le nombre des vendeurs conditionnent la structure de marché. Beaucoup : Concurrence ; 1 vendeur : monopole, 1 acheteur : monopsone ; quelques grades : oligopole Les barrières à l’entrée – tous ce qui empêche à l’entrée. Ex. Licence, barrières institutionnels, lois, quotas, brevets On entend par barrières à l’entrée, l’ensemble des obstacles qu’un nouveau concurrent doit affronter pour pénétrer un marché donné. Ces obstacles sont multiples, on peut en citer : · Les obstacles tarifaires : c'est-à-dire l’ensemble des redevances qu’il faut payer pour être présent sur un marché. · Les obstacles non tarifaires : ce sont des contraintes réglementaires auxquelles, il faut faire face pour entrer à un marché. Par exemple les quotas, les licences, les normes de qualité … L’entreprise peut avoir des stratégies protectrices : Prix limite Capacité de production Cout de production Fixer le prix < CM P=Min(CM)-ξ Pour envoyer le message aux autres entreprises. En tant que menace = pas crédible Cas. ALCOA (condamné 80’) Pas de Prix limite Capacité de Prod° excédentaires Menace : Pas de place sur le marché Approche « Rising Rival Costs» Manipuler le coût de production. ALCOA (bauxites + électricité) pour produire AL L K CT Ent A 30% 70% 3% Ent B 80% 20% 8% Si ENT A↗ les salaires, le CT↗ de 3% Et le CT de l’entreprise B ↗ de 8% Conduite • Publicité Incitations à l'emploi (peut ou pas) • Recherche & Développement Politiques macroéconomiques (peut ou pas) • Fixation des prix (capable ou pas) • Investissements • Tactiques juridiques (ex. Microsoft : barrières à l’entrée) • Choix du produit • Entente (faire cartel ou pas) • Fusion, Contrats Performance Prix du bien, Efficience de la production, Efficience allocative, Equité, Qualité du produit, Progrès technique, Entente, Profits Un boule financière – la différence entre la valeur réelle et la valeur de la bourse. Politique gouvernementale • Réglementation (ex. système de plaques de TAXI => impact sur l’activité) • Politique antitrust • Barrières à l'entrée (imposer/supprimer) • Conduite taxes et subventions • Incitations à l'investissement • Publicité Incitations à l'emploi • Recherche & Développement Politiques macroéconomiques B) Les limites de l’économie industrielle traditionnelle • Au niveau théorique, l’accent est placé sur la description des structures du marché et sur leurs liens directs avec les performances réalisées. Le rôle des comportements est minimisé dans la mesure où les entreprises sont supposées poursuivre le même objectif (max. le profit) et de s’adapter plus ou moins passivement aux conditions de leur environnement industriel. • Soit S, C et P des vecteurs représentant des ensembles de structures de marché, de comportements et de performances. Le Comportement et les performances sont structurellement déterminés. UNE PHOTO de MARCHE Le caractère évolutif et le processus de la concurrence n’est pas pris en compte. Système statique • Au niveau empirique, l’approche traditionnelle est caractérisée par deux types d’étude : les études de cas et les études économétriques. • Les études de cas très nombreuses dans les années soixante ont apporté une connaissance approfondie de certaines industries et de certains marchés : les aspects qualitatifs ont permis d’éclairer la complexité de la réalité industrielle; les mesures quantitatives (degré de concentration, taux de profits,…) donnaient des indicateurs synthétiques simples de la situation observée. • Ces multiples études de cas n’ont cependant pas permis d’établir un schéma général susceptible d’extrapolation. • Après les années 60, les études économétriques ont tenter de dépasser cette limite en étudiant des liens statistiquement significatifs entre certaines mesures de performance (taux de profit,…) et un ensemble d’indicateurs de structures de marché (degré de concentration, …). Tester par exemple s’il existe une relation entre uploads/Industriel/ chapitre1-cours-d-x27-economie-industrielle.pdf

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