Page 1 sur 7 Sans titre 15/06/14 12:03 Luc Montagnier : ADN et électromagnétism

Page 1 sur 7 Sans titre 15/06/14 12:03 Luc Montagnier : ADN et électromagnétisme Luc Montagnier affirme avoir mis en évidence une nouvelle propriété de l’ADN : l’émission d’ondes électromagnétiques ! Dans un entretien à la revue Orbs, l’Autre planète, il explique que sa découverte pourrait bien être un moyen révolutionnaire de détection et de traitement des maladies chroniques. Le Professeur Luc Montagnier a reçu le Prix Nobel de physiologie ou de médecine en 2008. « Nous avons découvert que certains ADN de virus ou de bactéries émettent des ondes électromagnétiques. Il s’agit d’un phénomène de résonance lié à l’excitation de ces molécules dans certaines dilutions dans l’eau. Ces ondes reproduisent l’information de l’ADN initial - ce sont des ondes extrêmement spécifiques. Est-ce quelque chose de restreint à ces agents ? Probablement pas. Toutes les séquences d’ADN peuvent émettre des ondes, mais à un niveau plus faible. Ce que nous détectons est le sommet de l’iceberg, c’est-à-dire les séquences qui produisent le plus de ces signaux. Certes, ceci a fait l’objet de controverses, mais je peux aujourd’hui affirmer sans hésiter que ces travaux sont solides et peuvent être reproduits en dehors de notre propre laboratoire. Des signaux électromagnétiques de l’ADN Les ondes ne sont pas seulement émises par l’ADN de départ, elles sont aussi produites par les nanostructures formées dans l’eau à ces dilutions. Ces structures peuvent d’ailleurs être distinguées selon leurs origines virales ou bactériennes, suivant leurs tailles. Après le passage dans un filtre de 100 nanomètres, on détecte des signaux provenant de bactéries essentiellement. À 20 nanomètres, les structures sont plus petites et proviennent de virus, notamment du virus du Sida ou des hépatites. Ce sont en général les bactéries pathogènes qui émettent des signaux. Les bactéries non pathogènes n’en émettent pas. Dans le cadre des virus, c’est un peu la même chose. Un virus atténué d’un vaccin n’émet pas de signaux, tandis qu’un virus "sauvage", comme le HIV du Sida, émet des signaux. Nous avons aussi isolé certains gênes responsables de ces émissions. Trois ou quatre gènes du virus HIV émettent, pas les autres apparemment. Mais ceci peut-être simplement une question d’intensité, de degré de sensibilité. Nous pouvons mesurer ces signaux de deux façons, par leurs changements d’amplitude ou par le spectre des signaux. Mais il s’agira, disons, d’un spectre de bases avec des ondes elles-mêmes porteuses d’ondes plus faibles mais plus spécifiques. Spécifiques de chacune des séquences d’ADN mesurées. Cette technologie nous permet de détecter avec une très grande sensibilité la présence d’un agent infectieux dans le sang, dans le plasma. On peut aussi extraire l’ADN de tissus, notamment de cancers, et observer la présence des signaux d’infections bactériennes. L’opération peut se faire à distance. Le signal peut être digitalisé, numérisé et envoyé à un autre laboratoire à des milliers de kilomètres. Lors de notre première expérience des signaux ont été envoyés de San Diego à Shangai et de Shangai à Paris. Nous avons pu constater que le laboratoire receveur, à Paris, a été capable de reconstituer l’ADN d’une bactérie à l’origine de la maladie de Lyme. Page 2 sur 7 Sans titre 15/06/14 12:03 Et l’eau dans tout ça ? Nous avons pu, à l’aide d’une méthode extrêmement sensible, mais classique : la réaction de polymérase en chaîne (PCR), observer que la polymérase peut non seulement lire la double hélice de la molécule d’ADN, mais aussi probablement l’eau qui entoure cette double hélice. C’est cette eau qui garde une empreinte spécifique des séquences des bases. La PCR est donc en mesure de lire les nano- structures induites par l’ADN dans l’eau. Cette découverte révolutionnaire a suscité beaucoup de controverses. Car elle pose des problèmes fondamentaux, au niveau biologique mais aussi théorique. Quelle est la finalité de ces structures dans le monde vivant ? Nous pensons que certaines bactéries ont trouvé ce moyen, en utilisant notamment des ondes que l’homme émet mais aussi des ondes naturelles, pour amplifier l’appareil génétique à distance et d’une façon invisible au système immunitaire. L’exemple de l’autisme Les applications médicales de cette découverte sont très importantes, probablement pour la détection précoce. Nous trouvons ces signaux dans des maladies qui ne sont pas connues pour être d’origine infectieuse. Cela concerne des maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, mais aussi la maladie de Lyme, l’autisme et certains cancers. Actuellement plus de 1% des enfants sont atteints d’autisme dans les pays développés. Le plus intéressant est que si l’on mesure les signaux électromagnétiques du plasma sanguin chez ces enfants, la plupart sont positifs et détectent une infection bactérienne latente. L’émission des signaux est, de plus, sensible aux traitements antibiotiques. Cela ouvre de réelles perspectives d’amélioration clinique des enfants autistes. » Découvrez l’intégralité de la rencontre avec le Professeur Luc Montagnier dans Orbs, l’Autre Planète. #0, Le Commencement. Arts, sciences, humanités et consciences. De nouveaux indices en faveur d’une conception non corpusculaire de la vie par Larry Hecht L’auteur est le rédacteur en chef de la revue américaine 21st Century Science & Technology. Cet article est également paru en Anglais dans l’édition du 11 février d’Executive Intelligence Review (EIR). Les travaux remarquables du célèbre virologue français, le professeur Luc Montagnier, accréditent la thèse d’une conception non corpusculaire de la vie. Parmi ses plus importants résultats rendus publics à cette date, figurent l’émission, par des séquences d’ADN bactérien, d’ondes électromagnétiques de basse fréquence, et la capacité de ces ondes à organiser des nucléotides (le matériel de base de l’ADN) en un nouvel ADN bactérien, par la médiation de structures dans l’eau. Page 3 sur 7 Sans titre 15/06/14 12:03 En démontrant l’interaction des organismes vivants avec des ondes électromagnétiques, incluant peut- être les ondes de basse fréquence de la résonance de Schumann dans l’atmosphère terrestre. , ce travail a des implications révolutionnaires pour la biologie et toute notre compréhension de l’univers, prolongeant le travail démarré dans les années 1920 par des savants comme Alexandre Gourvitch qui avait détecté des radiations ultraviolettes émises par les cellules de plantes en croissance. Les signaux détectés semblent être une propriété de la plupart des bactéries infectant les êtres humains, ainsi que de nombreux virus, y compris le HIV, la grippe A et l’hépatite C. De plus, il découle de ces recherches, que certaines maladies ordinaires qu’on ne considérait pas jusque-là comme étant d’origine bactérienne, pourraient bien l’être en fait. Ce qui permet de penser cela, c’est que des signaux identiques à ceux détectés dans des tubes à essai contenant des bactéries vivantes, ont été trouvés dans le plasma sanguin, et dans l’ADN extrait du plasma, chez des patients souffrant des maladies d’Alzheimer et de Parkinson, de multiples scléroses, d’encéphalopathie de Lyme, d’arthrite rhumatoïde, et de différentes neuropathies. Le professeur Luc Montagnier qui a reçu le prix Nobel pour sa découverte, en 1983, du virus HIV, a proposé l’utilisation des techniques de radiofréquence pour la détection d’infection bactériennes ou virales chroniques, et d’explorer les moyens de les utiliser dans le traitement de maladies comme le SIDA et l’autisme. Montagnier indique également que de telles techniques pourraient un jour fournir une solution au problème de plus en plus aigu de l’évolution des organismes résistant aux antibiotiques. La conception non corpusculaire Les expériences de Montagnier touchent à certaines questions cruciales de méthode scientifique qui ne pourraient pas être correctement examinées dans les termes habituels des paradoxes de la physique du XXe siècle, mais qui trouvent un début de résolution claire lorsque l’on s’intéresse à la relation entre les domaines du non-vivant, du vivant et aussi du cognitif. Nous savons, par exemple, depuis les travaux de de Broglie et de Schrödinger dans les années 1920, que les paradoxes issus de la tentative de réduire l’explication des phénomènes observés dans le non-vivant à une conception particulaire de la substance, peuvent être résolus par une conception ondulatoire qui subsume les phénomènes des radiations électromagnétiques et de la vieille « mécanique » en une conception unifiée du microcosme et du macrocosme. Cependant, Schrödinger fut incapable de transporter ses intuitions dans le domaine du vivant, proposant à la place une notion décevante de négation locale de l’entropie, pour expliquer le principe organisateur qui caractérise manifestement le progrès de l’évolution du vivant ainsi que celui de la cognition humaine. Résultats expérimentaux : 1. Régénération de filtrats. Dans un article publié en 2009, Montagnier et ses associés ont rapporté l’observation de bactéries et de virus se régénérant à partir de solutions apparemment stériles. Après passage à travers des filtres dont les pores étaient plus petits que les bactéries ou les virus, des solutions qui avaient contenue des cultures infectées, mais testées stériles après filtration, ont été capables de régénérer les bactéries ou les virus qui les avaient infectées. Les premières expériences ont utilisé le Mycoplasma pirum, une espèce de petite bactérie sans paroi cellulaire, d’une taille d’environ 300nm (300 milliardièmes de mètre). Le mycoplasme est un genre de très petites bactéries qui est impliqué dans un grand nombre de maladies humaines et est résistant à beaucoup d’antibiotiques. Après filtration d’une culture de uploads/Ingenierie_Lourd/ adn-et-ondes-electromagnetiques-pdf 1 .pdf

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