TD-SYNTHESE LE HAUT DEBIT auteur : L.Burri 1 1) Compléter le tableau suivant pa

TD-SYNTHESE LE HAUT DEBIT auteur : L.Burri 1 1) Compléter le tableau suivant par : Le nom d’une technologie d’accès au haut débit utilisant les supports de transmission suivants, sur la boucle locale. Le débit maximum de la technologie : LE HAUT DEBIT 1 L’accès au haut débit 1.1 Différents types d’accès en fonction des supports Support de transmission Nom de la technologie Débit max sigle Explication du sigle Antenne Hertzienne Téléphone mobile fibre optique Réseau téléphonique (paire de cuivre) Réseau câblé 1.2 Le xDSL 1.2.1 Définition des sigles 2) Définir, en anglais puis en français, les sigles suivants : DSL = ADSL = RADSL = VDSL = SDSL = HDSL = 1.3 L’ADSL 1.3.1 Eligibilité 3) Quelle doit être la distance maximum entre le client et le DSLAM pour être éligible à l’ADSL ? 4) Quelle doit être l’atténuation maximum de la ligne pour être éligible à l’ADSL ? 5) Ce client est-il éligible ? Pourquoi ? 1.3.2 Upload et Download 6) Compléter les schémas suivants par « Upload » et « Download » : 9) Donner la définition du sigle de la modulation DMT : 10) Dire rapidement en quoi consiste ce type de modulation : en vert : la partie montante du spectre en rouge : la partie descendante du spectre Sur l’allure du spectre utilisé par l’ADSL, ci-dessous, entourer : 11) 20 canaux de 4,3 kHz 256 canaux de 4,3 kHz 12) Sachant que chaque canal transporte en moyenne 8 bits par Hertz, calculer le débit maximal pouvant être atteint en download : 7) Pourquoi les FAI proposent-ils aux abonnés des liaisons haut-débit ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line), c’est-à-dire avec un débit asymétrique ? 1.3.3 Modulation du signal 8) Qu’est ce qu’un MODEM ? 13) Quel est donc le rôle du filtre (SPLITTER) ADSL ? 14) Qu’est-ce-que l’ADSL2+ ? 15) Compléter le tableau suivant : 16) Que signifie le sigle READSL2 ? 1.3.4 Filtrage des fréquences L’ADSL fonctionne sur les hautes fréquences de la paire de cuivre tandis que la voix est supportée par les basses fréquences. 1.4 ADSL2 et ADSL2+ norme Vitesse maxi en upload Vitesse maxi en download ADSL ADSL2 ADSL2+ 1.5 READSL2 et READSL2+ 18) Donner le rôle des éléments suivants : 17) Sur le schéma ci-dessous, définir en anglais et en français les éléments. Puis entourer en rouge la partie « optique » : 2 Transmission de l’information haut-débit au cœur du réseau 2.1 Equipements dans le central téléphonique gère le transde données en tous les paquets sont 2.1.1 DSLAM le DSLAM récupère le trafic de données, issu de l’ADSL, transitant sur les lignes téléphoniques qui lui sont raccordées, après que ce trafic ait été séparé du trafic de voix issu de la téléphonie classique, grâce à un filtre. Ensuite le DSLAM (« petits tuyaux ») et le redirige ou du fournisseur d'accès (« gros tuyau ») selon le principe du multiplexage temporel où les données sont transportées en IP ou en ATM. 2.1.2 BAS Le BAS Sur le réseau de France Télécom, chaque BAS regroupe le trafic ATM issu d'une dizaine de DSLAM. Un BAS gère donc le trafic de l'ensemble des lignes ADSL situées dans les zones couvertes par les DSLAM qui lui sont connectés. La Zone ainsi couverte par un BAS est appelée ''plaque'' par France Télécom. Il est établi un circuit ATM ''montant'' et un circuit ATM ''descendant'' entre chaque Client connecté et le BAS auquel il est raccordé. 2.1.3 ATU 2.1.4 Routeurs Chaque paquet IP a un grand nombre d’itinéraires possibles pour une destination unique. Les Routeurs font en fonction Pour savoir quel trajet doivent emprunter les données, le routeur met à jour en interrogeant les autres routeurs situés près de lui. Si un routeur tombe en panne ou est saturé, les autres routeurs sont avertis par son silence. Les données n’empruntent pas forcément le même trajet et peuvent parvenir au destinataire dans le désordre. Mais comme au départ, il est facile, pour le destinataire, de reconstituer le message d’origine sans altération. 19) Qu’est-ce que le backbone ? 20) compléter, ci-dessous, les espaces laissés vides : 2.2 Protocoles dans le Backbone 2.2.1 La SDH SDH = C’est un protocole de niveau du modèle OSI Grâce à la fibre optique, il permet un débit pouvant aller jusqu’à 2.2.2 La VTHD VTHD = C’est un protocole de niveau du modèle OSI Il permet un débit pouvant aller jusqu’à 2.2.3 l’A.T.M 2.2.3.1 Généralités 21) Que signifie le sigle ATM ? 22 ) compléter, ci-dessous, les espaces laissés vides : L’ATM est un protocole de niveau C’est un protocole fonctionnant utilisé au cœur même du réseau. Le flux de données est transp itinéraire déterminé lors de la connexion. de petite taille , selon un L’ATM est complémentaire de l’IP : il est utilisé dans un réseau fédérateur qui interconnecte des réseaux IP entre eux . 2.2.3.2 Qualité de service. Il existe 3 degrés de QoS : UBR =  le débit n’est pas garanti. VBR =  le débit est compris entre une valeur maximum et minimum prédéfinie. CBR = 2.2.3.3  le débit est constant et défini à l’avance. Conduit et voie virtuels : L’ATM est une technique de commutation utilisant un circuit virtuel . En fait le mode connexion est utilisé pour la transmission des cellules. La cellule n’est donc transmise que lorsque le circuit virtuel ouvert. Le marquage de ce circuit virtuel est fait par les tables de commutation placées dans chaque noeud traversé. C’est ce qu’on appelle la signalisation. Deux numéros sont utilisés pour constituer la référence qui permet la commutation et l’identification du circuit virtuel: numéro VCI = virtual channel identifier = identificateur de voie virtuelle numéro VPI = virtual path identifier = identificateur de conduit virtuel 2.2.3.4 Brasseurs et commutateurs ATM : Le commutateur ATM se sert du VCI et du VPI pour commuter les cellules ATM. Le brasseur ATM ne se sert que du VPI (donc on commute plusieurs voies virtuelles d'un coup). 2.2.3.5 Mise en place de la connexion : Pour mettre en place la connexion, on associe la référence d'entrée à une référence de sortie du réseau. en mode . orté dans des C’est un protocole de niveau du modèle OSI Pour cela, on procède d’abord au routage d'une cellule de supervision (qui met en place le circuit virtuel). Ce routage est effectué par les tables de routage (qui déterminent vers quel noeud est envoyée la cellule grâce à l'adresse de destination finale). Au fur et à mesure, cette cellule détermine pour chaque noeud l'association entre le port d'entrée et de sortie : 2.2.3.6 Cellules ATM Les cellules ATM sont de taille fixe égale à , dont 48 octets pour la zone de données. Ce sont des cellules de niveau (et non paquet). 2.2.4 Le Gigabit Ethernet 23) compléter, ci-dessous, les espaces laissés vides : Ce support coopère avec l’ATM et la SDH pour proposer des débits pouvant aller jusqu’à . C’est un protocole de niveau du modèle OSI 2.2.5 L’IP 24) compléter, ci-dessous, les espaces laissés vides : L’IP est basé sur la notion de Best effort = les utilisateurs bénéficient . 2.2.6 MPLS Sur Internet, certaines applications peuvent être routées (possibilité de prendre plusieurs chemins différents) alors que d’autres ont besoin d’être commutées (utilisation de circuits virtuels). On utilise donc des routeurs-commutateurs. Ceux-ci utilisent en général une commutation de type ATM ou Ethernet et un routage de type IP. La normalisation de cette technique a donné naissance au MPLS (MultiProtocol Label Switching). 2.3 Comparaison des débits des protocoles de transmission dans le backbone 3 Sources à consulter pour répondre aux questions   Le dossier ADSL de Wallu , sur http://pagesperso-orange.fr/wallu/ L’ encyclopédie http://fr.wikipedia.org/wiki Le diaporama DSLrev03 de www.mrim.org uploads/Ingenierie_Lourd/ adsl-0.pdf

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