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En même temps que je recevais cette tradition je faisais mes études de théologie dans le Christianisme Orthodoxe et j’avais l’impression extraordinaire de boire aux deux mamelles de la même mère, car les deux disaient la même chose en partant, l’un, de la course qabbalistique hébraïque, et l’autre de la tradition chrétienne. Je crois que le Christianisme qui refuse ces bases hébraïques, se coupe de ses racines et le Judaïsme, tel qu’il est transmis par la Qabbale, pour moi, débouche sur le message chrétien. Vivre ainsi cette coexistence de deux traditions a été pour moi une charnière énorme qui m’a obligée de vivre d’une autre façon et qui m’imposait de transmettre ce que je recevais. Et cela m’incite à vous faire comprendre qu’il ne s’agit pas pour vous de vivre ce message uniquement sur le plan intellectuel, parce que cela « fait bien », mais que nous allons travailler ces lettres hébraïques qui sont des énergies vivantes et qui font écho en nous à des forces fondamentales, nous obligeant à nous transformer. C’est d’autant plus vrai qu’il y a une correspondance étroite entre chacune de ces lettres et chacun des organes et membres de notre corps, dont je ne vous parlerai pas maintenant, mais qui pourrait peut-être constituer un troisième volet de notre étude. Il y a un texte qabbalistique hébreu qui dit que lorsqu’un mystique juif méditait de façon pas juste toute une nuit sur une lettre, il se retrouvait le lendemain matin avec une altération de la partie correspondante de son corps. Et le Zohar nous dit que lorsque le Saint, béni soit-Il, jouait avec les âmes des lettres de l’alphabet, Il en faisait Ses délices. D’après les Hébreux ces lettres sont de « petites lettres créées par rapport aux « grandes lettres » archétypiques qui sont les énergies divines, incréées. De même qu’il en est pour le corps humain en tant que symbole dont je vous parlais la saison dernière, elles sont reliées à leurs archétypes par ce que j’appelle « un cordon ombilical », un cordon nourricier, qui nous informe constamment. L’écriture hébraïque procède d’écritures très anciennes, comme d’ailleurs toutes ces langues dont on ne connaît pas l’origine. Nous nous rendons de plus en plus compte que c’est la langue qui fait le parlant, que c’est le Verbe qui nous crée, qui nous structure à chaque moment. Prisonniers de nos catégories mentales nous avons l’habitude de penser le contraire. Or le Verbe est vibratoire, il nous informe au sens cybernétique du terme, il nous informe par l’intérieur et notre forme humaine n’en est que le résultat. Nous comprenons alors que chacun de nos organes peut être relié à la vibration de chacune de ces lettres. Nous n’aurons pas le temps de raconter tous les avatars de ces lettres, de leur sculpture, mais nous pouvons dire que du temps d’Esdras, après la déportation de Babylone, au IVe siècle environ avant J.-C. la langue et les lettres ont reçu leur dernière forme. Personnage extrêmement important dans l’histoire de l’écriture hébraïque, il a fait au niveau de la langue, des lettres et des sons, une sorte de circoncision qui leur a donné une densité d’énergies vibratoires que nous ne retrouvons dans aucune autre langue, sinon peut-être dans le sanskrit. Elle se prête à des lectures allant de plus en plus loin, comme si le fruit n’était jamais le dernier. Remarquez que l’écriture est une crucifixion. En figeant le Verbe qui est créateur, nous lui faisons subir une mort. Esdras a formé les lettres au nombre de vingt-deux. Ce ne sont que des consonnes, les voyelles n’existent pas en hébreu. Selon les différents mots la prononciation est autre. Ainsi le mot David dans un autre contexte va se prononcer Dvod et ce sera un tout autre mot qui signifiera l’ainé, le chéri. Et pourtant ce sont les trois mêmes lettres, les trois mêmes énergies qui structurent les deux mots qui, pour nous, sont très différents, mais qui, dans la conscience des Hébreux, ont un lien étroit. Nous trouvons souvent dans la langue hébraïque au niveau du même mot des contradictions qui nous font dresser les cheveux sur la tête. C’est ainsi qu’une même racine donne le mot « Saint » et le mot « prostituée ». Ce sont les mêmes énergies qui font découvrir la clef du message extraordinaire de cette langue. Bien sûr pour faciliter la lecture on intercale entre les consonnes des lettres qui sont appelées « mères de lecture », « matrices de lecture » mais, alourdissant la langue, elles ne seront pas gardées. Maintenant dans la Thora nous allons trouver sous ou à côté des lettres un petit point ou un tiret qui indiquera la vocalisation. L’écriture hébraïque s’écrit de droite à gauche. Cela n’a pas toujours été le cas. Comme l’écriture chinoise, elle a été verticale. Et puis de façon très curieuse elle devient serpentine, c’est-à-dire qu’on commence par écrire de droite à gauche et, au bout de la ligne, elle repart de gauche à droite, et ainsi de suite. Elle trouvera son orientation définitive au moment d’Esdras, de droite à gauche. On en ignore la raison. Etudions à présent les lettres, leur histoire, leurs avatars, car le graphisme n’a pas toujours été celui d’aujourd’hui. Il remonte à des temps très anciens. Chacune des lettres va correspondre à un nombre. L’un et l’autre sont inséparables. Tous deux sont une énergie, icône de l’énergie divine correspondante. Certaines lettres correspondent aux dix premiers nombres des unités jusqu’à 9 compris. Les dix lettres suivantes vont correspondre non pas au 11, 12, 13, etc., mais à 20, 30, 40, etc., c’est-à-dire aux dizaines et puis, les dernières lettres aux centaines. Quand nous arrivons au Tav, ayant la valeur de 400, nous sommes arrêtés. Comment alors s’expriment le 500, 600, jusqu’à 900 et même 1 000 ? Par certaines lettres déjà vues jusque-là qui arriveront à la fin d’un mot et qui vont prendre cette valeur. Par exemple le Mem a pour nombre 40 et lorsqu’il arrive à la fin d’un mot il aura un graphisme un peu différent et vaudra 600. Et puis la dernière lettre qui est aussi la première, Aleph, par qui tout se termine, vaut en finale 1000. La toute première lettre que je vous présente est Aleph. Les lettres hébraïques ne sont pas monosyllabes comme nos lettres françaises, elles sont l’initiale d’un mot entier. Qu’est-ce que Aleph ? C’est une bête cornue (voir le graphisme de la lettre) ainsi que le montre son dessin primitif. Et puis il subira des avatars, les cornes ne se tiendront plus vers en-haut, mais vers le côté, pour finalement tomber en verticale vers le bas. Nous trouverons là l’alpha grec et enfin l’amorce de notre A. Nous savons maintenant et la graphologie nous l’a confirmé, que l’écriture exprime toute une partie non seulement de notre inconscient, mais de l’inconscient collectif. L’évolution de la lettre se fera en fonction de l’évolution de l’humanité. De même qu’autour du XVIIIe siècle av. J.-C. Abraham, venant d’Ur, uploads/Litterature/ annick-78-79.pdf

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