Flavien Brenier LES JUIFS ET LE TALMUD Morale et Principes sociaux des juifs d'

Flavien Brenier LES JUIFS ET LE TALMUD Morale et Principes sociaux des juifs d'après leur livre saint : le Talmud 2017 the Savoisien & Lenculus « Un non-Juif qui étudie la Loi (le Talmud) mérite la mort » Traité Sanhédrin, folio 59, a sub tutela michaëlis LES JUIFS ET LE TALMUD Morale et Principes sociaux des juifs d'après leur livre saint : le Talmud (Avec un aperçu des circonstances historiques dans lesquelles le peuple juifs renonça à la loi de Moïse) tous droits réservés dont traduction© 2017 L'auteur du présent ouvrage, au cas où quelque inexactitude théologique lui serait échappée dans les pages qui suivent, déclare la rétracter par avance Fils soumis de l'Église Romaine, il subordonne au jugement de Celle-ci toute la doctrine de son livre. Flavien Brenier 1913 la« Ligue Française Antimaçonnique » 66, rue Bonaparte, à Paris (VIe) (près saint-Sulpice) 15 novembre 2017 scan, ORC, Flanien Brevier (un Noble Inconnu) Mise en page LENCULUS † pour la Librairie Excommuniée Numérique des CUrieux de Lire les USuels 5 AVANT-PROPOS A ucun problème ethnique ou religieux ne s’est posé, à travers l’Histoire, d’une ma­ nière plus générale, plus continue et plus obsédante que le problème Juif. Aussi loin qu’on se reporte depuis que les Juifs sont campés au milieu des nations — et cette manière de vivre est bien antérieure pour eux à l’époque où les ar­ mées romaines leur infligèrent ce qu’on appela « la dis­ persion » — on trouve les Juifs en lutte avec tous les peuples qui les ont reçus dans leur sein. Les convulsions de cet éternel conflit emplissent une partie de l’Antiqui­ té et tout le Moyen-Âge. Dans les temps modernes, si la lutte entre l’élément juif et les éléments chrétiens et mu­ sulmans revêt un caractère d’acuité moindre, c’est qu’Is­ raël a eu l’habileté de cacher son agression, jadis presque toujours directe, sous mille masques habilement fabri­ qués. Mais qu’on soulève au hasard l’un de ces masques, Morale et Principes Sociaux des Juifs d'après leur livre saint : le Talmud les juifs et le talmud 6 et, sous le péril qui menace chaque peuple dans sa sécuri­ té nationale, dans sa prospérité matérielle, dans sa liberté religieuse ou dans sa paix sociale, presque toujours on trouvera le Juif. C’est le Juif, en effet, qui a modifié les conditions d’existence économique des nations, en créant un sys­ tème financier qui lui permet d’accumuler, à plaisir, les ruines publiques ou privées. C’est le Juif qui a déchaîné, en dix pays, la persécution antichrétienne, pour assou­ vir la haine séculaire de sa race contre les serviteurs du Christ. C’est le Juif qui a mis le feu à l’édifice social en semant l’idée collectiviste dans le monde par le moyen de ces agitateurs et théoriciens hébreux qui s’appelèrent Karl Marx, Lassalle et Singer en Allemagne ; Neumayer, Adler et Aaron Libermann en Autriche ; Fribourg, Léon Frankel et Haltmayer, en France ; James Cohen en Danemark ; Dobrojanu Ghéréa, en Roumanie ; Kahn, Lion et Samuel Gompers, aux États-Unis (1). C’est le Juif qui est, dans le monde entier, derrière toutes les entreprises de dépravation morale dans le domaine artistique ou littéraire. C’est le Juif, enfin, qui a successivement servi d’espion contre toutes les puis­ sances assez imprudentes pour lui faire accueil. Ce formidable travail de corruption et de destruc­ tion, constamment poursuivi à travers les siècles, pose un point d’interrogation qui n’a pu être effacé jusqu’ici. Quelle force mystérieuse a transformé la race juive en ce 1. On ne saurait trop rappeler que l’Humanité, l’organe officiel du Parti Socialiste Unifié en France, fut fondée à l’aide d’une somme de 780.000 francs fournie par douze juifs : Lévy Brulh, Lévy Brahm, A. Dreyfus, Louis Dreyfus, Herr, Ely Rodriguès, Léon Picard, Blum, Rouff, Casewitz, Salomon Reinach et Sachs. La plupart des journaux socialistes du monde ont été également fondés avec de l’argent juif, et leurs rédacteurs, pour près de la moitié, sont des Juifs. avant-propos 7 « fléau de Dieu » dont nous venons, à grands traits d’es­ quisser le rôle ? … Voilà la question qui se présente fatale­ ment à l’esprit quand on a étudié l’œuvre funeste d’Israël depuis plus de deux mille ans. En effet, ces Juifs, que les circonstances actuelles, comme leur histoire passée, nous révèlent si complè­ tement étrangers à l’idéal que nous honorons, ces Juifs, qui ne savent être grands que dans la haine, hardis que dans la rapine et satisfaits que dans la souillure répan­ due à flots autour d’eux, ces Juifs sont cependant les au­ thentiques descendants des Hébreux des premiers âges, de ceux que la divine Providence choisit entre tous les hommes pour en faire « le peuple de Dieu ». Cette re­ ligion du Messie, dont ils persécutent aujourd’hui les fidèles, après avoir crucifié le Messie lui-même, c’est celle‑là même qui a nourri de ses espérances leurs pre­ miers ancêtres : seuls de tous les peuples, ils en reçurent le dépôt, et « Abraham tressaillit de joie à la pensée qu’il verrait le jour du Rédempteur (2) ». Comment l’or pur s’est-il changé en plomb ? Comment « le peuple de Dieu » est-il devenu la nation maudite ? Comment les Juifs, qui vivaient depuis tant de siècles dans l’attente du Juste, l’ont-ils crucifié quand il s’est montré à eux ? Comment ceux dont les pères avaient reçu, sur le Sinaï, le Décalogue de justice et d’amour, l’ont- ils remplacé par la loi de haine, de meurtre et de vol qui les régit aujourd’hui et s’appelle le Talmud ? … Voilà ce qu’il nous a paru nécessaire d’expliquer avant d’aborder, d’après les sources les plus sûres, l’examen du Talmud 2. Jean, ix, 56. A rapprocher du texte de David : « Dieu n’a pas mon­ tré tant de prédilection pour d’autres nations et ne leur a pas ainsi ma­ nifesté ses jugements. Non fecit taliter omni nationi et judicia sua non manifestavit eis. » les juifs et le talmud 8 lui même et des conséquences qu’entraîne l’adoption de sa morale. Nous allons donc, dans une étude historique ap­ puyée sur des faits que nous croyons irréfutables, indi­ quer comment s’opéra la corruption d’Israël, quel terrain propice cette corruption rencontra dans les défauts eth­ niques particuliers à la race juive, et quels facteurs poli­ tiques rendirent le Juif infidèle à sa mission, le conduisant au Déicide d’abord, à la lutte traditionnelle et séculaire contre le Christianisme ensuite. On aura ainsi la clef d’une énigme autour de laquelle se déroule la politique du Monde depuis deux mille ans. 9 PREMIÈRE PARTIE CHAPITRE PREMIER Les anciennes apostasies d’Israël N ous avons dit que la corruption religieuse des Juifs fut favorisée par des défauts eth­ niques qui leur étaient particuliers. Ils semble bien, en effet, que la descendance de Jacob n’ait pas attendu longtemps pour démériter des promesses divines. A l’heure même où commençait leur existence nationale, et où l’Éternel, par la voix de Moïse, les appelait à la possession de la Terre Sainte, les Hébreux sentaient au fond de l’âme une incli­ nation invincible pour le culte des faux dieux de l’Orient. Ce culte avait pour eux de tels attraits qu’ils profitaient de la moindre occasion favorable, telle que l’absence momentanée du législateur que la Providence leur avait donné, pour relever les idoles proscrites et leur rentre les honneurs interdits. Les descendants de Jacob font éclater les juifs et le talmud 10 cet état d’esprit dès les premières pages de l’exode, où Jéhovah accumule cependant les miracles en faveurs du peuple qu’il s’est choisi. Un épisode bien connu rend sensible cette apostasie de cœur des Hébreux sortis d’Égypte, qui se hâtent de renier le Dieu auquel ils doivent leur libération. Israël campe au pied du mont Sinaï, retentissant de tonnerre et environné d’éclairs, sur lequel Moïse reçoit en trem­ blant les tables de la Loi. Le législateur redescend vers ses compatriotes et leur apporte le témoignage de la pro­ tection divine. Il les trouve dansant autour du Veau d’Or, qu’ils ont réclamé dès que Moïse a été absent, et que leur a fabriqué Aaron, son propre frère … Devant ce prompt reniement, l’Écriture fait prononcer à l’Éternel ces pa­ roles amères : « Je vois que ce peuple est un peuple au cou raide (3) … ». C’est un mot qui reviendra bien souvent encore dans la suite du livre saint, au fur et à mesure qu’Israël mul­ tipliera ses apostasies et retournera inlassablement aux cultes des peuples d’Orient, qui divinisaient la Luxure et la Cruauté. Aussi, quand Samuel, vieilli, se plaindra de l’ingratitude des Hébreux envers lui, l’Éternel, pour le consoler, lui adressera ces mots mélancoliques : « … Ce n’est pas toi qu’ils rejettent ; c’est moi qu’ils rejettent, afin que je ne règne plus sur eux. Ils agissent à ton égard comme ils ont toujours agi, depuis que je les ai fait mon­ ter d’Égypte jusqu’à ce jour ; ils m’ont abandonné pour servir d’autres dieux (4) … ». Comme on le voit, si l’élection divine récompensait uploads/Litterature/ brenier-flavien-les-juifs-et-le-talmud.pdf

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