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Lamrani Meriem Nour Elhouda M1 LGC. Rendu : explication de l’extrait de l’avant

Lamrani Meriem Nour Elhouda M1 LGC. Rendu : explication de l’extrait de l’avant propos de « Introduction aux méthodes critiques de l’analyse littérature, Paris, Bordas, 1998 (rédigé par Daniel Bergez). Le texte étudié est extrait du livre Introduction aux méthodes critiques de l’analyse littéraire, après une 1ere lecture on note que Daniel Bergez dans le premier paragraphe commence par une citation a Montaigne « …interpréter les interprétations qu’interpréter les choses , et plus de livre sur les livres qu’a autre sujet » dans cette partie il fait référence au savoir au XVI Emme siècle ou l’époque s’est enrichit par la redécouvert de la littérature gréco-latin au même temps il le considère infini , c’est pourquoi il dit « interpréter les interprétations » il rajoute « des livres sur les livres » cela veut dire traduire l’héritage de la littérature écrite en latin a la langue française et faire en sorte d’expliquer le contenue aux gens pour comprendre ce que n’était pas accessible a eux au moyen âge ) le savoir était que pour les clergés ) , il poursuivre « nous ne faisons que nous entreglose » dans cette expression il affirme qu’ils faisaient que réécrire et interpréter l’un a l’autre et pas forcement pour ne pas donner mieux c’est pour le bénéfice de la culture collective comme je disait avant pour enrichir l’héritage de l’antiquité , par contre il critique ceux qui interprètent sans rien apporter de nouveau qu’ils manquent de créativité comme il dit « Tout fourmille de commentaire…. Il es en grand cherté ». En poursuivant le texte il dit que c’est après les années 60 que les violents débats ont commencés autour ce qu’on appelle la nouvelle critique contrairement a la critique traditionnelle qui est biographique la critique nouvelle est basé sur des éléments fondateur la psychanalyse la sociologie et la linguistique structurelle mais selon Bergez la question posé c’est de bien interroger le rôle de la critique dans la littérature le problème n’est pas « la méthode » mais « le rôle » , si c’est Nécessaire ou Néfaste . Dans le deuxième paragraphe Daniel Bergez continue a se demander concernant le rôle de la critique dans la littérature en se citant par Julien Gracq qui dans son livre « la littérature a l’estomac » décrit l’effet du mouvement de la critique par « terroriste » selon lui métaphoriquement certains ont proclamé avoir la clé des œuvres conçus en forme de serrures c'est-à-dire ceux qui pratique la critique font en sorte des grand savants et qui sachent tout et ils peuvent faire l’intertextualité de vos œuvres ce qui résulte que ce mouvement accorde plus d’importance au critique qu’a l’œuvre ,donc le danger de cet critique est appauvrir l’œuvre systématiquement. Dans le troisième paragraphe l’auteur s’interroge toujours sur le rôle de la critique mais cette fois en montrant l’image ou la critique est nécessaire, il dit que « elle lui est tout aussi bien indispensable… » Selon lui c’est un passage important pour l’éclairer et l’expliquer il se justifie disant que la critique fait partie de l’univers du langage qui est déjà selon lui un critère qui mets l’ouvre face aux travaux de la critiques qui le montre comme un simple prétexte. Dans le quatrième paragraphe il catégorise toutes les activités qui peuvent se définir comme acte de critique qui place comme objet d’étude la littérature. Dans le cinquième paragraphe il parle en particulier sur la critique universitaire, plus précisément les modalités de cette critique, Bergez affirme que la critique universitaire s’est développée à cause de l’interconnexion entre les sciences universitaires la sociologie, l’histoire et la psychanalyse ce qui a codifié la critique qui a devenu une science qui mobilisent des procédures pour l’analyse littéraire. Dans le dernier paragraphe Bergez nous oriente une autre fois au danger de la critique qui est basé uniquement sur la science ! C’est-à-dire une étude scientifique nécessite d’avoir un objet d’étude donc, il faut que l’œuvre littéraire soit un objet lui-même, il rajoute l’œuvre dépend de l’impression que laissent les autres sur les lecteurs qui ne sont pas toujours objectifs mais qui se laissent contrôlés parfois par leurs propres sentiment et opinion.il termine par valoriser le poids des science qui ont participer a trouver ces nouveaux moyen a travers une question « qui pourrait faire fi des moyens nouveaux de compréhension que l'on doit à l'histoire, à la sociologie, à la psychanalyse, ou à la linguistique ? » uploads/Litterature/ commentaire-critiques-de-l-x27-analyse-litterature.pdf