LE CORAN DEMASQUE Brouillon du 03.09.13 Une opinion sur le Coran, par un lecteu
LE CORAN DEMASQUE Brouillon du 03.09.13 Une opinion sur le Coran, par un lecteur non-croyant: démystification du Coran et de quelques autres mensonges du passé. "Tout homme sera libre de professer, et de défendre par argumentation ses opinions en matière de religion." Thomas Jefferson, 1777, Statuts de liberté religieuse de l'état de Virginie. Avertissement : Cette étude est destinée à un public adulte. L'étude inclut la critique des religions et des personnages associés aux religions. Assurez vous qu'une telle critique est autorisée dans votre pays. Sourate 1: La loi du plus fort est la mère du Coran..............................................................................1 Sourate 2: Mohammed al-Lah, sorcier et homme lâche.......................................................................6 Un fanatisme construit sur la peur......................................................................................................10 Les vierges au Paradis des assassins...................................................................................................15 Le régent sanguinaire ou le khalifat...................................................................................................19 Le dieu créateur sert une machine de guerre......................................................................................23 Mahomet aux tribus juives de Medine: la conversion ou bien ma terreur..........................................26 Quand Mahomet se prend pour Moïse...............................................................................................30 Le décalogue tronqué des bandits.......................................................................................................35 Sa Gloire Mahomet-al-Lah, raciste, suprémaciste..............................................................................39 La propagande prépare la purification ethnique.................................................................................45 Al-Lah est une girouette.....................................................................................................................49 Le culte de la nation arabe..................................................................................................................53 Le brigandage comme religion...........................................................................................................58 Le brigand impose la loi du silence et institue la vendetta.................................................................64 La pieuse guerre injuste et fratricide..................................................................................................69 Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la vie...........................................................................................73 La fourberie légitimée........................................................................................................................78 Quand Dieu et Ses anges se prosternent devant Mahomet.................................................................81 Sourate 3: Al-Lah se passe aisément des créatures.............................................................................92 Al-Lah est le meilleur des comploteurs..............................................................................................98 Le chef de sa secte déclare la guerre à la liberté de conscience.......................................................110 Sourate 4: La prostitution forcée des captives..................................................................................114 Sourate 1: La loi du plus fort est la mère du Coran Où l'on montre comment le Coran s'est construit sur un assortiment de contes pour enfants. Où l'on explique que ce texte n'a pas été produit pour l'édification morale des peuples. Où l'on précise comment sa rédaction a été motivée par les appétits très concrets d'un seul personnage. Mohammed ben Abdullah, de la branche Hashémite du clan Koresh, est le commanditaire du Coran. @ taghout.blogspot.com copie libre, tous autres droits réservés page 1/121 Mahomet a supervisé la rédaction de son livre en passant commande de ses versets aux poètes professionnels qui l'accompagnaient. Étudier ce Coran, c'est comprendre que la religion de cet homme était la loi du plus fort. De fait, son livre et sa vie représentent l'injustice, l'extorsion et le pillage commis au nom d'une excuse métaphysique. Pour vous en convaincre, je vous invite à découvrir les sources de la première sourate du Coran, appelée aussi "la mère du Coran" ou "la sourate qui résume tout". On y trouvera l'origine des concepts fondamentaux du culte mahométan, comme la "dawah" ou invitation à la conversion, qui était en fait une convocation en vue d'un acte de soumission, ou encore le statut des non-musulmans en terre d'islam, dit "dhimmis", qui doivent se soumettre à l'extorsion dite "jizya". On découvre aussi d'où vient cette ruse de Mahomet qui consiste à attribuer sa poésie de commande à un avatar divin. Sourate 1 : AL-FATIHA ou PROLOGUE 1. Au nom d'al-Lah, al-Rahman, al-Rahim. 2. Louange à al-Lah, Maître des peuples. 3. al-Rahman, al-Rahim, 4. Souverain au jour du Jugement. 5. C'est Toi que nous adorons, et c'est à Toi que nous demandons assistance. 6. Montres-nous le chemin des justes, 7. Le chemin de ceux que Tu as favorisés, non de ceux qui ont subi Ta colère, ni de ceux qui se sont égarés. Mon commentaire : "al-Lah" : Il s'agissait d'une divinité de nature astrologique, père d'autres déesses, et censé dominer les cieux. C'est la forme masculine de "al-Lat", mentionnée dans ce Coran sourate 53, versets 19 à 20. On pourrait ainsi identifier "al-Lah" à une forme locale de Jupiter. "Al-Ouzza", "al-Manat" et "al-Lat" représentaient la version meccane de la trinité classique, respectivement Vénus, la Lune et Saturne. Les deux autres noms présents dans ce verset sont "al-Rahman" et "al-Rahim". Les traductions proposées confondent les deux termes autour de l'idée de bienveillance. Ce n'est pas convaincant. Je pense qu'il s'agit plutôt des épithètes d'un souverain antique, littéralement "le Soleil-vivant" et "les Soleils". Le pluriel correspondrait au partage de la souveraineté par deux rois jumeaux en alternance, suivant des considérations astrologiques (comme Castor et Pollux, Romulus et Remus..) L'invocation de ce premier verset du Coran est discordante: Elle n'est pas à sa place dans une prière, à tel point que Kazimirski dans sa traduction, l'a extraite de la sourate, en même temps qu'il a supprimé la répétition maladroite du verset 3, ce qui décale d'autant sa numérotation. En 3, le poète semble en panne d'inspiration : il répète la fin du premier verset. C'est l'indice d'un remaniement. La première sourate du Coran est un montage artificiel, il s'agit d'un collage. Tout au long du Coran on trouvera cette prétention à identifier cet "al-Lah" au Dieu judéo-chrétien. C'est évidemment abusif, et les noms divins bibliques "YHWH", "El-Elohim", "Adonaï" ne correspondent pas à l'invocation initiale du Coran. L'imposture était évidente aussi au yeux des rabbins de Medine. Ceux-ci avaient rejeté le texte avancé par Mahomet comme étranger à leur culture. Mahomet les a fait déporter et massacrer. @ taghout.blogspot.com copie libre, tous autres droits réservés page 2/121 Alors d'où lui est venue cette invocation bizarre ? Pour le découvrir, il faut lire la sourate 27, versets 22 à 37, dont voici le verset 30: Message de Salomon: "Au nom d'al-Lah, al-Rahman, al-Rahim" C'est exactement l'invocation de la première sourate, du moins si on se réfère au Coran original en arabe, car certaines traductions éludent ce verset. On en déduit que la source de la sourate 1 se trouve dans un certain matériau légendaire développé autour du roi Salomon, de la reine de Saba, des djinns et des ifrites, qu'on retrouve dans ces sourates pré-hégire du Coran, numérotées 27, 34, 55, 72. On reconnaît dans ce conte sur le roi Salomon et la reine de Saba un passage de la haggada. La rédaction de cette littérature de fiction est pour l'essentiel antérieure à l'islam. Le conte relaté dans ce Coran est très simplifié par rapport à son équivalent haggadique. Mais surtout le Salomon coranique est nettement plus agressif, méprisant et menaçant que le Salomon haggadique, qui semble surtout intéressé par l'or, les jeunes esclaves et son prestige personnel. On note que certains versets sont redondants, ils servent à rattacher artificiellement le conte remanié à la rhétorique du Coran: l'ensemble parait maladroit et bâclé. Cette fable de la sourate 27 se résume ainsi: Le roi Salomon envoie un "oiseau" (c'est à dire ici un émissaire) porteur d'un message à la reine de Saba. Ce message ordonne à la reine, au nom d'al-Lah, une convocation auprès du roi pour venir lui faire acte de soumission. La reine consulte ses généraux, pèse le risque d'une mise à sac de la ville, et elle envoie un tribut, que Salomon rejette comme insuffisant. Il la menace d'une invasion... Ce banal rapport de force militaire entre deux monarques fait intervenir le surnaturel: Salomon, par l'invocation initiale de son message, prétend tenir sa légitimité de droit divin, et s'arrange pour confondre ses propres intérêts avec une supposée volonté divine. Ce procédé est le modèle de la production du Coran. De même le livre de Mahomet commence par une invocation divine, puis fait s'exprimer al-Lah à la première personne, dans un message destiné à servir les intérêts et les ambitions personnelles de Mahomet. Al-Lah est l'artifice qui va permettre à l'auteur de présenter son livre comme une révélation divine. En réalité, al-Lah n'est autre que le commanditaire du Coran lui-même, c'est à dire Mahomet. On comprend alors que les louanges des versets 2 et 5 s'adressent en fait à Mahomet lui-même. Dans le Coran, al-Lah désignera aussi bien ses intérêts, ses ambitions, ses armées ou son trésor de guerre. Le "messager d'al-Lah" a ainsi exploité à fond cette ruse antique de l'invocation divine. En se présentant comme l'unique interprète du divin, il devient le seul à pouvoir imposer sa propre opinion, c'est à dire le seul à pouvoir s'exprimer tout court. Le Coran servira d'instrument à Mahomet pour imposer sa dictature. Le texte coranique sera ainsi rédigé au fur et à mesure des besoins du parrain de Medine, pour justifier les crimes commis par la secte naissante et ses associés ou ansar, pour satiriser ses ennemis, pour intimider les superstitieux, pour inciter au combat les fidèles ou pour organiser le partage du butin et des captives, en réservant bien sûr la part du lion au chef de guerre. Un autre élément est développé dans la version coranique du conte: La reine de Saba y est accusée d'associer au culte d'al-Lah un culte solaire. Cette accusation d'hérésie peut faire sourire, car la Bible nous montre que Salomon se moquait de l'orthodoxie: en Rois 3.4, il sacrifie sur les hauts- lieux païens, en Rois 11.6, il sacrifie à Astarté et à Moloch. Cette accusation a été rajoutée dans le conte pour justifier les agressions de la secte de Mahomet envers ceux qu'il accuse d'associer d'autres dieux au culte d'al-Lah. @ taghout.blogspot.com copie libre, tous autres droits réservés page uploads/Litterature/ coran-demasque-pdf.pdf
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- Publié le Aoû 31, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
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