BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE Né en Algérie au sein d’une famille modeste, orphel

BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE Né en Algérie au sein d’une famille modeste, orphelin de père, Albert Camus commença des études de philosophie pendant lesquelles il subit l’influence de son ami Jean Grenier (qui lui fit notamment découvrir Nietzsche) mais qu’il dut interrompre pour raison de santé (il était atteint de tuberculose). Parallèlement, il commença à participer à des projets dramatiques en adaptant ou en jouant des pièces de théâtre. Pendant son bref passage au Parti communiste (1935-1936), il fonda et anima la troupe du Théâtre du Travail afin de mettre les œuvres dramatiques classiques et contemporaines à la portée du public défavorisé. Il anima ensuite une autre troupe, le Théâtre de l’Équipe, et publia sa première œuvre, l’Envers et l’Endroit (1937), une série d’essais littéraires variés où apparaissent déjà les grands thèmes de sa maturité : la mort, le soleil, la Méditerranée, l’isolement, le destin de l’homme, le rapprochement entre désespoir et bonheur, etc. À partir de 1938, Camus exerça une activité de journaliste, d’abord à Alger (Alger républicain, Soir républicain) puis à Paris (Paris-Soir), où il s’installa définitivement en 1942. C’est là que parurent simultanément et dans la clandestinité le roman l’Étranger et l’essai le Mythe de Sisyphe (1942), deux œuvres remarquées qui exposaient la philosophie de Camus et qui s’inscrivaient dans ce que lui-même appela le «!cycle de l’absurde!» (cycle complété ensuite par les pièces de théâtre le Malentendu, 1944, et Caligula, 1945). Alors qu’il avait été réformé à cause de sa maladie en 1939, Camus fut très actif dans la Résistance au sein du mouvement Combat. À la Libération, il devint le rédacteur en chef du journal Combat, aux côtés de Pascal Pia, et se mit au service des grandes causes humanitaires internationales. Cependant, il poursuivait son œuvre littéraire à un ryhtme soutenu avec, notamment, la création de ses pièces le Malentendu et Caligula et la publication de son roman la Peste (1947) qui inaugurait le cycle de la révolte et de la solidarité, où s’inscrivent l’État de siège (1948) et les Justes (1949) mais surtout l’essai l’Homme révolté (1951). Ce dernier ouvrage fut à l’origine de la rupture définitive entre Camus et JeanPaul Sartre, car elle soulignait clairement les divergences entre la pensée du premier et l’existentialisme du second. En 1952, Albert Camus démissionna de son poste à l’Unesco pour manifester sa réprobation devant la passivité de cette institution à l’égard de l’Espagne franquiste (voir Franco, Francisco). Par la suite, en 1956, il s’engagea de nouveau en tentant d’intervenir en faveur d’une trêve dans la guerre d’Algérie. Il publia ensuite la Chute (1956), où il revenait sur sa rupture avec l’existentialisme, ainsi qu’un recueil de nouvelles, l’Exil et le royaume (1957). La même année, il reçut le prix Nobel de littérature pour «!avoir mis en lumière les problèmes se posant de nos jours à la conscience des hommes!». Le 4 janvier 1960, en pleine gloire, alors qu’il travaillait à un autre roman, le Premier Homme (posthume, 1994), il se tua dans un accident de voiture Introduction Albert Camus, écrivain du 20ème siècle, a écrit de nombreuses œuvres dont l’étranger(1942).Camus dans ses écrits aborde différents sujets dont la religion notamment dans cet extrait et en profite pour donner son opinion à travers le personnage. On peut donc se demander en quoi l’attitude de Meursault envers la religion diffère des comportements normaux. On étudiera dans un premier temps la religion puis dans un second temps le personnage de Meursault face à la religion. Definition du theme : la religion I) La religion A) principes de bases de la religion catholique Est une religion monothéiste qui se fonde sur la vie et les enseignements de la vie de Jésus-Christ. Le livre saint est la bible composée de deux parties : l’ancien et le nouveau testament. Elle est, selon les chrétiens, représentante de la parole de Dieu. Les sept péchés identifiés sont l’accédiez, l’orgueil, la gourmandise, luxure, l’avarice, la colère et l’envie. B) Camus et la religion Camus se considère étranger a toute religion même si il pense que quelque chose peut lui échapper : “ Je puis nier une chose sans me croire obligée la salir ou de la retirer aux autres le droit d’y croire “.il pense que le futur est sans importance qu’ “il n’y a pas de lendemain». Il s’est aussi opposé au marxisme. Mouvement qui tire son nodus philosophe Karl Marx selon lequel la société repose sur une lutte des classes, qui veut abattre le capitalisme pour mettre en place une société communisme sans classe, sans état. II) Meursault face a la religion A) au moment du jugement - Inexistence d’un dieu pour lui : surnom l’antéchrist - aucune importance de la religion à ses yeux car pour lui le fait de se marier lui est égal:“ j’ai répondu que non ” Meursault se refuse au code social. - le juge essaie de trouver le coté sensible de Meursault a travers la religion mais ce dernier le rejette encore une fois... [à continuer]... Les idées de Camus se manifestent dans son portrait de Meursault comme « anti-héros » qui rejette plusieurs institutions sociales avec son indifférence au meurtre, à la famille, et à la communication. En outre, il se moque de la justice et nie les explications religieuses de la mort et du paradis auxquels il fait face pendant son procès. Bien que certains diront que l’Étranger de Camus est un rejet nihiliste de nombreuses institutions sociales et politiques, je crois qu’il présente une affirmation de la vie et une explication très humaniste de la façon de vivre. Bien que le rejet violent de la religion de Meursault puisse sembler comme un acte d’agression, je crois fondamentalement dans son explication de la vie humaine. Quand Meursault est devant le juge pour la première fois, Meursault décrit comment, « [le juge] m’a exhorté une dernière fois, dressé de toute sa hauteur, en me demandant si je croyais en Dieu. J’ai répondu que non. Il s’est assis avec indignation. Il m’a dit que c’était impossible, que tous les hommes croyaient en Dieu, même ceux qui se détournaient de son visage. C’était là sa conviction et, s’il devait jamais en douter, sa vie n’aurait plus de sens. « Voulez-vous, s’est-il exclamé, que ma vie n’ait pas de sens ? »[2] A mon avis, cela ne me regardait pas et je le lui ai dit. » Le rejet de Meursault de Dieu dans sa compréhension de la réalité affirme l’idée que les êtres humains doivent expliquer la vie eux-mêmes. Le refus de Camus d’une explication externe est similaire à de nombreuses autres valeurs existentielles qui mettent l’accent sur la liberté de l’individu pour déterminer sa vie. L’ÉTRANGER D’ALBERT CAMUS MARCH 9, 2015 | HGRIER15 Pour commencer, je joins la réponse personnelle à L’Etranger d’Albert Camus ici. Comme c’était le plus grand travail sur lequel je me suis concentré cette année et, il est assez longue. Cependant, je espère que vous l’apprécierez quand même: « Comme si cette grande colère m’avait purgé du mal, vidé d’espoir, devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles, je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. »[1] Albert Camus exprime cette idée clé dans son œuvre célèbre, L’Étranger. Ce livre n’est pas simplement un essai sur la vie simple et la mort court de son personnage principal, Meursault, mais le roman d’Albert Camus se rapporte à de nombreuses métaphores philosophiques de l’Absurde, de la Révolte, de l’Existentialisme et du suicide. Les idées de Camus se manifestent dans son portrait de Meursault comme « anti-héros » qui rejette plusieurs institutions sociales avec son indifférence au meurtre, à la famille, et à la communication. En outre, il se moque de la justice et nie les explications religieuses de la mort et du paradis auxquels il fait face pendant son procès. Bien que certains diront que l’Étranger de Camus est un rejet nihiliste de nombreuses institutions sociales et politiques, je crois qu’il présente une affirmation de la vie et une explication très humaniste de la façon de vivre. Bien que le rejet violent de la religion de Meursault puisse sembler comme un acte d’agression, je crois fondamentalement dans son explication de la vie humaine. Quand Meursault est devant le juge pour la première fois, Meursault décrit comment, « [le juge] m’a exhorté une dernière fois, dressé de toute sa hauteur, en me demandant si je croyais en Dieu. J’ai répondu que non. Il s’est assis avec indignation. Il m’a dit que c’était impossible, que tous les hommes croyaient en Dieu, même ceux qui se détournaient de son visage. C’était là sa conviction et, s’il devait jamais en douter, sa vie n’aurait plus de sens. « Voulez-vous, s’est-il exclamé, que ma vie n’ait pas de sens ? »[2] A mon avis, cela ne me regardait pas et je le lui ai dit. » Le rejet de Meursault de Dieu dans sa compréhension de la réalité affirme l’idée que les êtres humains doivent expliquer la vie eux-mêmes. Le refus de Camus d’une explication externe est similaire uploads/Litterature/ expose-sur-la-religion-d-x27-albert-camusv.pdf

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