• • INSTITUT D ' ÉTUDE DES - QUESTIONS JUIVES - LEURS NOMS ... Petite Philosoph

• • INSTITUT D ' ÉTUDE DES - QUESTIONS JUIVES - LEURS NOMS ... Petite Philosophie des Potronymes Juifs 1. - Introduction 2. - Mobilité des patrony mes juifs S. - Difficulté d'un exposé rigoureu- sem en t m éthodique 4. - E n lisant la Bible 5. - Signification de certains noms hébreux 6 - Les noms de Juifs au l\l oyen Age 7. - Les étapes de l'Evasion 8. - Cascades et pirouettes 9. - Dans la beUe nn·ture 10. - Quelques I)ièces du mécanism e 11. - Agilité 12. - Savoir se retou rner dans J'exis- tence 13. - Français 100 % 14. - Noblesse oblige 15. - Conclusion , PRIX: 5 Fr. ËDITIONS NOUVELLES PARIS , , - • 1 , 1 , , ! 1 i , , 1 , 1 • , 1 1 , • , • • , Institut d'Etude des Questions Juives =====================, LEURS NOMS ••• Philosophie des Patronymes .... • ËDITIONS NOUVELLES PARIS K - • • • • • 1 • , • • • INTRODUCTION Il e.J1 vraiment regrettable que soient aussi J'aJ'es les pel'sonnes susceptibles de déceler l'activité jui- ve rien qu'à l'inspection des noms qui lem' tombent il ('haque instant SOllS les yeux. Mesurer ceUe ac- tivité dans les instants qu'on passe â lire son jour- 1lal, dans ceux où l'on consulle les annonces publi- citaires, où l'Oll regarde l'affiche d'un film ciné- matographique, où l'Oll parcourt le progra.m me d'uil spectacle Iltéâlral, ou bien quand on dechiffre. tOlll au IOllg des boulevards eL des rues, les noms des propl'iétaires de magasins et de boutiques, c'est se livrer à un ll'avai! fructu eux, parce q U'OIt !I peul apprécier ci: sa valeur exacle l'imporlance de ['envahissemellt de la France par les Juifs el lu prépondérance qu'ils se sont acquise dans noire commerce, dWls notre industrie, dWls nos arts, dans llotI'e littérature, dalls toute notre vie publi- que et meme .. , dans les faillites el [es faiis délic- tueux. Celui qui possede Ull lei discernem ent I le tarde /)us à acqucrir celle con viction profonde, il êtl'e {l'appé pal' celle évidence cl'ianle que le soJ'l de notre pays, comme celui de quelques auires nations européennes, s'est discuté, il la Société des Nations, entre des diplomates qui n'étaient aucunement qualifiés pOUl' représenter les unes ou les autres!, et dont [ 'inlél'êt ne pouvait se porter que sur leul' pl'Opl'C nation, la communauté juive universelle; que ioules nos fil'mes les plus impol'lantes, les plus wlcielllles, les plus honorablement connues, pas- saient une à une sous le conlrôle juif ou, si elles résistaient, étaient âprement con currencées, puis ,'emplacées par des entreprises spécifiquement jui- ves ; que tous les films étaient composés, mis en sceme, l'oués, fournés, présentés par 99 % d'enfants d'Israë ; que tous les auteurs dramatiques dont les pièces étaient admises a la seime et portées aux nues par ulle critique asservie. que la totalité des directeurs de théâtres, que la m ajorilé des acteurs appartenaient à la c' race élue :. ; que plus de 50 0/0 des magasins et des boutiques, dans nos voies pa~ risiennes les plus passantes et liS mieu::!." fréquin~ t4es, appartenaient cl eTes Juifs .. que ces dei'niers, - , • • LEURS NOMS ... enfin, avaient envahi la dentisterie, encombré la médecine, monopolisé les commel'ces de la four- l'ure, de la lingerie, des chapeaux, de la couture, des vêtements pour hommes, de la chaussure, de la maroquinerie, détenaient le J'ecord des failliles plus ou moins {l'Oudu/cuses el montraient leur nez dans toutes les {Jl'andes escroqueries. sans excep~ tion. Impossible de faire le m ainl/i'e mouvement sans se buter dWls un H ébreu ... Voilà oil. nous Cil étions hier encore, el où nous ell sommes presque au m ême point aujourd'hui. Mais qui donc se doutait de cela? Qui voyait ce- la? Qui s'élevait contre cela? Une infime minorité de Français qui, lorsqu'elle voulait élever la voix. Ile trouvait devant elle que des indifférents, des sceptiques ou des complices, une minorité qui se faisait moquer d'elle ou insulter, quand elle ne se faisait pas mettre en prison. Les temps ont cependant changé. Parmi nos com- patriotes, tous ceux qui n'ont pas l'entendement dé- finitivement oblitéré, tous ceux qui ont bien voulu prof Uer de la leçon fournie par les événements, tous ces gens- voient bien que le Juif a joué un rôle néfaste dans les destinées de la France. Mais, à de trés l'ares exceptions près, ils n'a ni pas pris cons- cience de l'importance du mal el de la puissance des moyens mis à son service, parce qu'ils ne se sont pas aperçus de l'importance numérique des Juifs dans notre pays, de la valeur des positions qu'ils occupent el de la multiplicité de celles-ci, En d'aulres termes, ils ne savent pas découvrir les Juifs là ou ils sont.., Pour ce motif, ils perdent l'occasion, en ne soupçonnant pas le péril, de réa- gir contre lui avec la vigueur nécessaIre el au mo- menl le plus propice. Parmi les divers moyens permettaitl de déceler le Juif, celui qui consisle à porter son atlention sur les patronymes, est peul-être celui dont nous pou- vons atlendl'e le plus de services immédiats: il est impossible de faire défiler lous les suspects devant soi et de se livrer sur leur personne à un examen morphologique attentif, détaillé et pertinent, Au reste, un tel examen reslera toujours le lot d'un.. petit nombre de spécialistes entrainés, et ne pourra jamais constituer qu'une épreuve terminale, ve- nant marquer d'un sceau scientifique une convic- tion étayée sur des indices d'une tout autre prove~ , LEURS NOMS ... 5 natice. PUl"/lli de lels indices, celui qui fait déco u- vrir davalltage de pistes, el les plus sérieuses, c'est le patronyme. Chaque événement Ult peu llo/able qui se déroille sur notre planète est, en effet, toujow's relaté, l'Q- caillé ou imprimé quelque pal't. LOI'SqUC les lloms sont donnés, il est loisible cl ceux que leur naturel pOlisse vers la cllI'iosilé de recheJ'cher, cn illspec- tant les noms, quelle a été la part exacle du .Iuif dans l'affaire. Là, d'aillelll's, commence la di fficul- té : l'apprenti c/wsseUl' risqlle de l'cvenir bre- douille d'ulle expédition ou l'homme expérimenté ne manqlle [Joint à ,'empliE' SOIl carnier ... Si tous les Juifs s'appelaient LJ~v Y avec adjol/ c- lion d'lin numéro d'immatriculation, la besogne s'cn il'DllUerait gralldement simplifiée .. aucun ell- Imillemenl spécial ne serail nécessail'e, el la ques- liO ll ne se poserail même pas. Malheureusement, 1l0US n'en sommes poillt encore au stade qui a été fJ'unchi en Allemagne, où les Juifs onl été pJ'iués du droil de s'allribuer un prénom aryen a leur convenance. pO Ul" être astuinls ri choisir S lll' une liste détel'millée de pI'énoms hébl'eux. I.e problème qui se pose. pOUI' nous (H/Il'es Fran- çais, esl dOlle le slliuQlzI ,' Un nom de personne ëtant donné, l'cconnaitl'e si ce nom est celui d'un Juif, ou bien celui d'un vrai naturel du pays, et ceci, avec le moins de chances (Ju'il se peul de commettre une el'l'eur, Mobilité des Patronymes juifs Disons-le toul de suite: contI'ail'ement li cc que pourraient croire les personnes qui Ile sc sont pa,.. livrées à uue étud e attentive de ceile question, la difficulté qu'on trouve il résoudre le pl'oblème tel ql.le nous venons de le pose/', cette difficllflé ne p/'o- vient pas tanl du fail que la plupart des Juifs pos- sedent des noms à C0l1S0nllance élI'ongcl'e. malai- Sés à distinguel' de ceux des naturels du palis auquel ce patronyme se l'attache, que du camouflage par lequel les porleul's de ces noms ont cherché à les fUll'(! passer inaperçus . • • - LllUR5 NOM!!,,, Alors que pour l'Aryen, Ion nom de famille ell une !iorte de pro priMé, une cl10se qua,,; sacrée, à laquelle il demeure fO l'l attaché, parce qu'clle fail partie de l'héritage qu'il lient de ses ancêtres .. alon que, cllez l'Arycll, c se fail'e ll/t nom , 011 t: laisseI' un nom » J c'est une lâche élevée, li laquelle il se con sacre de toul cœur, c'est Wl devoir qu'il accom- plit joyeusement, parce qu'il y voit ulle occasion de s'élever au-dessus de sa sphère. dans le tl'avail et daus lu dignité .. alon que chez les Aryens, cette fin ho- llOl'able se trouve encore poursuivie à tous les éta- ges de la société, parce que le nom J'eprésellte la fa- mille qui est la base même cie la société, il en ua tout aull'cmenl cJwz le Juif. Ce de l'nicl' Ile p,'oresse ni l'amollr, IIi même le respecl de SOIl nom, Il nc le porte pas: il le supporte comme LUI fardeau dont 'il est toujours prêt, loccasioll aidant, à 3C débal'- rasser, , Le Juif. Cil effet, est prompt à changer de person- nalilé, car c'est assez souvent pour lui un nécessaire moyen de défense. Il y hésite d'aulanl moins que la conservation du patrolll/me, du nom de ses pèJoes, c'est Ulle chose uploads/Litterature/ institut-d-x27-etude-des-questions-juives-leurs-noms-petite-philosophie-des-patronymes-juifs.pdf

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