Daniel Meurois Les maladies karmiques - les reconnaître, les comprendre, les dé

Daniel Meurois Les maladies karmiques - les reconnaître, les comprendre, les dépasser À tous qui en marge des idées reçues, ont l’audace de se poser de vraies questions. À touts qui en silence, défrichent la Conscience et l’évidence de demain. Aux Aimants qui acceptent de dépasser le verbe savoir. Sommaire Avant toute chose... Chapitre I - Premières approches À la découverte d’une notion Premières expériences Une banque de données Des éléments incontrôlables Un tourisme dangereux Un bagage plutôt lourd Un réflexe de protection Chapitre 2 - Du physique au psychologique Autopsie d’une culpabilité À la recherche des parallélismes Chapitre 3 - Les moteurs de la mémoire La peur La colère La vengeance La culpabilité Pourquoi maintenant ? Pourquoi cela ? Chapitre 4 - Phobies De l’akasha condensé Les classiques La phobie de Cécile Une personnalité qui se rebelle Le nœud se desserre Chapitre 5 - Verrouillages et niveaux de conscience L’ouverture d’esprit Le verrouillage Petites causes et grands effets Des réactions physiques Les données Un retour à la responsabilité Psychosomatique et génétique Cellules rebelles Chapitre 6 - Cas particuliers et histoires doubles Le bébé de Sandrine La mère et non l’enfant Une interaction évidente Un karma de couple L’aura de couple Chapitre 7 - Les dérapages La pensée collective Film éthérique et film akashique L’espace libre Les passés à la mode Les grandes figures classiques Une maladie mentale ? Trois séminaires et puis s’en vont... Les dégâts de l’inconscience Des clés pour le discernement Chapitre 8 - Le causal cause encore... Un passé simple Une autre cicatrice de jeunesse Chapitre 9 - Du côté du karma Quelques pas hors du temps Rendez-vous avec soi Rendez-vous avec les autres Les familles d’âmes D’autres traces karmiques Une fatalité ? Chapitre 10 - De la consolation au dépassement Approcher le pourquoi du pourquoi Exercice n° 1 : simplifier à l’extrême Exercice n° 2 : la parole aux cellules Exercice n° 3 : la visite du château Le bon moment Annexe Avant toute chose... Depuis une bonne vingtaine d’années beaucoup d’études ont été menées relativement à la nature énergétique du corps humain . Conformément à certaines traditions, de nombreux chercheurs, thérapeutes, écrivains se sont appliqués à explorer la structure subtile de notre être. Il était plus que temps que notre Occident, manifeste un début d’ouverture face à des concepts et réalité s qui ne sont pas directement accessibles à nos seuls 5 sens . Cette amorce d’ouverture, menée de façon équilibrée, ne sous-entend pas une plongée dans l’irrationnel, elle fait appel à la raison. Elle requiert du bon sens, qui devrait nous empêcher de nous cramponner à des dogmes et à une vision finie de nous et de ce qui nous entoure. À notre époque, où il devient de+/+banal de vivre parmi les ondes, de côtoyer les hologrammes, de jongler avec les mondes virtuels et de parler de cyberespaces, il n’est plus logique et rationnel de ne pas concevoir l’être humain que comme le fruit de qq combinaisons chimiques et d’influx électriques dus à un coup de maître du hasard. Quant à moi, ce ne sont pas des études au sens classique du terme qui m’ont fait me pencher sur le domaine qui constitue l’essence de ce livre. C’est une multitude d’observations "sur le vif" suivies de leurs rapprochements. Si j’ai été amené à me préoccuper de la nature subtile du corps humain et, par conséquence, d’une approche non conventionnelle de sa santé, c’est parce que la vie m’y poussait. De quelle façon ? En me dotant depuis l’enfance la capacité de voir les Auras , en m’offrant une prise directe et concrète avec l’abstrait. Lorsqu’au long de cet ouvrage, je vous entretiendrai des corps subtils, je ne vous parlerai pas de philosophie ni de théories. Je ferai uniquement référence à mon vécu. Au fil des années, je n’ai cessé de constater que l’être humain est avant tout une Mémoire, qui ne se manifeste pas simplement au niveau de la conscience mais qui imprègne toutes les couches de sa réalité jusqu’au cœur de la cellule, une mémoire qui transcende le temps, qui en permet une autre compréhension, une mémoire qui ne se limite pas à l’espace d’une vie, mais qui se répercute d’une existence à une autre. D’observations en observations, les évidences ont fini par s’imposer à moi, que l’âme humaine ne connaît pas qu’une seule existence dans un corps mais s’incarne un grand nombre de fois, que cette âme transporte avec elle, bien qu’inconsciemment, ses souvenirs, ses capacités et ses handicaps, qui peuvent être à l’origine de grands troubles de la santé et que l’on appelle "maladies karmiques". Les pages qui suivent présupposent la réalité de la réincarnation . Les pénétrer demandera au lecteur d’accepter, dès le départ, le postulat des vies antérieures, d’y être ouvert. Vous le constaterez, mon but n’est pas d’y prouver quoi que ce soit ni d’y prêcher une quelconque doctrine. Je témoigne de cas marquants et significatifs, tous authentiques, susceptibles d’amener des réflexions et des prises de conscience. Les maladies karmiques s’adresse pas à des convaincus qu’à des sceptiques. Il s’agit d’un livre à lire avec la tête et le cœur, éliminer le maximum d’a priori, d’accumuler les pourquoi pas ? C’est un outil de maturation et de réflexion, un instrument pour les thérapeutes et pour ceux qui souffrent d’un trouble inexplicable ou profond... et qui cherchent à comprendre. Je l’ai voulu simple et abondamment parsemé d’exemples afin que ce voyage dans les profondeurs et sur les cimes auxquelles il vous convie soit des plus agréables... des plus enrichissants. Chapitre I Premières approches Cathy venait juste de franchir la porte de ma salle de travail. La quarantaine, très soignée de sa personne, elle laissait percer, dans la profondeur de son regard, une forme de tristesse ou de lassitude. C’était la première fois que nous nous rencontrions. Je ne savais rien d’elle en dehors de ce qu’elle avait tenu à me confier par lettre. « Depuis ma vingtième année, je souffre de terribles crises d'asthme . Hormis de courtes périodes de répit, ma vie a toujours été ponctuée par les manifestations régulières de cette maladie. Rien n’y fait. J'ai tout tenté, j'ai goûté à tous les produits, à toutes les cures. Il y a eu des moments d'accalmie, d'amélioration, au cours des- quels j'ai cru pouvoir m'en sortir mais, les crises ont réapparu et je me retrouve aujourd'hui au même point. » L’histoire de Cathy était classique : un emploi de secrétaire de direc- tion dans une petite société, un mari avec lequel elle di- sait être heureuse et trois enfants dont un entrait à l’Université. Beaucoup moins classique était cette démarche qui l’amenait vers moi. Ouverte à l’idée que l’être humain est beaucoup plus que ce que la bio- logie et ses microscopes mettent en évidence, elle en était venue à me demander une Lecture de son Aura, ultime démarche, me disait-elle, dans ses tentatives de recouvrer la santé. Au-delà d’espérer retrouver une vie normale, loin des urgences des hôpitaux et des pompes à cortisone, elle voulait tout au moins comprendre le pourquoi de ce handicap. La lecture d’aura prévue débuta de façon conventionnelle. /"Les Robes de Lumière" A et DMeurois-Givaudan À l’aide d’un variateur de lumière, je fis la pénombre et Cathy alla se placer face à moi, le dos à un mur blanc. Au bout de qq minutes consacrées à la perception et à l’étude des premières radiations ou manifestations lumineuses de son corps, mon travail changea complètement d’orientation. Ce n’était plus les réseaux d’énergie subtile parcourant les diverses couches de son aura qui voulaient s’Exprimer . La silhouette de Cathy s’effaça de mon champ de vision. Un grand voile de lumière blanche, semblable à un écran laiteux s’était spontanément substitué à elle en une fraction de seconde, estompant le cadre de ma salle de travail. Sachant ce que cela laissait augurer, je m’abandonnai à cet état de fait. Sur l’écran laiteux, une scène apparut , une scène en mouvement, en couleurs, en sons, en reliefs. Tout mon être se trouvait projeté dans un décor, une action : « Le ciel était blanc, il faisait humide et "nous" étions dans une grande cour semblable à celle d'une usine désaffectée. À l'une de ses extrémités, il y avait des petits bâtiments en briques recouverts de tôles. Sur le sol, c'était de la boue. Des flaques d'eau partout... Il y avait beaucoup de femmes dans cette cour. Elles marchaient, se traînaient en rangs vers je ne savais quoi, sous la garde de qq soldats, mitraillettes au poing. L'atmosphère était épouvantable et j'ai compris dans quel terrible passé ma vision m'entraînait. D’autres scènes se succédèrent ensuite, à peu près toutes semblables. Tantôt mon regard me paraissait être extérieur à la scène, tel celui d’une caméra impersonnelle, tantôt il était celui d’une jeune femme dans la vingtaine, totalement épuisée. Je savais qu’il était celui d’une jeune femme. Je n’aurais pu dire pourquoi mais c’était une certitude gravée au fond de moi. Enfin, le décor changea radicalement. Les femmes, qu’on finissait uploads/Litterature/ les-maladies-karmiques.pdf

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