lu HOWARD MENGER s , E Récit de contacts avec des équipages de soucoupes volant

lu HOWARD MENGER s , E Récit de contacts avec des équipages de soucoupes volantes Illustré de 30 photos originales DERVY c MES AMIS LES HOMMES DE L'ESPACE HOWARD MENCER MES AMIS LES HOMMES DE L'ESPACE Traduit de l'américain par J. P. CROUZET DERVV-LIVRES 1, rue de Savoie PARIS VI• C by Sancerian-Publication. Clarksburg. U.S.A. \tl) by Dervy-Livres. Paris. Septembre 1965. TABLE DES MATIÈRES Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 Chapitre Premier : La jeune fille sur un rocher . . 51 Chapitre 2 L'homme en kaki . . . . . . . . . . . . . . . . 60 ChaJ)itre 3 Une rencontre à Hawaï . . . . . . . . . . . . 69 Chapitre 4 Sauvé de justesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 Chapitre 5 Une prédiction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81 Chapitre 6 Retour aux Etats-Unis . . . . . . . . . . . . 88 Chapitre 7 Chapitre 8 Chapitre 9 Chapitre 10 Chapitre -11 Chapitre 12 Chapitre 13 Chapitre 14 Chapitre 15 Chapitre 16 Chapitre 17 Chapitre 18 Chapitre 19 Le. lieu no 2 ..... .... ...... .. . . .. . L'explosion du disque . ... . ....... . . Des appareils étranges .. . . ....... . Coiffeur pour hommes de l'espace. Le disque d'observation . ...... . . . Une curieuse table ronde ... ... ... . 97 106 115 122 127 134 Les facultés psychiques supérieures. 144 Mon histoire transpire . . . . . . . . . . . . 152 Le champ antimagnétique . . . . . . . . 158 Mes témoins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166 La police . . . . . . . . . . . . . • . . . . . . . . 172 Musique de Saturne ....... .. . . .. . Le projet lune ........... .. . . .. . 178 185 MES A.MIS, LES HOMMES DE L'ESPACE 313 Chapitre 20 L'orbite autour de la lune . . . . . . . . 195 Chapitre 21 Un grand instructeur venu de l'espace 200 Chapitre 22 Voyage dans un astronef vénusien ; orbite autour de Vénus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 211 Chapitre 23 : Voyage vers la lune . . . . . . . . . . . . . . 217 Chapitre 24 : Atterrissage sur la lune et visite d'installations lunaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225 Chapitre 25 L'apparition mystérieuse . . . . . . . . 232 Chapitre 26 Conférence en Amérique . . . . . . . . . . 251 Chapitre 27 Maria . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • . . . 261 Chapitre 28 Les couples naturels . . . . . . . . . . . . . . 268 Chapitre 29 Chapitre 30 Chapitre 31 L'automobile fantôme Questions et réponses Des expériences 278 285 304 INTRODUCTION J'ai traduit de l'américain en français le livre de M. Howal'd Menger parce que c'e• st le meilleur ouvrage du monde à propos des mystérieux aéronefs que l'on voit de temps à autres dans les cieux de notre planète et que l'on appelle communément, depuis 1947 : des soucoupes volantes. Avant de publier l'ouvrage de M. Menger, je pense qu'il serait bon, pour apprécier exactement toute sa valeur, que nous fassions d'abord le point exact de toutes nos connaissances à propos des soucoupes volantes. Ces mystérieux appareils existent-ils vraiment ? Cela ne fait absolument aucun doute : en 1964 plus de 45 000 observations (1) de soucoupes volantes sont à la disposition de ceux que ce sujet intéresse. Je parle d'observations indéniables, non pas d'observations d'aberrations optiques, de phénomènes météorologiques, de baillons-sondes, etc. Donc, plus de 45 000 personnes ont déjà vu ces soucoupes volantes, qui planaient ou fonçaient dans (1) Chiffre officiel indiqué par · le Directeur de • la Commis- sion Soucoupe de l'U.S. Air Force. 8 MES AMIS, LES HOMMES DE L'ESPACE le ciel à une vitesse fantastique et repartaient en s'éle- vant à des altitudes complètement hors des possibilités de nos aéronefs mécaniques. Je peux d'autant moins douter de l'existence de ces soucoupes volantes, de ces aéronefs mystérieux, que moi-même, J'EN AI VU UNE! C'était un soir du mois de juillet 1961. Ma femme et moi étions en vacances dans ce délicieux bourg qui s'appelle Cavalaire ; nous étions à l'Hôtel des Bains. Cavalaire (Var) est une petite agglomération qui jouxte ce qui est, . à mon avis, la plus magnifique plage de sable fin de tout le littoral méditerranéen. Le matin, l'eau est limpide ; la mer est d'un joli bleu azur ; on nage, on se rôtit agréablement au soleil. Les collines sont couvertes de forêts de mimosa. Même la garrigu.e, parsemée de petits buissons épineux et de pins parasols, est un vrai plaisir, car elle aussi est merveilleusement pittoresque, et originalement sonorisée par le bruisse- ment des criquets et des cigales, qui a sur le système nerveux humain un effet tranquillisant certain. C'est un vrai plaisir de l'exP'lorer, de se fondre momentané- ment dans sa tranquiHité paisible, qu'on jurerait créée pour tenter le talent de cinéastes poètes et conscients des beautés du monde où nous vivons. Chaque soir après notre dîner, ma femme et moi nous nous donnions le bras et allions marcher le long de la mer impre· ssionnante, qui poussait des longs soupirs réguliers, ou bien sur la route dans la direc-- tion de Toulon. A cette époque il n'y avait pas trop d'automobiles sur cette belle route qui réunit Toulon à Nice ; on pouvait marcher tranquillement dessus sans risque de se faire écraser. La route s'enfonçait à travers des bois de pins et des taillis résineux où des cigales MES AMIS, LES HOMMES DE L'ESPACE 9 chantaient philosophiquement. Le calme paysage était baigné d'une merveilleuse lumière lunaire. Une sorte d'atmosphère enchantée, de présence divine et de bon- heur parfait imprégnait tout. C'est pendant une de nos promenades du soir sur la route de Cava1 laire à Toulon que je vis moi-même de mes yeux, tandis que nous marchions vers Cavalaire, ma première soucoupe volante. Ce fut grâce à ma femme. Soudain, eLle me dit : «Regarde, une soucoupe volante ! » Je levai la tête, et, effectivement, je vis, se déplaçant rapidement dans le ciel devant nous, bien plus vite qu'un avion, au-dessus de la baie, un aéronef brillant · qui n'était pas un avion, et qui avait bien la forme des astronefs photographiés et popularisés par M. Adamski dans ses passionnants ouvrages. Je suis d'autant plus capable de bien reconnaître un avion que je suis titulaire du brevet de pilote t·· degré, conquis à l' Aérodub Paul Tissandier de Saint- Cyr-l'Ecole. Ce que je voyais se déplacer rapidement dans le ciel de Cavai laire n'était pas un avion, mais certainement un astronef pareil à ceux photographiés par M. Adamski. Mai• s }e ne dirais pas qu'il avait une forme de cloche. Il avait la forme d'un triangle équi- l• atéral, un des angles étant au sommet. Cet aéronef en forme de triangle était lumineux, blanc, comme si des projecteurs l'avai· ent illuminé ou comme si ses parois avaient rayonné de la · lumière. Il se déplaçait à une centaine de mètres au-dessus ' de la mer, bien plus vite qu'un petit avion de tourisme. J'eus le temps de bien voir sa forme parfaitement distincte ; ensuite H devint invisible. Peut~être disparut-il derrière un nuage ? Mais j'avais eu le temps de recon- naître un astronef dans le même genre que ceux que 10 MES AMIS, LES HOMMES DE L'ESPACE j'avais vus photographiés dans l'ouvrage de M. Adamski Les soucoupes volantes ont atterri. Donc, que l'on ne me demande pas de douter de l'existence de ces astronefs. Un astronef exactement semblable a été photo- graphié à Saint-Raphaël, à quelques kilomètres de Cava- laire ! Cette photo est visible dans l, e liv:œ de M. Charles Gareau Alerte dans le ciel (Edit. du Grand Damier), p.34. Ces mystérieux aéronefs parfois vus dans : l'atmo- sphère , commencèrent à être connus du public à partir de 1947, grâce à l'initiative d'un businessman améri- cain, Arnold, qui en avait indéniablement vus de l'avion uploads/Litterature/ menger-howard-mes-amis-les-hommes-de-l-x27-espace-pdf.pdf

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