1 A lire : ◙ DESROCHE (H), Apprentissage en sciences sociales et éducation perm

1 A lire : ◙ DESROCHE (H), Apprentissage en sciences sociales et éducation permanente. Paris, Les Editions ouvrières, 1971, 195 pages. ◙ ROMI (R), Méthodologie de la recherche en droit, Ed. Litec, coll. « Objectif droit », 2006, 157 pages ◙ ROUVEYRAN (J.-C), Mémoires et thèses, L'art et les méthodes, Paris, Ed. Maisonneuve et Larose, 1989, 197 pages LE SUJET DU MEMOIRE : La préparation d’un mémoire en droit est l'occasion de réfléchir sur un sujet précis et actuel. L'objectif est de montrer une expertise, dans un domaine qui intéresse les praticiens dans leurs pratiques professionnelles, et/ou sur une question théorique déterminée (mémoire de master 2). Le sujet doit être précisément délimité. En principe, le sujet doit être innovant. Une erreur courante consiste à choisir un sujet large. Or, un sujet trop large ne peut pas être traité efficacement dans un mémoire (qui n’est pas une thèse) et ne permet pas de dépasser le stade des généralités. En revanche, un sujet restreint apporte des réponses concrètes aux questions posées, tout en offrant une expertise générale. La question centrale et la problématique : Tout travail comporte une question centrale. Pour déterminer la question centrale de son mémoire, l'étudiant pourra s’inspirer de l’évolution du droit positif en cours, et des débats doctrinaux dont la presse spécialisée se fait l’échos. Une question centrale se présente sous la forme de l'exemple suivant : "Quelle est l’impact de la réforme de la décentralisation mise en œuvre par le gouvernement sur les formes et les pratiques de la démocratie locale en France ? ". La problématique est une reformulation de la question centrale, en y ajoutant des hypothèses, qui sont autant de propositions de réponses qui seront testées dans le mémoire. La formulation de la problématique (dans l’introduction), ne correspond pas à une simple « cascade de questions ». Il s’agit de dire le plus précisément possible en quoi le sujet traiter pose problème en droit. Il n'est donc pas possible de construire une problématique sans une connaissance préalable minimale du sujet. Afin de construire la problématique, il convient de faire un état de la littérature spécialisée. Une problématique trop large ou non apparente nuit à la valeur MEMOIRES DE MASTER NORMES DE PRESENTATION DES MEMOIRES Conseils méthodologiques d’Éric MONDIELLI pour la présentation des mémoires 2 générale d'un travail. Cette problématique est ensuite confrontée au terrain, ce qui constituera le plan du mémoire  Le mémoire, d'une taille raisonnable (au moins 50 pages, 80 pages au maximum) est un travail universitaire de niveau Bac + 4 (ce volume n’est qu’indicatif)  ATTENTION : Ce mémoire est un travail original, toutes formes de plagiat ou de « recopiage » sur internet sont strictement interdites : Tous les devoirs ainsi que les mémoires seront passés au logiciel anti- plagiat « compilatio » utilisé par l’université de Nantes. Les étudiants devront faire figurer en dernière page de leur mémoire l’engagement plagiat    Il doit reposer sur l’étude d’une bibliographie et sur des sources originales (documents officiels publiés de caractère international ou national, documents institutions publiques nationales ou d’institutions internationales intergouvernementales ou non gouvernementales, d’ouvrages généraux ou spécialisés, d’articles issues de revues scientifiques, documents d’archives, presse, etc.) qu’ils soient disponibles sous forme classique ou sur internet. Les références à ces sources ou à cette bibliographie doivent être clairement présentées sous forme de notes de bas de page. Le mémoire doit être synthétique et critique, tout en reposant sur une solide problématique et sur un plan organisé qui permet d’y répondre.    Le mémoire format numérique sera à envoyer sur la plateforme du MDIEDF (extradoc http://extradoc.univ-nantes.fr )                 3 I) Quels sont les éléments que doit comporter obligatoirement un mémoire ? Un mémoire comporte obligatoirement les éléments suivants :  Couverture   Page de garde   Remerciements (facultatif)   Table des sigles et abréviations (facultatif mais très utile)   Introduction   Développement (corps du mémoire)   Conclusion   Sources et bibliographie   Annexes ou pièces justificatives (facultatif)   Index (facultatif d’une manière générale, mais très utile pour « naviguer » avec des mots clés dans un travail de mémoire ou de thèse)   Table des matières Résumé en français et/ou en anglais de 10 lignes en dernière page de couverture [4ème de couverture] (très conseillé)  4 II) Conseils généraux sur la mise en forme du mémoire  Le mémoire est « dactylographié » (au recto seulement) et paginé (couverture et page de garde sont hors pagination). Eviter les pages bis, les paginations multiples, les chiffres romains.  Il est conseillé de paginer en haut à droite, ce qui facilite la recherche d’une page précise.  Typographie : → dans le corps du texte, utiliser de préférence des caractères usuels et confortables à l’œil (Times New Roman ou Arial), en taille 12 ; → prévoir un peu plus petit (taille 10) pour les notes infrapaginales (note en bas de page (ou note de bas de page).  Bien que la mode se perde, il est préférable de marquer l’alinéa (retrait de 1,25 cm). Les titres, sous-titres et intertitres doivent être parfaitement hiérarchisés. Veillez à bien utiliser systématiquement le même type de caractère pour des titres de niveau équivalent  Espacement entre les lignes : il doit être égal à 1,5 (pour les notes et les paragraphes de citation, se contenter de 1). On peut resserrer légèrement la typographie pour les sources et la bibliographie, mais ce n’est pas une obligation.  Marges : elles doivent être « normales » (2,5 cm en haut, en bas, à droite et à gauche). On peut éventuellement prévoir une marge un peu plus large à gauche (3 cm) pour compenser la perte de place due à la reliure.  Alignement : ne jamais oublier de justifier texte et notes (justifier signifiant, en typographie, donner à ses lignes une longueur précise pour que chaque paragraphe forme un carré régulier) : le traitement de texte rend cette opération très facile.  Numéroter chaque paragraphe (de 1 à … ) , il est ainsi plus facile pour le lecteur de se repérer dans le texte ; de plus la numérotation des paragraphes permet de plus rapidement procéder à des corrections pour l’auteur du mémoire 5 III) Présentation des diverses parties du mémoire 1 - PAGE DE TITRE ET/OU COUVERTURE :  La couverture est obligatoire et comporte (voir exemple) : Le nom de l’Université : Université de Nantes Le Titre du travail qui indique clairement le contenu : XXXXXXXXX (titre en gras et en gros caractères ; il doit être centré et occuper la partie médiane de la couverture). Diplôme : Master 2 de droit international et européen des droits fondamentaux Mention : Mémoire Nom et Prénom de l’auteur Directeur de mémoire : Mémoire préparé sous la direction de Monsieur Éric MONDIELLI, Professeur des Universités) Année de soutenance : 2022 NB : L’ordre et la disposition de ces divers éléments n’obéissent à aucune norme mais doivent être clairs et agréables à l’œil : il est donc recommandé de faire ressortir le titre en gras et en gros caractères ; il doit être centré et occuper la partie médiane de la couverture. L’illustration de la couverture est facultative (mais recommandée) et laissée à l’appréciation du candidat. La page de couverture est répétée en page de garde, mais sans aucune illustration. 2 - PAGE DE GARDE BLANCHE (NON NUMEROTEE) 3 - La 2ème PAGE porte obligatoirement la mention suivante : « Les opinions exprimées dans ce mémoire sont propres à leur auteur et n'engagent pas l'Université de Nantes) 6 4 - REMERCIEMENTS (EVENTUELLEMENT) à l'exception du directeur de recherche « qu'il est d'usage de ne pas remercier ». NB : En général, ce genre littéraire est à éviter, sauf gratitude exceptionnelle (par exemple : le possesseur d’un fonds privé d’archives qui a communiqué ses documents). Cela veut dire qu’on ne remercie pas son directeur de recherches, ni les divers services où l’on a travaillé. Quoi qu’il en soit, les remerciements doivent rester sobres. 5 - LISTE DES ABREVIATIONS Sigles, abréviations, règles typographiques ➢ L’usage actuel est de ne pas mettre de points entre les lettres. Ex. : SNCF (non S.N.C.F.). 6 – LE SOMMAIRE (tenant sur une page et comportant les principales Subdivisions (titres des parties et des sous parties seulement) Le sommaire se place en début de document, avant l'introduction. Contrairement à la table des matières, il est non paginé et peu détaillé (parties, chapitres et sections) 7 - INTRODUCTION L’introduction présente rapidement et clairement le sujet traité, c’est-à-dire : les raisons de son choix, la ou les problématique(s) qu’il pose, les travaux antérieurs (s’ils se rattachent directement au sujet), les sources utilisées et éventuellement celles qu’on n’a pas pu consulter (en indiquant pourquoi), les difficultés d’ordre méthodologique rencontrées. Une critique minimum des sources est généralement très souhaitable à ce moment.  Petite astuce : Il est recommandé de rédiger uploads/Litterature/ methodologie-memoire-m2diedf 1 .pdf

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