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Formation en comptabilité Le personnel de l’Université d’Indiana de Pennsylvani

Formation en comptabilité Le personnel de l’Université d’Indiana de Pennsylvanie a déjà reçu un appel inhabituel. Une femme contrariée en provenance du Canada leur a dit qu’une de ses étudiantes l’avait embauchée pour le tromper, mais qu’elle ne l’avait pas payée. «La femme a déclaré:« J’ai suivi un cours en ligne pour un de vos étudiants et je peux le prouver », a rappelé Lynnan Mocek, Ph.D., agent de liaison de l’université en matière d’intégrité universitaire. "Elle a indiqué quel était le cours et a envoyé des photos et beaucoup de choses pour preuve." Il s'avère que l'étudiant a payé 500 $ à quelqu'un pour suivre le cours, mais la personne qu'il a embauchée a ensuite confié le travail à une femme au Canada, qui n'a pas été payée. Malheureusement, attraper les étudiants qui contractent la tricherie est rarement aussi facile. La triche contractuelle est réalisée à bien des égards. Les étudiants peuvent utiliser un moulin à papier pour rédiger un article, payer un camarade de classe pour qu’il accomplisse une partie de la tâche ou engager quelqu'un pour passer un test. «C’est un problème extrêmement épineux», a déclaré David Rettinger, Ph.D., président du Centre international pour l’intégrité académique, qui vise à lutter contre la tricherie, le plagiat et la malhonnêteté académique dans l’enseignement supérieur. "Et c’est vraiment difficile à prévenir si vous ne prenez pas de mesures actives." La recherche indique que la triche contractuelle est à la hausse. Les données indiquent que depuis 2014, environ 15,7% des étudiants dans le monde reconnaissent avoir pratiqué la tricherie à contrat. Cependant, Rettinger, qui est également professeur agrégé de sciences psychologiques à l’Université de Mary Washington en Virginie, note que la seule prévalence ne permet pas de saisir la gravité du problème. C’est parce que même un étudiant qui contracte un contrat peut tromper l’intégrité d’une université, a-t-il déclaré. Voici comment le corps professoral peut aider à identifier et à combattre le problème: Logiciel de détection. Veronica Paz, CPA / CITP / CFF, CGMA, Ph.D., professeure agrégée de comptabilité à l’Université d’Indiana, soumet des travaux écrits via Turnitin’s Feedback Studio, un logiciel Web permettant de détecter le plagiat. Il est utile dans les cas de tricherie contractuelle dans lesquels le salarié n'a pas soumis le travail original. SafeAssign by Blackboard est un autre logiciel de détection. En règle générale, les universités ont souscrit à un ou plusieurs de ces services auxquels les professeurs peuvent avoir accès. Paz informe ses élèves que leurs travaux écrits seront comparés à la base de données de Turnitin. «Il ne s’agit pas de les tromper. C’est plus sur le fait que nous voulons qu’ils apprennent, fassent leur propre travail et obtiennent le grade », a-t-elle déclaré. Turnitin a récemment publié un nouvel outil, Authorship Investigate, spécialement conçu pour aider à identifier les contrats frauduleux, a déclaré Bill Loller, vice-président de la gestion des produits chez Turnitin. Authorship Investigate compare les aspects d’une tâche (lisibilité, ponctuation, vocabulaire et changements de mise en page) afin de détecter les différences majeures entre les styles de rédaction des étudiants, a précisé Loller. Missions personnalisées. Rettinger suggère que les professeurs lient les travaux écrits aux activités en personne. Par exemple, vous pouvez demander aux étudiants de rédiger en classe un travail d'écriture de 15 minutes sur le sujet traité ou de faire une présentation orale. Lorsque le temps le permet, les professeurs peuvent également avoir une discussion individuelle avec les étudiants sur le sujet de leurs travaux, a-t-il déclaré. Bien que ces conversations visent à approfondir les idées sur lesquelles elles ont été écrites, elles peuvent également servir de moyen de détecter la triche. "S'ils ne peuvent pas avoir une conversation intelligente à ce sujet, je vais rester sceptique", a-t-il déclaré, ajoutant qu'un examen plus approfondi du travail d'un étudiant serait justifié. Tests surveillés. Les logiciels Proctor, tels que Proctorio, ProctorU ou Examity, offrent des fonctionnalités destinées à décourager la fraude lors des examens, telles que la vérification de l'identification, la surveillance automatique et / ou la surveillance en direct par webcam, ont déclaré Mocek et Paz. Le logiciel contient des outils de surveillance en classe qui incluent une fonctionnalité permettant de verrouiller l’accès Internet d’une salle de classe pendant les examens, ce qui empêche les étudiants d’utiliser des appareils pour rechercher des réponses en ligne. Il permet également la surveillance en ligne, ce qui est utile lorsque les professeurs enseignent des cours en ligne tout en prenant des mesures pour dissuader les clients de tricher. «La clé est la flexibilité pour les étudiants», a déclaré Paz, qui a utilisé le logiciel pour des examens en personne et en ligne. "Ils peuvent passer l'examen à tout moment de la période ouverte s'ils utilisent le logiciel de surveillance." Certaines universités exigent que les étudiants passent des examens en personne dans des centres de contrôle surveillés afin de lutter contre la tricherie, a-t-elle ajouté, ce qui peut être particulièrement utile pour dissuader les étudiants d'embaucher du personnel pour passer des tests à leur place. Cette approche peut toutefois être problématique si tous les étudiants n’ont pas accès à un centre de dépistage désigné. Une solution, du moins pour les petites classes, consiste à utiliser un programme tel que Zoom, un logiciel Web proposant la vidéoconférence. «Il existe une fonction d’enregistrement et vous pouvez enregistrer l’élève qui passe l’examen pendant toute la durée de l’examen et le relire plus tard», a déclaré Paz.       4533/5000 Nombre maximal de caractères : 5000 Hé, hé, hé, tout le monde! Il est temps d’examiner de plus près une autre tentative de TurnItIn de lutter contre la tricherie provoquée par et indirectement stimulée par le développement de divers services d’écriture papier. Pour ceux qui ne le savent pas, TurnItIn est l’une des principales entreprises proposant des solutions de détection du plagiat à la fois pour les universités et les utilisateurs privés. Afin de ne pas vous surcharger de détails inutiles sur la société, je vais simplement vous dire qu'actuellement TurnItIn est l'un des contrôleurs de plagiat les plus puissants et les plus fiables. C’est pourquoi, si votre université utilise TurnItIn pour vérifier le plagiat de textes, je vous recommande vivement de vous assurer de l’originalité de votre document. Dans le cas contraire, vous risquez de vous faire prendre. Par conséquent, il n’est pas surprenant que TurnItIn se positionne également comme fournisseur de diverses solutions anti-triche pour les collèges et les universités. En effet, outre son célèbre logiciel anti-plagiat, la société entend vérifier l'originalité des textes soumis de manière différente. On s'attend à ce que leur nouveau logiciel détecte si vous êtes un auteur original du texte ou non. Leur solution s'appelle «Enquête sur l'auteur», qui vise à atteindre cet objectif ambitieux. Alors, qu'est-ce que cela signifie? Cela signifie qu’en plus du logiciel de plagiat, TurnItIn créera un algorithme qui prouvera votre paternité du texte. Ou pas. Personnellement, je peux difficilement comprendre comment on peut prouver l’auteur en utilisant un algorithme électronique. Je pense donc personnellement que la nouvelle idée de TurnItIn créera plus de malentendus et de confusion parmi les utilisateurs au lieu de les aider. Et voici pourquoi. Il est encore en développement… Fondamentalement, nous ne savons pas grand chose de ce logiciel, y compris de ses algorithmes, de ses mécanismes et de ses principes de fonctionnement, etc., qui rationalisera directement le processus de détection de la paternité. La seule chose que nous savons actuellement est que «avec l'aide de chercheurs universitaires en intégrité, de linguistes légistes et d'experts en apprentissage automatique, les compteurs Authorship Investigation» («Turnitin - Authorship Investigation», 2018) menacent de tricherie en ligne et d'écriture fantôme. Mais le rapport existe déjà! Malgré le fait que cette fonctionnalité reste clairement brute et inexpliquée, les utilisateurs de TurnItIn ont déjà la possibilité de l'utiliser et de prouver la qualité d'auteur de leurs textes. Et croyez-le ou non, c’est l’un des rapports les plus stupides que j’ai jamais vu dans ma vie. Selon les informations dont nous disposons concernant l'utilisation de Authorship Report, celui-ci contient ce que l'on appelle une «échelle de lisibilité», des informations sur les documents, la ponctuation et le vocabulaire. Permettez-moi de préciser les choses, ces paramètres ne montreront pas la paternité du texte et ne le prouveront jamais. Voyons de plus près, pourquoi. L'échelle de lisibilité utilise simplement un algorithme spécifique pour comprendre la complexité globale du texte soumis. Cela suppose qu'avec une utilisation plus simpliste des mots et des phrases, le texte sera très probablement détecté comme «niveau secondaire», par exemple. Au contraire, les textes plus complexes seront marqués comme "niveau bachelor", "master" etc. Les informations sur le document ne font que vérifier les métadonnées des fichiers soumis. Si le fichier a été initialement complété par une personne et «enregistré pour la dernière fois» par une autre personne, il sera considéré comme un drapeau rouge. Ils disent également que l'utilisation de la ponctuation est propre à certains auteurs. Sans vouloir vous offenser, vraiment, je pensais que la ponctuation était une question de grammaire et non une question uploads/Litterature/ nouveau-document-microsoft-word 5 .pdf