Psychiatrie 19 pages [1] : B C’est un des pôles cliniques des schizophrénies. [

Psychiatrie 19 pages [1] : B C’est un des pôles cliniques des schizophrénies. [2] : C Idées délirantes de négation d’organes, d’immortalité et d’incurabilité. (Q.C.M. difficile, car peut se rencontrer plus rarement dans certaines schizophrénies). [3] : B La conversion ne comporte pas de lésions objectivables. A - La conversion fait partie de la névrose hystérique, ce qui est différent de la personnalité. C - Par définition. D - Rare, mais vrai. E - Bien sûr, l’hypnose en est la preuve. [4] : D Q.C.M. difficile. La phobie sociale est une phobie limite, donc A - Est vrai. D - Est un signe de psychose. [5] : A B E - C’est évidemment le contraire. A - Erotisation des rapports. B - Immaturité affective. [6] : D E E - Sine qua non - C’est le dernier signe à persister à la guérison. [7] : B C B - Est la définition. C - Est vrai et souvent suivi de signes dépressifs. Mais il existe en même temps que le geste, une anxiolys.e D - Est donc faux. A - Est faux. E - Est faux bien sur. [8] : A E A - Oui, à thème de merveilleux. D - Atteint le sujet âgé, mais différent de la démence sénile. E - Est extraordinairement vrai, il n’y a pas d’évolution déficitaire. [9] : B 2 - Antihistaminiques. 4 - benzodiazépines. Ne sont pas responsables de tels troubles. [10] : D Fait partie des troubles de la pensée. Pensée froide, pseudologique. [11] : D Car trop élevée pour une S.E.P. [12] : B Par inhibition de libération hormonale, d’oû rintérêt de vérifier la fonction thyroïdienne avant la prescription dune lithothérapie. [13] : C On demande le plus évocateur. A B et D - Sont bien sûr présents, mais C est spécifique de la schizophrénie. [14] : D A - Mode d’entrée très rare. C - Le contraire: augmentation de l’activité et contacts sociaux. [15] : D Antagoniste spécifique, se fixe sur les récepteurs centraux de la morphine. Son affinité étant plus grande, elle déloge la morphine. Utilise dans les overdoses aux dérivés morphiniques. [16] : D Le délire passionnel est un délire paranoïaque, donc, “en secteur ce qui s’oppose à A et C (forme clinique de schizophrénie), qui présente une organisation en Réseau’. [17] : C Le théâtralisme fait partie des symptômes hystériques. L’obsessionnel a au contraire une tendance à la timidité et rintroversion. [18] : C En général, très précoce dans l’autisme, ce signe est le premier à apparaître. [19] : A B C D E Le syndrome dépressif de l’enfant est polymorphe. Il faut aussi savoir que (E) sera recherché. [20] : B D E B - ECG recherchant une cardiopathie sévère, troubles du rythme et de la conduction. D - Recherche une insuffisance rénale. Le lithium est élimine uniquement par cette voie. E - La lithémie bloque la libération des hormones préformées. A et C - Concernent la prescription de tricycliques. [21] : C L’origine est interne. Le reste des items ne sont que la décomposition de la définition. [22] : C Sans commentaire. [23] : C Taux toxique: 1,3 mMol/l d’où la stricte surveillance. [24] : C A - La simulation est inconsciente. B C - Par définition même. D - Anxiété. E - Il n’existe pas de lésions objectivables. [25] : C Bien sur que non. Cf question [21]. [26] : A B C E A - Surtout pour les neuroleptiques desinhibiteurs. Les syndromes extrapyramidaux apparaissent à n’importe quel moment dans la cure. B - Rabbit syndrom. C - Par désinhibition hypotalamique. D - Fréquente. [27] : C 4 - Vrais, surtout chez l’enfant. 3 - Pour les phobies limites, ce qui est un peu différent. [28] : B C’est le signe... [29] : B Un certificat médical de placement à 24 heures, au de 15ème jour est nécessaire. Un arrêté préfectoral permet la sortie sur demande médicale. D - Concerne les placements volontaires [30] : B Est évidemment faux par définition. La dépendance physique entraîne un sevrage à l’arrêt brutal de la drogue. [31] : C C - Les deux personnes pouvant lever un Placement-Volontaire sont le demandeur et le médecin du service d’accueil. 1 - Concerne le placement libre 3 - Concerne le placement d’office [32] : D 1 - Ne servirait strictement à rien 2 - Non, car le trouble du langage n’existe qu’à l’école 3 - Pas à 4 ans [33] : B A - Est vrai. Par définition, le quotient intellectuel est une notion statistique (Age mental! Age réel) x 100. B - Est faux. D - Est critiquable - Q.CM. difficile. [34] : A Sans commentaire. [35] : C Typiquement, érotisation des rapports avec le “culte” de la séduction, puis l’insatisfaction ‘cultivée” voire recherchée, de manière inconsciente. [36] : D Par définition de la névrose, elle est perçue comme un phénomène morbide, ce qui est générateur d’angoisse. [37] : D A - Est parfaitement compatible.. 1 B C - Une insuffisance mentale légère ne préjuge en rien de son organicité.. E - Ne veut rien dire. [38] : A E A - Du “petit au grand”, du refus de la main tendue, à l’opposition.. D - Fait partie d’autres syndromes. [39] : B Evident. [40] : D Bien évidemment, c’est une phobie de situation, donc, le fait d’entrer à l’école provoque l’angoisse et entraîne des conduites d’évitements et surtout de réassurances. [41] : B E A - Ne concerne que la tutelle. B - Annulation ou récession en cas de lésions. C - Tutelle. D - Tutelle - ici déclenchée par une demande jointe à un certificat médical. E - Renouvelable 6 mois. [42] : A C D A - Sont un appoint médicamenteux appréciable. C - Oui, cest une bonne médication. D - Marche bien. Traite uniquement le symptôme ; cest une méthode de psychothérapie comportementale. [43] : B Sans commentaire: c’est évident. [44] : D 1- Concerne les paraphrénies en particulier. 2 - N’est jamais présent dans le délire paranoïaque. 3 - N’est pas un élément de délire. [45] : B Par définition: la conversion ne comporte pas d’atteinte objectivable. Il faut savoir: - qu’il n’y a pas de respect “anatomique” et physiologique - qu’il n’y a pas de sémiologie associée - que l’association à d’autres troubles ne veut rien dire. [46] : B Il est rare que “l’obsessionnel passe à l’acte”. Par définition, on retrouve une intellectualisation des rapports. [47] : B L’obsession est une irruption dans la pensée dune idée qui émane de sa propre activité psychique. A - Sont souvent décrits comme tels. C - Caractères morbides donc (D). E - Ce qui entraîne l’anxiété et les rituels. [48] : D Sans commentaire. [49] : B Les névroses obsessionnelles présentent des obsessions-impulsions. En fait, l’idée d’impulsion les angoisse, donc ils ne passent jamais à l’acte. A - Evident: impulsions répondant à des ordres délirants. C - Par intolérance à la frustration. D - Lors des ivresses aiguês : toujours à craindre. E - Cf psychopathie par intolérance à la frustration. [50] : B Trait hystérique. [51] : A C D E La psychose paranoïaque représente un danger pour les autres. [52] : B E Par définition - le phénomène est vécu comme morbide, c’est la définition même de la névrose. - la résistance augmente l’angoisse. [53] : C Les Neuroleptiques, bloquent les récepteurs à la L.DOPA; ce syndrome n’est pas sensible à cette molécule. [54] : B D E B - Par définition; pas de névrose-obsessionnelle sans rituels. E - Les passages à l’acte sont rarissimes. [55] : B C Typique : les deux symptômes font partie de la syndromique obsessionnelle. [56] : D Sans commentaire. [57] : C Le naloxone est un antagoniste compétitif des morphiniques (au niveau central). [58] : B 4000 décès par suicide, par an, en France. [59] : D Sans commentaire. [60] : B E Les benzodiazépines sont: anxiolytiques, hypnotiques, myorelaxantes, amnésiantes et confusiogènes, antiépileptiques (anticonvulsivantes) et tout cela à des degrés variables. [61] : A B D B D - Font partie intégrante de la névrose-obsessionnelle. A - Peut en faire partie. C - Fait partie de la Névrose phobique. E - Fait partie de la Névrose hystérique. [62] : A D Bien sur, (E) est possible mais non classique! [63] : D A - Classique. B - Par effet parasympathicolytique (atropinique). C - Par suppression de rinhibition dopaminergique sur la prolactine. E - En particulier le Largactil. [64] : C D Il faut le savoir: connaissance pure Q.C.M. très ‘pointue’. [65] : A C E Par leur effet hallucinolytique. [66] : C C - Par définition, c’est un besoin impérieux d’accomplir un geste ou un acte à caractère brutal, dangereux ou incongru et qui échappe au contrôle volontaire du sujet. [67] : A D E B - Car on dit non traité. C - Autre problème. A D E - Font partie du syndrome schizophrénique. [68] : B C D Le début est rarement brutal, souvent insidieux, uploads/Litterature/ psychiatrie-r-19p.pdf

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