TABERNACLE «LA PETITE BETHLEHEM» 221 RUE BAKOUKOUYA BIS OUENZE DEPOT CFCO BRAZZ

TABERNACLE «LA PETITE BETHLEHEM» 221 RUE BAKOUKOUYA BIS OUENZE DEPOT CFCO BRAZZAVILLE REPUBLIQUE DU CONGO QUELQUES HISTOIRES RACONTÉES DANS LE MESSAGE PAR FRERE BRANHAM Pouvez-vous imaginer mes Frères au sujet de ces petites histoires toutes simples, combien je pourrais vous raconter des choses que je sais qu'Il a faites et qui vous feraient sursauter. Ma vie a été mystérieuse; c'est vrai. Les gens ne le comprennent pas mais cela a été ainsi afin que je L'aime. L AMOUR DIVIN - 05.03.1957 PHOENIX, AZ, USA § 48  MAFOUTA Jean Pasteur et Ministre de L Evangile  Novembre 2005 1 PREAMBULE Dans le message du Révérend Frère Branham, nous trouvons quelques histoires très très spirituelles qui nous augmentent la foi et nous stimulent à parfaire notre vie chrétienne. L idée de rassembler ces quelques histoires racontées par frère  Branham est venue dans les échanges de points de vues que nous nous faisons lors de nos différentes communions le Pasteur MAFOUTA Jean et le Pasteur NGATSE OKOUMONE ANGUISSI (Godham). Nous avons pensé reproduire dans un document les quelques histoires que nous avons glané par ci et par là au travers du Message du Prophète pour permettre à nous même et à d autres Serviteurs de  Dieu de s en servir dans leur travail pour Dieu.  Que ce travail soit pour tous, un précieux document de référence. Que Dieu bénisse tous ceux qui vont en apprécier le contenu. Les remarques, les suggestions et les compléments d informations  seront les bienvenues. Votre humble Frère et Serviteur en Christ. Le Pasteur Jean MAFOUTA 2 FRERE BRANHAM ET LE VIEIL HOMME MEXICAIN NOIR Type 1 : L AMOUR DIVIN - 05.03.1957 PHOENIX, AZ, USA  25 C'est juste, oh! c'était Dieu, vous voyez, mais avant que cela n'arrive, j'avais l'Amour. J'ai eu quelques-unes de mes meilleures réunions avec les Mexicains, je me souviens spécialement d'un certain service à Mexico, il pleuvait au-dehors, mais l'intérieur était rempli de coeurs affamés et nécessiteux, dans la ligne de prière. L AMOUR DIVIN - 05.03.1957 PHOENIX, AZ, USA  26 Il vint un pauvre vieux mexicain poussiéreux, ses cheveux étaient gris et les rides profondes dans son visage barbu, il était pieds nus, ses pantalons étaient en loques de haut en bas et son veston était usé et par-dessus tout, il était aveugle. Quand je vis ce pauvre vieil homme venir à moi, je pensais qu'il devait avoir environ l'âge de mon papa si celui-ci avait été encore en vie. Je pensais combien cruel avait été son destin, l'homme n'avait probablement même pas eu un bon repas décent depuis longtemps, j'ai pensé lui donner mes chaussures, j'ai placé mon pied à côté du sien mais j'ai pu voir que mes chaussures ne lui iraient pas, j'ai pensé lui donner mon veston, regardant à ses épaules, j'ai remarqué qu'il était beaucoup plus large que moi, alors je me suis mis à penser «mes chaussures ne peuvent pas l'aider, mon veston ne l'aidera pas et la seule chose que je puisse faire, c'est de partager sa propre souffrance avec lui, c'est la manière de le faire, traitez juste chaque chose bien et vous verrez le résultat, soyez juste gentil avec un animal et vous le gagnerez et combien plus vous devez être bienveillant, vous manifestant l'un à l'autre l'Amour Fraternel. Alors que je me tenais là et que je le regardais, je vis ses vieilles mains ridées essayer de sortir de sa poche son petit chapelet de prières. L AMOUR DIVIN - 05.03.1957 PHOENIX, AZ, USA  3 27 Je dis: «Frère, ce n'est pas nécessaire, mettez-le de côté et l'interprète lui dit, lui parlant, je ressentis combien méchant était le diable. Cet homme avait probablement élevé une bande de petits gamins, peut-être avait-il travaillé pour quelques Pesos et n'avait-il pas mangé plus que les restes jetés par les touristes et j'ai ressenti comme si mon coeur se brisait en pensant que le diable l'avait fait trébucher dans de noires ténèbres, je ne pouvais pas l'aider mais j'ai étreint ce vieil homme ridé sur ma poitrine, il ne pouvait comprendre un mot de ce que je disais, mais j'ai prié «Père Céleste, Sois miséricordieux, vraiment le diable l'a maltraité et lui a fait cela mais c'est un homme pour qui Tu es mort.» Pendant que je priais, je l'ai entendu crier «Gloria Dios!» ses yeux étaient ouverts, il courait d'un bout à l'autre de l'estrade, criant et louant Dieu. Qu'était-ce? c'était de la compassion, oui et de l'Amour, l'Amour Divin de Dieu. Type 2 : APOCALYPSE, LIVRE DE SYMBOLES - 17.06.1956 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A. bb057990 35 Je voudrais vous confier un petit secret. Le Seigneur m a  béni grandement, et je Lui rends gloire, pour la prière pour les malades. Et j ai observé cela pendant ces années, et j ai découvert   que cela est la vérité absolue. Je ne peux jamais jamais avoir du  succès dans mes prières tant que je n entre pas dans une réelle  communion avec la personne pour laquelle je prie. Vous devez arriver à pénétrer et à ressentir la condition de cette personne. APOCALYPSE, LIVRE DE SYMBOLES - 17.06.1956 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A. bb057991 36 Il n y a pas longtemps ici, à Mexico, un pauvre vieil  homme mexicain, noir, avec des cheveux gris, et une moustache grise, n ayant jamais eu probablement de repas décent dans sa vie,  est arrivé sur l estrade. Il était de confession catholique. Il se  déplaçait, ayant un petit châle qui le couvrait, sans chaussures, avec ses pieds racornis. Il demandait à me voir. Et quand il s est  agenouillé devant moi, je l ai relevé en le prenant par les mains. Et  il a cherché à saisir son chapelet, un vieux chapelet tout usé; il 4 l avait tellement frotté en disant ses prières. Et j ai dit: «Cela n est    pas nécessaire, papa. Vous n avez pas à faire ça. Mettez cela de côté  pendant une minute.» L interprète le lui a traduit. Alors, il a tâtonné  dans ma direction. Je dis: «Avancez seulement, papa, je voudrais que vous croyiez au Seigneur Jésus.» Et il a levé ses vieilles mains en l air, les a posées sur mes épaules, et a appuyé sa tête contre mon  épaule. Je regardais ses vieux pieds racornis, poussiéreux et sales. J ai enlevé d un mouvement rapide l une de mes chaussures pour    voir si elle lui irait. J aurais préféré marcher pieds nus plutôt que de  le voir partir comme cela. Voyez? Et j étais avec lui de tout c ur. Il   était aveugle. APOCALYPSE, LIVRE DE SYMBOLES - 17.06.1956 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A. bb057992 37 Maintenant, c est alors que vous pénétrez réellement en  cela. Et tout notre temps faillira. Tous nos signes failliront. Tous nos dons failliront. Mais l amour ne faillit jamais. C est ce qui   permet de tenir bon. APOCALYPSE, LIVRE DE SYMBOLES - 17.06.1956 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A. bb057993 38 Et je pensai: «Pauvre vieil ami, il aurait à peu près l âge de  mon père, s il était encore en vie.» Et je pensai: «Peut-être a-t-il  aussi un enfant quelque part.» Et il a murmuré quelque chose, mais l interprète ne me l a pas traduit. Et je regardais ce vieil ami, je ne   pouvais pas... Non pas dans mes yeux, mais dans mon c ur, je  pouvais... comme des larmes coulaient. Je pensai: «Pauvre vieux, il n a probablement jamais eu un bon repas dans sa vie; déguenillé.»  Mais je lui ai témoigné de la sympathie, j ai pris part à sa  souffrance. Je pensai: «En plus d être pauvre, en plus de sa  condition et de sa souffrance, de tout cela, il vit dans un monde obscur, il ne peut pas voir, il est aveugle.» Je pensai: «Ô Dieu, et si c était mon papa se tenant là?» Alors j ai eu de la compassion pour   pour lui. Je dis: «Père céleste, sois miséricordieux envers ce  pauvre homme aveugle.» Ce n était pas une prière dans ma tête.  C était quelque chose dans mon c ur, qui priait pour cela, voyez-   vous, l amour!  5 APOCALYPSE, LIVRE DE SYMBOLES - 17.06.1956 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A. bb057994 39 Et je l ai entendu lorsqu il s en allait    [Frère Branham imite la langue maternelle de l homme. N.D.É.]   Et là les Mexicains, par dizaine de milliers, criaient; je me suis demandé ce que c était. Il  criait: «Je vois, je vois!» Alors il s est retourné, s est agenouillé, et a   commencé à frotter mes chaussures, essayant de me caresser les pieds, et je l ai relevé. Et il courait dans tous les sens, ce vieil ami se  pencha, criant. [Frère Branham imite la langue uploads/Litterature/ quelques-histoires-racont-es-dans-le-message-par-fr-re-branham.pdf

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