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Explication lineaire : Nuit de sine de Leopold Sédar Senghor. INTRODUCTION Léop

Explication lineaire : Nuit de sine de Leopold Sédar Senghor. INTRODUCTION Léopold Sédar Senghor, né en 1906, marqua la poésie du XXème siècle en lui apportant un souffle qu’il appellera « négritude ». C’est vers 1945 qu’il publiera son premier recueil de intitulé Chant d’ombre, où l’on trouve Nuit de Sine, un de ses poèmes les plus connu et dans lequel il nous parle du Sénégal, son pays d’origine. Ceci nous pouvons le déduire du t poème, puisque Sine est une région mythique du Sénégal très importante dans l’imaginai du pays. C’est donc un poème lié aux racines du poète ainsi qu’à la « négritude » du pays. Cette négritude avait auparavant des connotations négatives, mais maintenant elle fait si référence à la condition des noirs. (LECTURE MAGISTRALE)------ STRUTURE DU TEXTE: PARTIE1: VERS1-VERS7---L'AFRIQUE,UN LIEU PAISIBLE PARTIE2:VERS8-VERS17---UNE NUIT REVEUSE EN AFRIQUE PARTIE3:VERS18-VERS28---UNE AFRIQUE SPIRITUELLE PROBLEMATIQUE: QUELLE VISION DE L'AFRIQUE NOUS OFFRE L'AUTEUR DANS CE POEME PARTIE1: Dans cette première partie l’auteur nous présente l’Afrique comme un continent regroup paisibles.ce poème s’ouvre sur un décor que nous fait l’auteur à travers des vers longs et deux premiers vers de cette partie,« Femme, pose sur mon front tes mains balsamiques, t douces plus que fourrure »sont assez ressemblant avec la volonté de l’auteur de nous par généraux du pays.la femme représente en fait l’Afrique. cette Afrique est en effet une fem qui nous protège, elle se comporte donc comme une mère.les gestes d’amour maternel so expressions telles que:«mains balsamiques», «mains douces».les adjectif « balsamiques » compare les mains de la mère à une « fourrure » ,des mains ardentes qui réchauffent ,qui certaine façon.Dès lors ,on comprend que cette chaleur des mains nous renvois ainsi à la c gracieux soleil d’Afrique. Ensuite,il poursuit le décor de son poème à partir du troisième vers de cette même pa les palmes balancées qui bruissent dans la haute brise nocturne. À peine. Pas même nourrice. Qu’il nous berce le silence rythmé Avec ces quelques mots il est facile d’imaginer e lundi 28 février 2022 08:02 n nouveau poème intéressant titre même du ire et l’histoire implement E? ant des espaces rythmés . Les tes mains rler des traits mme maternelle ont liés aux »et « douces » i soignent d’une chaleur et au artie , « Là-haut la chanson de et de compare les mains de la mère à une « fourrure » ,des mains ardentes qui réchauffent ,qui certaine façon.Dès lors ,on comprend que cette chaleur des mains nous renvois ainsi à la c gracieux soleil d’Afrique. Ensuite,il poursuit le décor de son poème à partir du troisième vers de cette même pa les palmes balancées qui bruissent dans la haute brise nocturne. À peine. Pas même nourrice. Qu’il nous berce, le silence rythmé ». Avec ces quelques mots il est facile d’imaginer e comprendre le mouvement de ces palmes ,qui est un Mouvement doux ,car à travers mots,adjectifs et verbes conjugués au présent tel que(brise,balancées,berce)il nous fa que ce mouvement laisse place à un bruit agréable et léger, puisqu’une brise est un v agréable.cette douceur se voit renforcer par l’expression« chanson de nourrice», qui r également l’Afrique.Cette femme est celle qui s’occupe des enfants, et la chanson es berceuse. d’où il nous parle d’un « silence rythmé».ce « silence rythmé » fait aussi réfé l’écoute des musiques et au regard des danses présentes en Afrique qui apaisent l’en et l’esprit Africain.A travers cette scène;nous pouvons déjà déduire que l’auteur nous endroit plein de vie où il est plaisant de vivre. Dans les vers suivants : « Écoutons son chant, écoutons battre notre sang sombre, éc le pouls profond de l’Afrique dans la brume des villages perdus »,l’auteur continue de la tranquillité qui règne en Afrique,rien qu’en relatant celle de son village.On le voit sur une personnification de l’Afrique « son chant », « sang sombre » « battre le pouls profo l’Afrique »qui crée une image surnaturelle , dans le sens où ce silence permet aux villa d’ecouter le chant de l’Afrique ,d’entendre couler le sang des noirs ,le sang africain.Et d’ecouter l’âme de l’Afrique. A nouveau nous nous trouvons face à quelque chose d’a non seulement entre l’auteur et l’Afrique,mais aussi entre les villageois et celle-ci. Cette premiere partie deguise l'Afrique , elle magnifie l'afrique , elle donne du charme elle promet un lieu paradisaique la ou nil fait bon vivre la ou la douceur et lamour form angulaire la ou l' on debute une vie meilleure qui se traduit par certaines formes meth elle porta croire que l'Afrique est limage de la Mere ce qui est bien une veritable abso le berceau de l humanite PARTIE2: Apres avoir assimile l'Afrique a une mere affectueuse et protectrice qui rend la leopold Sedar senghor en vient à la description d'une nuit en afrique . « Voici que décline la lune lasse vers son lit de mer étale. Voici que s’assoupissent les que les conteurs eux-mêmes dodelinent de la tête comme l’enfant sur le dos de sa mè les pieds des danseurs s’alourdissent, que s’alourdit la langue des chœurs alternés ».A deuxième scène décrite par Senghor,nous comprenons qu’il fait nuit dans son poème descend jusqu'à se coucher dans son lit d’eau calme. On peut le constater grace à la p "voici" ,qui designe dans ce contexte ce qui arrive,ce qui commence à se produire ,cel d'un satelite ,qui n'est d'autre que la lune ,nous semblant figé dans un ciel nocturne p métaphore "son lit de mer étale".cette idée se voit renforcer par le champ lexical de la (s'assoupissent,dodelinent ,s'alourdissent,s'alourdit) qui renvoie à la somnolence,au s habitants .Cependant ,Senghor s’aventure ainsi dans l’explication d’une nuit profonde pleine de traditions jusqu’au moment où tout le monde s’en va dormir.Avec les expre "dodelinent de la tete comme l'enfant sur le dos de sa mère" "les pieds des danseurs" des chœurs acharnés" ,nous fait paraitre que l'image de l'enfant sur le dos de sa mere typique en Afrique et nous montre le lien que a l'afrique nocturne avec la danse et la i soignent d’une chaleur et au artie , « Là-haut la chanson de et de les ait comprendre vent calme et représente t une érence à nvironnement parle d’un coutons battre e nous parler de rtout à travers ond de ageois t finalement, assez spirituel , l' afrique , ment un point aphoriques ; olue car elle est a vie paisible , éclats de rire, ère. Voici que Avec cette et que la lune préposition le de l'arrivée ar l'usage de la a fatigue sommeil des e et spirituelle ssions comme "et "la langue e est une image musique p p p (s'assoupissent,dodelinent ,s'alourdissent,s'alourdit) qui renvoie à la somnolence,au s habitants .Cependant ,Senghor s’aventure ainsi dans l’explication d’une nuit profonde pleine de traditions jusqu’au moment où tout le monde s’en va dormir.Avec les expre "dodelinent de la tete comme l'enfant sur le dos de sa mère" "les pieds des danseurs" des chœurs acharnés" ,nous fait paraitre que l'image de l'enfant sur le dos de sa mere typique en Afrique ,et nous montre le lien que a l'afrique nocturne avec la danse et la Par ailleurs,« C’est l’heure des étoiles et de la Nuit qui songe. S’accoude à cette colline drapée dans son long pagne de lait ».Ici, il nous fait comprendre que la nuit tombe et monde s’en va se coucher.La destinée de cette Nuit est de dormir et rêver avec l'appa etoiles que nous montre le pronom demonstratif "c'est" et la personnification de "nui songe".toujours dans la personnification de la nuit avec la phrase "s'accoudent à cette nuage ,drapée dans son long pagne de lait",le fait que la Nuit soit drapée, c’est-à-dire, comme dans une couverture, nous ramène à l’aspect maternel du poème, un aspect q renforcer avec le mot lait, puisque c’est la nourriture des bébés : la Nuit, l’Afrique, no nourris. Ceci serait une description de l’extérieur à la nuit tombée. Dans les vers suivants, « Les toits des cases luisent tendrement. Que disent-ils, si conf étoiles ? Dedans, le foyer s’éteint dans l’intimité d’odeurs âcres et douces », Senghor qui se passe à l’intérieur du village, dans les maisons. C’est pour cela qu’apparaît le mot cases, qui fait référence aux maisons typiques dan vivent les Africains. Ce qui nous permet de savoir qu’il fait nuit dans ces vers c’est les étoiles qui illuminen maisons des villageois ; cependant, c’est une lumière faible, de là vient l'expression « tendrement». Nous sommes, donc, face à une scène qui décrit une vie calme et délicate .Au fur et à vers, le poète continue à nous parler de ce qui se passe à l’intérieur des habitations, ju qu’arrive le moment d’aller se coucher. C’est alors qu’apparaît le mot foyer qui, dans fait référence au feu qui s’éteint quand les habitants vont au lit. PARTIE3: Après une description de la nuit africaine dans sa particularité, Senghor porte une de spirituelle de son village. Comme son village représente l’Afrique en elle-même , il fait donc appel à l’Afrique proche, uploads/Litterature/ sans-titre 2 .pdf