1 2 Plan du Cours d’Initiation 3. Qu’est-ce qu’une BD ? Notion de SGBDR. 4. Mod

1 2 Plan du Cours d’Initiation 3. Qu’est-ce qu’une BD ? Notion de SGBDR. 4. Modéliser conceptuellement la BD 5. Modéliser mathématiquement la BD 6. Comprendre l’Algèbre Relationnelle 7. Se familiariser avec SQL, le langage informatique 8. Aller plus loin avec SQL et l’Algèbre Relationnelle 9. Appréhender la notion de transactions et de vues 10.Comprendre les subtilités d’implémentation physique 3 INTRODUCTION Qu’est-ce qu’une BD ? Notion de SGBDR. 4 Dupont Symptomes : y Turlututu : sqj Symptomes : y Turlututu : sdd Analyses : xxx Dupond Turlututusqjsk Symptom: yyyy Analyses xxxx Turlututudhjsd Analyses :xx Duipont Turlututu : sq Symptomyyyy Analysesxxxx Turlututudhjsd Duhpon Symptomes : yy Analyses : xxxx Symptomes : yy L’APPROCHE SYSTEMES DE FICHIERS 5 Caractéristiques Plusieurs applications plusieurs formats plusieurs langages Redondance de données Pas de facilité d’interrogation Question ⇒développement Redondance de code Problèmes Difficultés de gestion Incohérence des données Coûts élevés Maintenance difficile Gestion de pannes ??? Partage des données ??? Confidentialité ??? 6 L’approche ‘‘Bases de données’’ • Modélisation des données  Eliminer la redondance de données  Centraliser et organiser correctement les données  Plusieurs niveaux de modélisation  Outils de conception • Logiciel «Système de Gestion de Bases de Données» Factorisation des modules de contrôle des applications - Interrogation, cohérence, partage, gestion de pannes, etc… Administration facilitées des données 7 BD VIII - Concurrence d’accès VII - Gestion des pannes I- Indépendance Physique IX - Gestion de la confidentialité II- Indépendance Logique VI - Gestion de la cohérence X - Standards V - Optimisation des questions III – Langage de manipulation IV - Gestion des vues 8 Relationnel • Organisation physique des données • Structures de stockage des données • Structures accélératrices (index) •Dépendant du modèle de données •Dépendant du SGBD Modèle Physique XML Objet Codasyl •Dépendant du modèle de données •Indépendant du SGBD Modèle logique •Indépendant du modèle de données •Indépendant du SGBD Modèle conceptuel Réel Modélisation du réel Médecin effectue Visite IMPLEMENTATION 9 • La manipulation se fait via un langage déclaratif – La question déclare l’objectif sans décrire la méthode – Le langage suit une norme commune à tous les SGBD – SQL : Structured Query Langage • Syntaxe (aperçu !) Select Nom, Description From Médicaments Where Type = ‘Aspirine’ 10 • 1970 : bases théoriques au modèle relationnel : Algèbre de Codd • 1980 : Logiciel de SGBDR commercialisés : ORACLE, SYBASE, SQL SERVER et Access • Logiciels libres : mysql; postgresl • Actuellement, en germe, SGBDO (Oracle 8 : SGBDOR), Multimédia, Data Mining … 11 Structuration en trois couches : SGBD externe SGBD Interne Gestionnaire de Fichiers et Mémoires Secondaires Terminaux Programmes d’application 12 Description des données en trois niveaux d’abstraction Schéma conceptuel : description des données d’une organisation en terme de types d’objets et de liens logiques indépendants de toute représentation en machine, correspondant à une vue canonique globale de l’organisation modélisée -> Schéma ER -> Administrateur Organisation Schéma interne : description des données d’une base en termes de représentation physique en machine, correspondant à une spécification des structures de mémorisation et des méthodes de stockage et d’accès utilisées pour ranger et retrouver les données sur disque -> INDEX -> Administrateur BD Schéma externe : description d’une partie de la base de données, extraite ou calculée à partir de la base physique, correspondant à la vision d’un programme ou d’un utilisateur, donc à un arrangement particulier de certaines données -> VUES -> Administrateur Applications 13 5 étapes pour l’élaboration des schémas conceptuels et internes (coeur de la BDR) 1. Perception du monde réel et capture des besoins Entretiens -> ensemble de vues ou schémas externes 3. Elaboration du schéma conceptuel ensemble de vues ou schémas externes -> intégration dans un schéma global 5. Conception du schéma logique (automatisable) schéma global -> ensemble de tables 7. Affinement du schéma logique ensemble de tables -> ensemble de tables regroupées ou décomposées 9. Elaboration du schéma physique ->ensemble de tables regroupées ou décomposées indexées 14 MODELE CONCEPTUEL Modéliser conceptuellement la BD 15 Objectifs : • Prendre en main la méthodologie de conception MERISE • Apprendre les définitions essentielles des objets manipulés par le modèle conceptuel : entité, attribut, identifiant, relation, dimension, cardinalité. • Etre capable d’appréhender la méthodologie de passage d’un énoncé en langage naturel à un modèle conceptuel, avec la part d’arbitraire inhérente. 16 • Plusieurs noms dans le cadre d’un SGBDR : Modèles Entités-Associations, Schéma ER, MCD • Nécessité d’une méthodologie et d’un cadre de conception : MERISE, UML … Relationnel • Organisation physique des données • Structures de stockage des données • Structures accélératrices (index) •Dépendant du modèle de données •Dépendant du SGBD Modèle Physique XML Objet Codasyl •Dépendant du modèle de données •Indépendant du SGBD Modèle logique •Indépendant du modèle de données •Indépendant du SGBD Modèle conceptuel Réel Relationnel • Organisation physique des données • Structures de stockage des données • Structures accélératrices (index) •Dépendant du modèle de données •Dépendant du SGBD Modèle Physique XML Objet Codasyl •Dépendant du modèle de données •Indépendant du SGBD Modèle logique •Indépendant du modèle de données •Indépendant du SGBD Modèle conceptuel Réel Médecin effectue Visite IMPLEMENTATION 17 • Le modèle de données dit Entités-Relations (MERISE) ou Entités-Associations •Entité = objet du monde réel, modèle d’objet, classe. Ex :un client pour une société. •Attributs (caractéristiques ou propriétés) = ils décrivent les entités ; Champs, attributs, colonnes …… …….. …. Prénom Nom Id-D Jean Masse 3 Paul Durand 2 Pierre Dupont 1 Relation, table, schéma Tuples, lignes ou n-uplets, occurrence, instance 18 •Identifiant = ensemble d’attributs permettant de déterminer une et une seule occurence d’une entité ; …… …….. …. Prénom Nom Id-D Jean Masse 3 Paul Durand 2 Pierre Dupont 1 Docteurs …… …….. …. Prénom Nom Id-D Jean Masse 3 Paul Durand 2 Pierre Dupont 1 Docteurs Visites 2 2 1 1 Id-D 1 mars 13 juillet 12 août 15 juin Date 250 350 180 250 Prix 4 3 2 1 Id-V 3 2 1 2 Id-P Visites 2 2 1 1 Id-D 1 mars 13 juillet 12 août 15 juin Date 250 350 180 250 Prix 4 3 2 1 Id-V 3 2 1 2 Id-P Patients ……. Paule John Zoe Jacques Prénom ……. ……. …. Valenton Perry 4 Ville Nom Id-P Paris Doe 3 Evry Troger 2 Paris Lebeau 1 Patients ……. Paule John Zoe Jacques Prénom ……. ……. …. Valenton Perry 4 Ville Nom Id-P Paris Doe 3 Evry Troger 2 Paris Lebeau 1 ………… …. …. …. 2 gouttes 3 3 2 12 8 5 12 Id-M 1 par jour 2 par jour 10 gouttes 1 par jour Posologie 2 1 2 1 Ligne 2 2 1 1 Id-V Prescriptions ………… …. …. …. 2 gouttes 3 3 2 12 8 5 12 Id-M 1 par jour 2 par jour 10 gouttes 1 par jour Posologie 2 1 2 1 Ligne 2 2 1 1 Id-V Prescriptions …………………………….. …….. …. Description Nom Id-M …………………………….. Mucomyst 3 …………………………….. Fluisédal 2 …………………………….. Aspegic 1000 1 Médicaments …………………………….. …….. …. Description Nom Id-M …………………………….. Mucomyst 3 …………………………….. Fluisédal 2 …………………………….. Aspegic 1000 1 Médicaments 19 •Relation = représente les liens entre les entités ; contrairement aux entités, les relations n’ont pas d’existence propre ; mais comme les entités, elles sont caractérisées par un nom et d’éventuels attributs. Représentation graphique de ces schémas : •entités par rectangles; •relations par ellipses ; •les attributs identifiants sont soulignés ; EMPLOYE Code_emp Nom Prenom Date_nais CAMION Immatriculation Poids_vide Annee_mec Conduire 20 •Dimension (ou degré) = nombre d’entités impliquées dans la relation ; •Cardinalité (maximale) = nombre de participations maximal d’une entité à une relation (une relation binaire peut être de cardinalité I-I, I-N ou M-N) ; EMPLOYE Code_emp Nom Prenom Date_nais SERVICE code Etage Nom travaille 1 N -> traduit les règles et contraintes propres à un processus métier -> approche française (MERISE) : nombre de participations d’une entité à une relation -> approche anglosaxone : nombre de correspondants d’une entité au sein d’une relation Cette distinction a une importance pratique dans le cas de relation n-aire (avec n>2) 21 Un modèle EER enrichi : •Cardinalité minimale ; EMPLOYE Code_emp Nom Prenom Date_nais CAMION Immatriculation Poids_vide Annee_mec Conduire 0-1 1-N •Généralisation = description d’une entité à différents niveaux d’abstraction ; EMPLOYE Code_emp Nom Prenom Date_nais CAMION Immatriculation Poids_vide Annee_mec Conduire 1-1 1-N CHAUFFEUR Permis Visite_med ADMINISTRATIF Serv ice 22 PRODUIT code_produit designation prix CLIENT Code_client nom adresse Commande quantite derniere_date FOURNISSEUR Code_fournisseur nom adresse 1-N 1-N 1-N Certains principes peuvent indiquer qu’une relation ternaire 1-N-N manque de cohérence et que l’on ne devrait trouver dans un MCD que des relations ternaires N-N-N (valable pour toutes relations n-aire avec n>2). Ce principe permet de simplifier la suite du processus, et indique qu’une telle relation devrait pouvoir être découper en deux relations binaires par exemple. 23 La démarche pour passer de l’énoncé du problème au MCD: . Déterminer la liste des entités ; . Pour chaque entité : a) Etablir la liste de ses attributs ; b) Parmi ceux-ci, déterminer un identifiant ; . Déterminer les uploads/Management/ base-de-donnees-complet.pdf

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  • Publié le Nov 19, 2021
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